Coucou Mes Amies et Amis,
Je vous propose d'abord ma contribution aux talentueux Impromptus avec comme consigne : évoquer la mer en incorporant ces cinq mots "sable, souffle, silence, sirène et soupçon". J'ai été emporté par les flots de l'inspiration et par une merveilleuse photo.
MER EN 5 S
Comme chaque été, le soir venu quand les touristes abandonnent la plage. J’enfile mon maillot long sous mon jeans, un tee-shirt, sans oublier la longue serviette, un livre ou un magazine et j’enfourche ma moto. Direction la plage tranquille entre Canet en Roussillon et Saint-Cyprien, une habitude prise gamin avec mon Papa âpre son travail, il m’emmenait piquer une tête une petite heure.
La route a bien changé mais en moto conduire au vent est un plaisir ! Vingt minutes de trajet, j’arrive presque à la plage sauf toujours ce feu rouge car un camping est situé à côté. D’habitude ce feu est assez rapide mais là il aurait pu durer des heures… Juste en face de moi légèrement sur la gauche, un mirage ! Je vous assure ! Ce mirage n’est pas du ni de la fatigue, ni du chaud soleil, aucun abus.
Des coups de foudre j’en ai connu pourtant le cœur à 200 pulsations, la bouche sèche, le souffle court et comme le loup de Tex Avery la langue par terre ! J’avoue, j’exagère. Pour autant le palpitant qui s’affole n’est que vérité.
Une jeune femme est assise sur sa valise, cheveux dans le sens, une robe légère à divers motifs, une pose à émotion, un teint hâlé, de sublimes jambes…
*
A cet instant, l’homme que je suis, devient bête, ahuri… Je fonds lamentablement…
Des klaxons me réveillent de mon état de cœur d’artichaut. Une question typiquement masculine se pose : « j’y vais ou j’y vais pas ? ». Pas de tergiversation, le clignotant est mis et le moteur de la moto s’arrête repris aussitôt par le moteur du mâle. Mais je ne perds pas toutes mes facultés, heureusement !
Elle n’a même pas perçu ma présence, elle pousse un cri lorsque je me retrouve face à elle. Avec son accent slave elle dit : « Vous m’avez effrayé ! Et que me voulez-vous ? » D’un seul coup un climat plutôt froid s’installe et la nette impression d’avoir commis une erreur fatale. Je me confonds en excuses, je tente de me raccrocher aux branches en répondant d‘un léger ton : « désolé Mademoiselle ! Je pensais que vous aviez besoin d’aide en vous voyant seule et avec votre valise. Je vous laisse tranquille, bonne soirée ! » Ce qui s’appelle prendre un râteau, une gifle. Au moment où je remonte sur ma moto, sa voix toujours glaciale m’interpelle :
- « où allez vous ? »
- « heu.. Pas loin je vais prendre un bain comme chaque soir après le travail. »
- « ça vous dérange si je viens avec vous ? »
- « non ! Je vous en prie. »
Dans une démarche chaloupée, sa valise à la main, elle s’assoit derrière moi. Je démarre non sans me demander si j’ai eu raison ou pas d’accepter, vu la tournure des événements.
Enfin nous sommes sur la plage, je déroule ma serviette, j’enlève mes habits, et seul le flux et le reflux des vagues s’entendent. Quelle atmosphère ! Jamais je n’avais rencontré une jeune femme aussi distante. Puisqu’elle ne veut pas parler, je vais plonger dans ma belle Méditerranée beaucoup plus accueillante. Après avoir nagé une bonne demi-heure, je la rejoints et à ma plus grande surprise elle me tend ma serviette en ajoutant « C’était agréable ? »
« Oui, l’eau est excellente ! Vous devriez en profiter ! » En pensant, ça vous détendrait.
« Pourquoi pas ? Mais tournez vous le temps que je mette mon maillot ! » Avec un léger soupçon de mieux dans l’intonation.
Sans avoir le temps de me retourner, je la vois courir vers la grande bleue. Mon regard se fixe vers cette inconnue qui s’amuse comme une gamine dans l’eau, joue avec les vagues. Je souris. L’élément liquide a su, lui, briser son silence. Tant mieux !
Elle revient laissant trainer ses pieds dans le sable tiède. Plus elle avance, plus son corps bouge sensuellement. Deux mètres de moi, ses yeux verts brillent, les gouttes coulent sur sa peau juste bronzée. Je me lève pour lui donner sa serviette, elle se tourne.
