Ma Photo

Rugby-Espoir-Solidarité

Mon ANGE-GARDIEN

UNE VIE, les photos !

  • Avec CLEMENTINE CELARIE !
    Quelques photos de ma vie !!!!

janvier 2013

lun. mar. mer. jeu. ven. sam. dim.
  1 2 3 4 5 6
7 8 9 10 11 12 13
14 15 16 17 18 19 20
21 22 23 24 25 26 27
28 29 30 31      

« "SOPHIE, CADEAU DE LA VIE"... 11 | Accueil | "Je descends la rue." »

29 mai 2007

Commentaires

Neyde

J'ai connu un Olivier, heureux, plein de joie de vivre, optimiste.
Où est-il?
Tu as de la chance.
Tu as une famille qui t'entoure.
Tu as tant des amis! J'ai lu tous les commentaires.
Tu écris très, très bien.
Mon cher Olivier
la force est dedans toi.
Desolée de n'être pas venue plus tôt, mais je depose ici toute mon amitié
Je t'embrasse fort pour te transmettre l'énergie.
Bises brésiliennes.

Pam

Bonjour Olivier,
Cela fait plusieurs jours que je n'ai pas déposé de commentaires, mais je viens régulièrement lire tes notes, très touchantes et très personnelles.
Merci de nous faire partager les bons et les mauvais moments, ton écriture est forte et sincère, comme ton analyse, je suis admirative.
Je ne doute pas que tu avances.
J'ai souri en lisant ta note et en regardant la photo que tu as choisi ;-) elle est si belle , le mur est si beau, sur un si belle endroit...
Je t'embrasse et t'envoie toute mon amitié

Michèle

Bonjour Zébu,

Je suis désolée que tu passes par des moments difficiles. Je comprends ta nostalgie. Nous sommes donc dans la même situation. Moi c'est davantage au travail et je songe même à demander un congé pour quelques semaines.

Tu es super gentille de m'écrire. J'espère aussi que mon mot ne t'a pas blessée. Je voulais, avant tout, expliquer davantage mon intervention.

Comme il est écrit dans Tintin : «Tout est bien qui finit bien».

Bisous par milliers.
Que tout rentre dans l'ordre et que la joie soit au menu ;-))

zebu32

Michèle, rassure-toi, il n'y avait aucune attaque contre toi dans mon commentaire. Bien sûr que tu as raison quand tu dis qu'il faut profiter du présent. C'est juste qu'il y a des jours où c'est vraiment difficile d'y croire. Mon moral n'est pas au beau fixe en ce moment, et même si je profite des beaux moments que m'offre la vie, il y a toujours au fond de moi cette douleur sourde de ne pas pouvoir les partager avec papa. Alors quand j'ai lu le post d'Olivier ce matin et tous les commentaires, ce sont mes tripes qui ont parlé les premières.
Pour te lire depuis longtemps sur le blog d'Olivier, je sais combien tes propos sont amicaux, réconfortants et justes. Pardonne-moi si je t'ai blessée tout à l'heure. Ce n'était pas mon intention.
Bisous à toi (et si quelques-uns s'échappent, ce sera pour Olivier !)

Michèle

Coucou zebu32,

C'est justement parce que j'expérimente régulièrement la souffrance que je peux me permettre d'encourager Olivier à profiter du quotidien. Profiter du quotidien, voir le bon côté des choses, personne n'a jamais dit ou écrit que c'est facile à faire. Mon dernier livre «Le Courage d'être heureux» est un éloquent témoin du fait que la vie est un combat quotidien au cours duquel il faut choisir, à chaque matin, soit de rester au fond, soit de refaire surface.

Quand un ami coule, on peut couler avec lui ou l'aider à remonter. Moi je préfère partager avec Olivier ma vision positive des choses. Quand je coule et qu'un ami me tend la main, je sens une bienveillante chaleur humaine.

L'herbe est toujours plus verte dans le champ du voisin. Quand on s'approche, on se rend bien compte qu'il n'y a personne pouvant prétendre à une vie parfaite.

Les jeux sont faits, rien ne va plus ! Alors zebu32, je partage ta vision des choses mais je t'en prie, ne te méprends surtout pas sur la mienne. En apportant à Olivier un peu d'espoir et de lumière, je lui offre le plus beau cadeau d'amitié que je possède.

Bisous à toi et à tous ceux et celles qui souffrent... tout le monde quoi !

zebu32

PS : si t'es sage, t'auras peut-être l'occasion de me découvrir un peu (pas beaucoup !) sur mon blog demain. J'ai commencé un poème. Si je trouve la dernière strophe, tu as tes chances...

