Un poème que j'adore, et qui me correspond en ce moment et donc m'amène à la réflexion. Il est tiré du livre de Sogyal Rimpoché "le livre tibétain de la vie et de la mort". Vous changez le mot "rue" par "chemin", car il est illustré par ce chemin en forêt où je me promène :
Cliquez ! photo magnifique de ma talentueuse amie Tanette !
"Autobiographie en cinq actes" de PORTIA NELSON .
1. Je descends la rue,
Il y a un trou profond dans le trottoir :
Je tombe dedans.
Je suis perdu… Je suis désespéré.
Ce n’est pas ma faute.
Il me faut longtemps pour en sortir.
2. Je descends la même rue.
Il y a un trou profond dans le trottoir :
Je fais semblant de ne pas le voir.
Je tombe dedans à nouveau.
J’ai du mal à croire que je suis au même endroit,
Mais ce n’est pas ma faute.
Il me faut encore longtemps pour en sortir.
3. Je descends la même rue.
Il y a un trou profond dans le trottoir :
Je le vois bien.
J’y retombe dedans à nouveau.
J’ai les yeux ouverts.
Je sais où je suis.
C’est bien ma faute.
Je ressors immédiatement.
4. Je descends la même rue.
Il y a un trou profond dans le trottoir :
Je le contourne.
5. Je descends une autre rue…
******
Je me situe, à ce jour, entre le 3 et le 4. Je le contournerai, l'étape sera plus longue cette fois ci.
Mes Amis, je suis très étonné, personne n'a trouvé la solution, même chère Anonymette masquée ce n'est pas la bonne réponse. Ou bien tu as raison et je ne l'ai pas fait exprès... Comme à mon habitude, c'est un acrostiche mais un peu plus complexe. Vous prenez le 1er mot de chaque vers ce qui donne :
"Sophie, tu es l'Amour de ma vie"
Votre amitié est si touchante que ma rose est pour vous, cueillez la !
Message à l'Anonymette masquée, dévoile toi car malgré certains indices dont le plus étonnant est que tu saches ma note à l'oral de français, je ne te reconnais pas ! J'espère ne pas te décevoir !
Aparté sur ma note d'hier : vos mains tendues sont de vrais bonheurs, chacunes de vous m'apportent une vision. J'en prends note ! Mon quotidien d'aujourd'hui n'est pas proche de mon "Carpe diem". Mais il reviendra plus doucement. Comme je l'ai écrit à Mme de Keravel, l'étape sera plus longue. Merci à vous ! N'oubliez pas la rose !!!!
Merci pour la belle rose.
Merci pour nous faire noter le trou.
Merci pour nous montrer ce beau chemin.
Main dans la main, allons faire le chemin.
Tous les amies et amis du blog ensemble, en chantant une belle chanson.
Et Olivier parmi nous!
Allons!
Rédigé par : Neyde | 02 juin 2007 à 23:38
Une bien jolie rose
Un bien tendre présent
A cueillir chaque instant
Dans l'infini moment
Plein de baisers dedans
Rédigé par : Annick | 31 mai 2007 à 19:04
viens faire un tour sur mon blog ;-)
Rédigé par : madamedekeravel | 31 mai 2007 à 09:11
C'est la philosophie bouddhiste, ce poème : mets-toi au bord du précipice, tout au bord, et regarde-le bien, fais-y face. Ainsi, tu l'éviteras et sauras l'éviter la prochaine fois que tu te retrouveras au bord d'un précipice identique.
C'était rusé, ton acrostiche, dis donc ! Bisous et merci pour la rose !
Rédigé par : zebu32 | 31 mai 2007 à 06:12
Bonjour Olivier,
Je cueille ta magnifique rose et, du coup, j'oublie tous les trous... ceux de la route et ceux du coeur. Quand on a l'amitié, on se console plus facilement des aléas de la vie.
Merci pour cette rose blanche que tu nous offres. Elle respire ta générosité et ta sincérité.
Bisous tendres
Michèle
Rédigé par : Michèle | 30 mai 2007 à 17:43
je n'ose te proposer ma sollution. Regarder le trou, se dire qu'il est pas si mal, et l'aménager
Rédigé par : brigetoun ou Brigitte Celerier | 30 mai 2007 à 16:31
la photo est en effet magnifiquement bucolique et d'une grande sérénité. Quant au trou dans le trottoir... hé hé nous l'avons tous connu et le connaîtrons encore même après l'avoir contourné... enfin ! à mon très humble avis.
Que ta journée soit la meilleure possible Olivier, bisous !
Rédigé par : marie.l | 30 mai 2007 à 15:35