- « Auriez vous la gentillesse de m’essuyer le dos ? S’il vous plaît ! »
- « Avec plaisir ! » je réponds le souffle court…
J’essaye de m’appliquer sans que mes gestes soient mal perçus. Je ne peux m’empêcher de regarder sa cambrure si bien dessinée. Elle frissonne, je la couvre délicatement. Un Merci très doux me caresse l’oreille. Troublé par ce brutal changement d’attitude, je me prends les pieds dans mon sac à dos et je me retrouve les quatre fers en l’air. Ridicule en clair ! Elle éclate de rire ! Deux solutions s’offrent à moi, en sourire ou chercher une excuse bidon. D’un sourire un peu vexé, je dis
- « Au moins j’ai réussi à vous mettre en joie ! »
- « Excusez moi sincèrement ! Je n’avais rien contre vous. Vous êtes arrivé au plus mauvais moment. Mon ex venait de me larguer lâchement sur cette route. Donc une certaine colère m’avait envahie. Vous m’en voulez ? »
- « Disons que j’ai, moi aussi, ma part de tort, mais vous m’avez bien remis en place. Oh ! Maintenant je comprends mieux. Allez serrons nous la main en signe de paix ! Au fait, je me présente Olivier ! Enchanté !
- « Olga et enchantée aussi ».
Le soleil s’éclipse alors que nous, nous commençons une nouvelle histoire. Olga s’est alors transformée en douce et belle sirène… Un bonheur, un soir d’été.
*******
Mon plus long texte ! J'espère que vous aimerez...
Dernières nouvelles sur ma santé, j'ai enfin un RDV, le 27 Juillet, avec deux spécialistes pendant 2, 3 jours sur Montpellier en hôpital. Même si j'ai peur qu'ils trouvent une solution !!!!
Michèle, Sylvie, Neyde, je vous réponds ou écrit avant de partir !!!!
Patriarch, Zébu, Annick, Kris, Lilou, Ma Dame de Haute-Savoie, Eliza, Karine,Fab, Andrée, Noir Intense, Tanette, Brigetoun, Jerry, Elodie, Magali, Viviane, Madame de K et tant d'autres soit je passe sur votre blog, soit je vous écrirai !!!!
Sylvie, merci d'être qui tu es ! Tu m'a offert "Smile", fabuleuse chanson du grand Mickaël Jackson et texte de Charlie Chaplin, savourez ce moment !
Je vous embrasse fort de tout mon coeur !!!!
* Photo offerte par un talentueux photographe, Dmitriy Grechin , cliquez !
Je vous propose d'abord ma contribution aux talentueux Impromptus avec comme consigne : évoquer la mer en incorporant ces cinq mots "sable, souffle, silence, sirène et soupçon". J'ai été emporté par les flots de l'inspiration et par une merveilleuse photo.
MER EN 5 S
Comme chaque été, le soir venu quand les touristes abandonnent la plage. J’enfile mon maillot long sous mon jeans, un tee-shirt, sans oublier la longue serviette, un livre ou un magazine et j’enfourche ma moto. Direction la plage tranquille entre Canet en Roussillon et Saint-Cyprien, une habitude prise gamin avec mon Papa âpre son travail, il m’emmenait piquer une tête une petite heure.
La route a bien changé mais en moto conduire au vent est un plaisir ! Vingt minutes de trajet, j’arrive presque à la plage sauf toujours ce feu rouge car un camping est situé à côté. D’habitude ce feu est assez rapide mais là il aurait pu durer des heures… Juste en face de moi légèrement sur la gauche, un mirage ! Je vous assure ! Ce mirage n’est pas du ni de la fatigue, ni du chaud soleil, aucun abus.
Des coups de foudre j’en ai connu pourtant le cœur à 200 pulsations, la bouche sèche, le souffle court et comme le loup de Tex Avery la langue par terre ! J’avoue, j’exagère. Pour autant le palpitant qui s’affole n’est que vérité.
Une jeune femme est assise sur sa valise, cheveux dans le sens, une robe légère à divers motifs, une pose à émotion, un teint hâlé, de sublimes jambes…
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A cet instant, l’homme que je suis, devient bête, ahuri… Je fonds lamentablement…
Des klaxons me réveillent de mon état de cœur d’artichaut. Une question typiquement masculine se pose : « j’y vais ou j’y vais pas ? ». Pas de tergiversation, le clignotant est mis et le moteur de la moto s’arrête repris aussitôt par le moteur du mâle. Mais je ne perds pas toutes mes facultés, heureusement !
