Un coup de sonnette, et déjà elle se précipite sans oublier de
m'embrasser en quittant mes genoux. Sophie revient les bras chargés de
fleurs, qui lui vont si bien, et mes amis m'embrassent, je suis aux
anges... penser la partager, échanger avec ceux que j'aime. Déjà, elle
a trouvé un vase, et puis, les fleurs, ses mains lui ont donné son
charme, je suis étourdi, c'est tellement, et...
Notre petit repas raffiné, préparé dans un bain d'amour, se laisse manger tout tranquillement sous la flamme sans cesse renouvelée, car souvent, Sophie attendrie me regarde... Et son oeil m'enveloppe de bien être que j'aime tant lui donner... La seconde s'éternise, son oeil capte le mien, nos amis se sentent bien, ils sont si heureux pour moi, pour nous.
Et puis, il est tard, et le 'petit nous' se vide des amis, et déjà, nous laisse à 'Nous', tant attendu encore, pour le plaisir de nous rien qu'à nous, dans ce bonheur qui chaque jour grandit par la force de l'amour qui donne la vie... Tellement.
Et encore et encore, elle me regarde, m'attendrit, s'assoit devant moi, pour un dernier silence à nous deux... Et elle m'emmène nous emmener...
Chaleureuse soirée sur "notre" patio"...
Notre nuit fut envoûtante de plus en plus magique. Nos mots, nos tendresses se symbiosent. Je découvre, peu à peu, ma Sophie. Je découvre une femme douce comme la soie, et fragile comme du cristal. Je découvre à travers ses confidences, qu'une soirée entre amis comme hier, lui était pratiquement inconnue. Je découvre son passé. Elle avait peu d'amis, sa seule véritable confidente sa soeur Mathilde.
D'ailleurs depuis notre retour de Grèce, Sophie ne l'avait même pas appelé. Je lui suggérais d'y penser, juste lui donner quelques nouvelles. Sophie était contrariée que je revienne dans la "réalité". Je m'empressais de l'embrasser, délicatement telle la blancheur d'une rose, dans le cou. Son sourire réapparut comme un chaud rayon de soleil.
Je n'abandonnais pas pour autant l'idée. Non pas pour l'ennuyer, mais pour elle. En une nuit, j'appris les cicatrices de la vie que Ma Belle portait en elle. Enfin, depuis longtemps, elle pouvait dire à sa soeur qu'elle était : "heureuse", que son coeur battait fort, qu'elle touchait du doigt le bonheur. Je sentais que le plus difficile n'était pas d'annoncer son amour. Plutôt d'expliquer que cet amour était un homme, certes, mais handicapé, en fauteuil. Ô combien ! je comprenais son dilemme. Pour autant, je ne m'inquiétais pas, ma Sophie dépasserait tous les jugements. Elle était bien au dessus !
"Je t'aime Sophie !"...
*******
Ah ! mes Amis, vous êtes des Coeurs purs ! merci ! Je vais mieux, encore 2, 3 jours.
Ma tendre Annick, tes mots sont des cadeaux pour Sophie, nos lecteurs et moi ! Mille Baisers !
Merci encore ! Je vous embrasse tant pis pour les microbes !
Notre petit repas raffiné, préparé dans un bain d'amour, se laisse manger tout tranquillement sous la flamme sans cesse renouvelée, car souvent, Sophie attendrie me regarde... Et son oeil m'enveloppe de bien être que j'aime tant lui donner... La seconde s'éternise, son oeil capte le mien, nos amis se sentent bien, ils sont si heureux pour moi, pour nous.
Et puis, il est tard, et le 'petit nous' se vide des amis, et déjà, nous laisse à 'Nous', tant attendu encore, pour le plaisir de nous rien qu'à nous, dans ce bonheur qui chaque jour grandit par la force de l'amour qui donne la vie... Tellement.