zebu32

Profiter de son quotidien, c'est super facile à dire. A faire, c'est autre chose. C'est super facile de surmonter un petit tracas quand tout le reste va. C'est beaucoup plus dur de se réjouir énormément d'un bon moment quand toute notre vie semble grise. C'est facile, aussi, de donner des conseils quand on n'a pas le coeur tordu par la souffrance.
Ce que je sais depuis que je te côtoie, Olivier, c'est que tu as une force immense en toi. je ne peux pas te dire comment l'exploiter, parce que toi seul le sens, mais je suis certaine que grâce à elle, tu vas t'en sortir. J'ai souvent lu qu'il fallait aller au fond de sa souffrance et de son désespoir pour pouvoir refaire surface. Je l'ai expérimenté. Au moins deux fois je me suis retrouvée tout au fond de la piscine, à la limite de creuser la dalle de béton, et je n'ai rien suivi de tous ceux qui me disaent "tu devrais faire ci", "tu devrais faire ça". Je suis remontée parce que ma pulsion de vie m'a donné une grande gifle. Ca fait mal, ça fait super mal, mais après, la vie prend un tout autre visage.
J'aimerais t'aider davantage, Olivier, mais mes mots seraient vains à côté des doutes qui se sont emparés de toi. Alors, je t'embrasse et je te demande d'y croire, parce qu'il y a toujours une étincelle pour rallumer la flamme, même si elle ne jaillit pas de là où tu l'attends.
Et pour la rose, ben ça sera pas pour moi, j'ai rien remarqué. Dôôômmage !

Michèle

Olivier,

Ce mur, si tu n'arrives pas à le contourner ni à le traverser, eh bien reste-là.
Comme l'écrit madamedekeravel, avec philosophie, réjouis-toi de ton quotidien.

En restant bien en place, en étant toi-même, c'est-à-dire adorable, elle saura bien te retrouver. Laisse-la venir à toi tout en continuant d'écrire, avec ta merveilleuse complice Annick, à quatre mains, à deux têtes, à grands coups de coeur partagés (c'est de toi ça !)

La visualisation ne demande qu'un geste du coeur et de la main. Pas besoin de se déplacer.

Je t'envoie un million de câlins de mon Québec ensoleillé.

L'anonymette masquée !

Voilà déjà des semaines, que dis-je, des mois que je garde le silence en te lisant pourtant régulièrement. C'est ma spécialité, après tout, de me taire... et tu me l'as déjà assez reproché ! :-)

Donc, comme l'encre sympathique, je réapparais et disparais, ce qui ne me rend pas très... sympathique, justement. Oui, je sais. Pas comme l'encre, donc.

Cependant, puisque sur un blog, on peut s'exprimer... et qu'en plus la liberté d'expression est un concept qui t'es cher... je glisse une petite note pour te dire que tu as en toi les clés pour sortir de cette impasse, et que tu nous les montres tous les jours sur ton blog : optimisme, amour de la vie, courage. Alors accroches-toi et ne perds pas espoir.

A propos d'espoir, je retrouve ton ton badin et fin dans la dernière phrase de ton post : sous la forme d'une note d'optimisme, tu nous demandes la particularité de ton poème d'hier.

Mon cher, tout comme Ronsard ou Du Bellay en leurs temps, tu as écrit un sonnet, au charme désuet et romantique.
4 + 3 vers. Rimes croisées en ABBA CCC.
Si toi tu as eu 15 au bac grâce à Aurélien d'Aragon, saches que moi, c'est Ronsard qui m'a péniblement offert un 12...

Bises de la concombrette masquée, pourtant fidèle lectrice, que tu auras sans doute reconnue.

marie.l

désolée Olivier de ne pas être plus présente et surtout de ne pas pouvoir t'aider, ah combien je souhaiterais le faire. Pour l'instant mes seuls mots seront amitié et tendresse.
Bisous

Annick

Olivier, vise tout droit, le passage dans le mur, il est là, prends le, respire, tu sens je te donne la main, tu n'es pas seul...pensées tendres.
Si seulement ton midi était dans le nord...

ckck

Si je peux ramener ma fraise, finalement, sur quatre roues ou sur deux pattes, on est toujours dépendants des autres, à des stades et des degrés divers certes. Mais c'est douloureux parfois quand on a cette impression, et que ces "autres" nous échappent. Vision pessimiste du mardi soir : de toutes façons, on est toujours tout seul dans la vie. C'est ptet là dedans qu'il faut aller chercher sa force. Continue à écrire, olive. Biz.

madamedekeravel

Je ne voulais pas te faire la leçon (ce que j'ai écrit à la relecture ressemble un peu à "conseil de mamie S*). Je voulais juste te faire remarquer que dans le mur y'a une porte ;-)

madamedekeravel

Mon virtuel ami à roulettes,
J'ai lu ce que tu as écrit aujourd'hui, et j'ai lu la note précédente, et si tu veux bien me permettre un conseil : ne cherche pas à t'évader de ton quotidien, mais cherche des raisons de te réjouir dans ton quotidien. Ton blog s'appelle "Carpe Diem" non ? Alors positive !
Je sais ce que c'est de dépendre des autres (un peu, moins que toi). Je sais ce que c'est de faire le deuil de certaines choses. Mais je crois que j'arrive à me satisfaire de mon quotidien (la plupart du temps ;-)

brigetoun ou Brigitte Celerier

o si je pouvais quelque chose, ce serait avec plaisir Olivier

L'utilisation des commentaires est désactivée pour cette note.