Elle n’a même pas perçu ma présence, elle pousse un cri lorsque je me retrouve face à elle. Avec son accent slave elle dit : « Vous m’avez effrayé ! Et que me voulez-vous ? » D’un seul coup un climat plutôt froid s’installe et la nette impression d’avoir commis une erreur fatale. Je me confonds en excuses, je tente de me raccrocher aux branches en répondant d‘un léger ton : « désolé Mademoiselle ! Je pensais que vous aviez besoin d’aide en vous voyant seule et avec votre valise. Je vous laisse tranquille, bonne soirée ! » Ce qui s’appelle prendre un râteau, une gifle. Au moment où je remonte sur ma moto, sa voix toujours glaciale m’interpelle :
- « où allez vous ? »
- « heu.. Pas loin je vais prendre un bain comme chaque soir après le travail. »
- « ça vous dérange si je viens avec vous ? »
- « non ! Je vous en prie. »
Dans une démarche chaloupée, sa valise à la main, elle s’assoit derrière moi. Je démarre non sans me demander si j’ai eu raison ou pas d’accepter, vu la tournure des événements.
Enfin nous sommes sur la plage, je déroule ma serviette, j’enlève mes habits, et seul le flux et le reflux des vagues s’entendent. Quelle atmosphère ! Jamais je n’avais rencontré une jeune femme aussi distante. Puisqu’elle ne veut pas parler, je vais plonger dans ma belle Méditerranée beaucoup plus accueillante. Après avoir nagé une bonne demi-heure, je la rejoints et à ma plus grande surprise elle me tend ma serviette en ajoutant « C’était agréable ? »
« Oui, l’eau est excellente ! Vous devriez en profiter ! » En pensant, ça vous détendrait.
« Pourquoi pas ? Mais tournez vous le temps que je mette mon maillot ! » Avec un léger soupçon de mieux dans l’intonation.
Sans avoir le temps de me retourner, je la vois courir vers la grande bleue. Mon regard se fixe vers cette inconnue qui s’amuse comme une gamine dans l’eau, joue avec les vagues. Je souris. L’élément liquide a su, lui, briser son silence. Tant mieux !
Elle revient laissant trainer ses pieds dans le sable tiède. Plus elle avance, plus son corps bouge sensuellement. Deux mètres de moi, ses yeux verts brillent, les gouttes coulent sur sa peau juste bronzée. Je me lève pour lui donner sa serviette, elle se tourne.
- « Auriez vous la gentillesse de m’essuyer le dos ? S’il vous plaît ! »
- « Avec plaisir ! » je réponds le souffle court…
J’essaye de m’appliquer sans que mes gestes soient mal perçus. Je ne peux m’empêcher de regarder sa cambrure si bien dessinée. Elle frissonne, je la couvre délicatement. Un Merci très doux me caresse l’oreille. Troublé par ce brutal changement d’attitude, je me prends les pieds dans mon sac à dos et je me retrouve les quatre fers en l’air. Ridicule en clair ! Elle éclate de rire ! Deux solutions s’offrent à moi, en sourire ou chercher une excuse bidon. D’un sourire un peu vexé, je dis
- « Au moins j’ai réussi à vous mettre en joie ! »
- « Excusez moi sincèrement ! Je n’avais rien contre vous. Vous êtes arrivé au plus mauvais moment. Mon ex venait de me larguer lâchement sur cette route. Donc une certaine colère m’avait envahie. Vous m’en voulez ? »
- « Disons que j’ai, moi aussi, ma part de tort, mais vous m’avez bien remis en place. Oh ! Maintenant je comprends mieux. Allez serrons nous la main en signe de paix ! Au fait, je me présente Olivier ! Enchanté !
- « Olga et enchantée aussi ».
Le soleil s’éclipse alors que nous, nous commençons une nouvelle histoire. Olga s’est alors transformée en douce et belle sirène… Un bonheur, un soir d’été.
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Mon plus long texte ! J'espère que vous aimerez...
Dernières nouvelles sur ma santé, j'ai enfin un RDV, le 27 Juillet, avec deux spécialistes pendant 2, 3 jours sur Montpellier en hôpital. Même si j'ai peur qu'ils trouvent une solution !!!!
Michèle, Sylvie, Neyde, je vous réponds ou écrit avant de partir !!!!
Patriarch, Zébu, Annick, Kris, Lilou, Ma Dame de Haute-Savoie, Eliza, Karine,Fab, Andrée, Noir Intense, Tanette, Brigetoun, Jerry, Elodie, Magali, Viviane, Madame de K et tant d'autres soit je passe sur votre blog, soit je vous écrirai !!!!
Sylvie, merci d'être qui tu es ! Tu m'a offert "Smile", fabuleuse chanson du grand Mickaël Jackson et texte de Charlie Chaplin, savourez ce moment !