Et encore et encore, elle me regarde, m'attendrit, s'assoit devant moi, pour un dernier silence à nous deux... Et elle m'emmène nous emmener...
Chaleureuse soirée sur "notre" patio"...
Notre nuit fut envoûtante de plus en plus magique. Nos mots, nos tendresses se symbiosent. Je découvre, peu à peu, ma Sophie. Je découvre une femme douce comme la soie, et fragile comme du cristal. Je découvre à travers ses confidences, qu'une soirée entre amis comme hier, lui était pratiquement inconnue. Je découvre son passé. Elle avait peu d'amis, sa seule véritable confidente sa soeur Mathilde.
D'ailleurs depuis notre retour de Grèce, Sophie ne l'avait même pas appelé. Je lui suggérais d'y penser, juste lui donner quelques nouvelles. Sophie était contrariée que je revienne dans la "réalité". Je m'empressais de l'embrasser, délicatement telle la blancheur d'une rose, dans le cou. Son sourire réapparut comme un chaud rayon de soleil.
Je n'abandonnais pas pour autant l'idée. Non pas pour l'ennuyer, mais pour elle. En une nuit, j'appris les cicatrices de la vie que Ma Belle portait en elle. Enfin, depuis longtemps, elle pouvait dire à sa soeur qu'elle était : "heureuse", que son coeur battait fort, qu'elle touchait du doigt le bonheur. Je sentais que le plus difficile n'était pas d'annoncer son amour. Plutôt d'expliquer que cet amour était un homme, certes, mais handicapé, en fauteuil. Ô combien ! je comprenais son dilemme. Pour autant, je ne m'inquiétais pas, ma Sophie dépasserait tous les jugements. Elle était bien au dessus !
"Je t'aime Sophie !"...
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Ah ! mes Amis, vous êtes des Coeurs purs ! merci ! Je vais mieux, encore 2, 3 jours.
Ma tendre Annick, tes mots sont des cadeaux pour Sophie, nos lecteurs et moi ! Mille Baisers !
Merci encore ! Je vous embrasse tant pis pour les microbes !
Bonjour Olivier,
Oui c'est ça, exactement ça !
Il te faut cette femme forte et fragile à la fois.
Une femme qui n'a pas peur des obstacles, une déesse de vie qui concentre son bonheur sur ce qu'il y a à savourer et pas sur ce qui pourrait manquer.
À chacun sa chacune. La tienne rôde tout près.
Par cette fiction, elle ne peut que s'incarner pour de vrai.
Mes prières s'envolent vers toi Olivier en un chapelet d'amour où chaque grain est une pas vers ce couple auquel tu aspires.
Foi de Michèle, tu l'auras un jour ta Sophie !
Bisous tendres.
Michèle *****
Rédigé par : Michèle | 25 mai 2007 à 00:12
Coucou!
J'espère que la santé est de retour! Comme tu le sais,je lis tous ces épisodes avec plaisir!Bravo une fois de plus! Cupidon semble avoir fais son oeuvre de façon inabituelle ;-) Ah, pour info, sur mon blog, insolite en cours, pour les devinettistes en herbe! Bises Olivier ! Yo-cox http://photo-passion.blogspot.com
Rédigé par : yo-cox | 24 mai 2007 à 22:51
tes mots sont splendides, mon cher Olivier, et je les serre fort, toi et tes mots, tes mots et toi, toi de toi..
j'espère que ton mal s'éloigne encore un peu plus ce jour.. bises tendresses...
Rédigé par : Annick | 24 mai 2007 à 17:00
douce comme la soie et fragile comme du cristal. C'est vrai elle est bonne à aimer, et je suis contente que tu ailles un peu mieux
Rédigé par : brigetoun ou Brigitte Celerier | 24 mai 2007 à 16:50
plaisir de lire ton texte et contentement extrême de savoir que tu commences à aller mieux. Bisous Olivier
Rédigé par : marie.l | 24 mai 2007 à 12:55