Perdu dans la campagne...
Assis sur ce vieux banc égaré sur un champs à l'abandon, je m'interroge. Tout en écoutant le sifflement d'un léger vent du sud qui me caresse agréablement le visage. Le bruissement des feuilles des arbres redonne une douce mélodie.
Malgré ce décor de charme....
Je me questionne sur mon avenir. Vais-je enfin rencontrer ma moitié d'orange ? ma santé s'améliora t'elle ? Mes deux priorités. J'ai beau les tourner dans tous les sens, je ne trouve pas de réponse... Quelque part, j'en suis triste. D'un autre côté, je me sens si privilégié. Ma famille, mes amis, sont plus que présents.
Alors face à ce doux soleil, je me laisse bercer par mes rêves, mes envies. Ce voyage au "Pays du soleil levant", vital pour moi ! Prendre une semaine de "vraies vacances" du côté de Nantes dans un fabuleux hôtel ! voir et revoir mes amis de blog ! etc...
Que je me sens bien dans ce coin perdu de mon beau département. Où se côtoient mer, campagne, montagne ! quelle chance !
Je vous ai menti... Je n'ai pas quitté ma maison, je ne risquais pas d'être assis sur ce banc... Je l'ai imaginé. Par contre, le reste est pure vérité !
accompagnée de cette splendide chanson ! Paroles Avec le temps de Léo Ferré.
Je vous souhaite un agréable week-end, je vous embrasse !
Passant au souffle du vent et te souhaitant tant.
A toi mon ami.
MioModus.
Rédigé par : MioModus | 14 janvier 2007 à 10:50
Rêver c'est vivre!
Tu n'as pas menti, tu n'as que raconté tes rêves!
Ton texte est mélancolique,
ne laisse pas la tristesse t'envahir.
Cultive tes rêves et attend.
Je souhaite qu ta santé s'améliore rapidement et que tu rencontres la moitié de l'orange.
C'est un cadeau de la vie habiter un si beau coin
: la mer, la champagne, la montagne sont à la portée de tes yeux.
C'est vrai - quelle chance!
Je t'embrasse.
Neyde
Rédigé par : Neyde | 13 janvier 2007 à 20:10
moi aussi j ai des tristesses passagères dans des moments forts de bonheur que je sens venir tant...
Ton texte qui est toi est fort touchant!
et peu importe où tu es, TU ES, et cela se ressent tant dans tes mots.
J'aime bien et je rejoins les mots de Michèle, que j'apprécie toujours bien fort!
je t'embrasse fort, Olivier, et pas de soucis, j ai vu ton mot chez Elisanne, tu es le bienvenu, sans toi, on se sentirait sans amour.. ou pas assez au complet...
Rédigé par : Annick | 13 janvier 2007 à 13:15
Bonjour Olivier,
J'adore te lire...et j'adore cette chanson bien qu'elle me donne des frissons ! ! !
Belle journée,
Sylvie ( de passage :-))
Rédigé par : Sylvie-Selva | 13 janvier 2007 à 09:53
Tu me connais donc si bien que ça pour deviner que ton texte allait me plaire ? Et il est vrai que je l'aime très fort. Ne plus se soucier du temps, il travaille pour chacun d'entre nous. Encore faut-il savoir attendre le temps qu'il faut...
A demain comme promis.
Bisous et bon week-end à toi !
Rédigé par : Muriel | 13 janvier 2007 à 08:44
Olivier embrassons-nous, veux-tu ? ton rêve est si joli...
Rédigé par : brigetoun ou Brigitte Celerier | 12 janvier 2007 à 21:04
Beau texte, pas si mélancolique que ça, hein Olivier ?
Rédigé par : CA | 12 janvier 2007 à 20:51
Oh... Olivier.
Moi, je le trouve mélancolique ton texte... Tristesse passagère parmi tes bonheurs. C'est naturel, tu sais... C'est aussi la preuve que tu vis...
Surtout... Ne cesse pas de rêver.
Bises...
XXX
Rédigé par : Gaëna | 12 janvier 2007 à 15:15
Bonjour Olivier,
Comme ce rêve est joli et envoûtant. C'est un pieux mensonge qui te sera certainement pardonné que celui d'avoir fabulé. Le plaisir que tu nous apportes aujourd'hui, par cette histoire jolie et cette image apaisante, justifie ce petit péché ;-)
Pour le reste, les deux voeux encore inexaucés, il faut avoir de la patience. J'espère que ta santé sera rapidement revenue. Quant à la douce moitié, tu pourrais faire comme j'ai décidé de faire en décembre 1999. Tu sais quoi ? Après tant d'années d'attente (10 ans au total), j'ai décidé d'abdiquer mais alors très sincèrement. Tu sais ce qui est alors arrivé ? J'ai rencontré mon conjoint trois mois après avoir pris cette décision. La vie voulait sans doute m'enseigner le «lâcher prise» pour m'apporter ce dont je rêvais depuis si longtemps.
Garde le sourire mon ami, la lumière est toujours au bout du tunnel !
Bonne fin de semaine, je t'embrasse très fort, Michèle *****
Rédigé par : Michèle | 12 janvier 2007 à 13:40