Je vous embrasse fort de tout mon coeur !!!!
* Photo offerte par un talentueux photographe, Dmitriy Grechin , cliquez !
L'espoir et la crainte sont souvent proches, Olivier, mais je ne doute pas que ce trois jours vont t'apporter des réponses. Bisous et bon courage !
Rédigé par : zebu32 | 26 juillet 2009 à 05:32
Mon doux Lamartine, je pense bien à toi tu sais et j'espère que tu vas avoir bientôt la réponse à tes maux..et que tu pourras à nouveau nous offrir tes mots qui nous charment tant.
Je n'avais pas vu que tu avais changé la photo dans ta présentation. superbe!!
je t'envoie tout plein de tendres baisers pour qu'ils aillent jusqu'à ton coeur.
à bientôt
ta dame de haute savoie
Rédigé par : chantal74 | 26 juillet 2009 à 00:42
passe le meilleur week end possible...
j'imagine que le bagage est prêt avec de quoi se distraire l'esprit...
alors il faut le bon temps...
une bonne glace au frais par exemple...un karaoké en famille ou avec des amis...
merci aux médecins d'être les meilleurs avec toi...
Rédigé par : andrée wizem | 25 juillet 2009 à 09:37
Je pense fort à toi, pensées tendres douces pour lundi. Bises.
Rédigé par : Annick | 24 juillet 2009 à 22:43
Merci Olivier pour la pensée et pour le cadeau !!!!
et puis lundi, j'ouvrirai mes mains, histoire de t'envoyer une quantité phénoménale d'ondes positives, tu les sentiras un moment, j'en suis certaine... ;-)
Bon week-end et gros bisouxxxxxxxxxxxxxxxxx
Rédigé par : kris | 24 juillet 2009 à 12:09
Wouah !! superbe texte Olivier !!! cette divine et sculpturale Olga jouant avec les vagues ...je la voyais entre tes lignes ! tu possèdes vraiment une très belle écriture !! j'ai passé quelques jours à Marseille et j'ai pu voir quelques sirènes jouer avec les vagues , un beau moment de répit !
le 5 juillet dernier je me suis produit à la demande du personnel du centre les Villandières de Charnay les Macon (un établissement pour personnes handicapés). j'ai joué 10 chansons de ma composition (celles que tu connais )et ce fut un beau et fort moment de partage . Je me suis dit que j'aurais bien aimé chanter pour toi aussi ...un jour peut etre qui sait nous verrons nous !
En attendant je te salue et t'envoies de ondes positives afin que cette période te soit un peu moins difficile au niveau santé : take care of you my friend !
Rédigé par : jean-philippe | 21 juillet 2009 à 23:41
Ta plume est toujours aussi délicieuse, hein monsieur le coauteur de Sophie,
c'est si bon un monsieur qui apprécie les femmes en leur trouvant des belles aptitudes à être,
c'est si sensible la jolie plume d'un homme qui aimme la femme.....
belle soirée,
et mes meilleurs souhaits pour ce 27, évidemment!
Rédigé par : Annick | 20 juillet 2009 à 21:48
Le bain partagé, une idée qui t'avait déjà inspiré il y a quelque temps, si je ne me trompe. Un rêve récurrent pour une réalité à concrétiser ? ........... Contente que tu aies retrouvé ta jolie plume, en tout cas. Bisous
Rédigé par : zebu32 | 20 juillet 2009 à 04:51
Coucou Olivier!
C'est gentil d'être passé chez moi, ça me fait vraiment plaisir.
J'espère pour toi que tout ira mieux, c'est toujours ce qu'on dit, mais c'est sincère tu peux me croire.
J'ai lu ton texte qui est une petite merveille et j'ai aussi lu tout ce que j'avais en retard...
Je devrais rentrer chez moi mardi et je t'appellerai.
Un gros bisou
Viviane
Rédigé par : Viviane | 19 juillet 2009 à 17:14
Bonjour Olivier,
"Seulement je traverse une zone de tumultes moraux et physiques. C'est ce que j'ai lu sur ton article précédent. Je peux comprendre, moi c'est un peu la même chose mais il faut avancer malgré tout. Avons-nous le choix ? Non hélas. Alors je te souhaite un été aussi chouette que possible.
J'ai lu et aimé le texte que tu as déposé sur les Impromptus, j'ai cherché et pas trouvé Olga sur ton blog. Méfie-toi du charme slave ! Bon, je plaisante bien sûr. Je t'embrasse Olivier (toujours pas de blog car la blogosphère ne me rassure pas vraiment).
Bonne soirée Olivier
Rédigé par : Cédille | 17 juillet 2009 à 17:16
J'ai aimé cette belle histoire que t'ont inspiré la photo et les mots obligatoires. Je te souhaite un bon séjour à Montpellier avec une solution acceptable à tous tes problèmes. Bises et à bientôt pour avoir de tes nouvelles.
Rédigé par : tanette | 17 juillet 2009 à 16:53
aaaaaaaaaaah...cette écriture qui permet de faire durer le suspens sans dévoiler le dénouement pour autant...
et qui a l'avantage de distraire des soucis...
d'autres occasions vont se présenter avant ce 27 décisif pour alléger
ton été...
bon courage...
Rédigé par : andrée wizem | 17 juillet 2009 à 16:01
Aucun critique ni reproche dans mon autre com', juste une invitation.
Je suis désolée que ce ne fût pas clair.
Bravo pour ton texte ici !!!
Rédigé par : joye | 17 juillet 2009 à 14:12
Coucou monsieur le chevalier à roulettes !
Je t'ai laissé un comm chez les impromptus.
Je croise les doigts pour que ta santé revienne !
Rédigé par : madame de K | 17 juillet 2009 à 10:42
Kikoo vous !!!
Je n'ai pas lu le texte, je ne voulais pas être influencée, des fois que l'inspiration me revienne....
Par contre, j'attendais de tes nouvelles...
Alors encore une date butoir, bilan le 27/28 juillet...
La solution que tu attends autant que tu redoutes...
Courage Olivier !
Je t'embrasse.
Rédigé par : kris | 16 juillet 2009 à 23:14
Olivier, il faudra absolument que tu envoies un texte chez le Défi du samedi, surtout puisque leur consigne pour cette semaine et la semaine qui vient encore, c'est l'érotisme, et toi, tu sais écrire des textes magnifiques à ce but !
Allez, chiche !!!
Et je t'assure que l'accueil là-bas est nec plus chaleureux.
http://samedidefi.canalblog.com/archives/2009/07/11/14360291.html
Tu leur envoies ton texte dans un mail à
[email protected]
et ils publient chaque jour à 17 h 01 !
Allez, re-chiche !!!
En attendant te lire là-bas !
Rédigé par : joye | 16 juillet 2009 à 22:16
Coucou mon tendre Lamartine, un plaisir de lire ton texte.. et je n'ai pu empêcher mes larmes de couler en entendant M. Jackson chanter Smile et de revoir les images de Charlie Chaplin. Sa voix est tellement pure que c'est un enchantement. mais je suis une grande fan depuis 1953.
C'est une bonne nouvelle, malgré ton inquiétude, que tu sois hospitalisé car il faut bien la trouver la solution à tes douleurs.
Si, moi je suis très fatiguée et j'ai beaucoup de travail en retard pour mes 2 asoc. J'ai eu ma couvée pendant plusieurs jours, ce qui me donne une pêche d'enfer et le 13 nous avons fêté ses 38 ans.. Je n'arrive plus à avancer, je n'ai envie que de dormir..et le moindre geste me fatigue et avec cette chaleur caniculaire c'est encore pis.
Je t'envoie des millions de bisous très tendres et je voudrais déjà être à la fin de ton séjour, pour savoir ce que les docteurs vont te dire.
prends soin de toi
ta dame de haute savoie
Rédigé par : chantal74 | 16 juillet 2009 à 18:12
Coquin !!! Je souhaite moi, qu'ils trouvent une solution, même si le traitement demande quelques temps !!! Il faudra t'accrocher, mais je te fais confiance.
Bonne soirée, l'ami, et qui sait......
Amitiés et bises de nous deux. Eliane & Walter.
Rédigé par : patriarch | 16 juillet 2009 à 18:05
PS:
tu as raison... la photo est sublime!!!
Rédigé par : Fab ;-) | 16 juillet 2009 à 16:10
Bonjour Olivier,
hé bien moi je me suis laissée embarquer par ton texte!!! j'étais partie dans cette jolie histoire et qui me laisse dans l'attente... la suite! ;-D
bien j'espère que tes rendez-vous sur Montpellier seront fructueux, je croise tout ce que je peux pour toi! peut-être auras-tu la visite de Lilou elle est tout à côté!!! à ce propos today est en GRAND jour pour elle ;-)
j'ai vu que tu avais "retrouvé le chemin de son blog"... sache que tu peux aussi avoir de ses nouvelles là:
http://lessauvages.blogspace.fr/
quant à moi plus qu'une semaine puis on ferme... j'ai hâte!!!
gros bisous et bon moral surtout!!!
Rédigé par : Fab ;-) | 16 juillet 2009 à 16:09