CARPE DIEM

"Pour être quelqu'un"

Ce titre est la consigne des Impromptus, elle ne pouvait que m'inspirer !

Patience utile,

Ouvrir son coeur,

Un esprit zen,

Regard tourné vers l'extérieur,

Ecoute fondamentale,

Travail sur soi quotidien,

Respirer amplement du ventre,

Energies maitrisées,

Qui se prétend ainsi ?

Un homme tel que moi,

Erreur fatale si je le pensais,

Le chemin sera long, semé d'embûches,

Quand "être quelqu'un" ?

Un geste, un sourire, un mot, permettent d'avancer,

Une attention à partager, à diffuser,

Ne jamais oublier que nous ne sommes que de passage...

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Un seul Etre a, presque, atteint l'état de Sérénité, Maitrise, Sagesse ! Je dis "presque" car lui même ne cesse de méditer, écouter, pour atteindre la "Perfection".

Tenzin Gyayso, le XIV Dalaï Lama, un homme exceptionnel !!!

"Nul besoin de temples, nul besoin de philosophies compliquées. Notre cerveau et notre coeur sont nos temples."

"La sensation d'être heureux ou malheureux dépend rarement de notre état dans l'absolu, mais de notre perception de la situation, de notre capacité à nous satisfaire de ce que nous avons."

Attention, je ne l'impose à personne. Bien au contraire, à chacun de trouver ou pas, un guide, une personne, pour tenter d'être "heureux" en tant qu'être humain.

Mes amis, je passe rapidement, mais je pense à vous tous les jours !!!!

Une tendre pensée du plus profond de mon coeur à mon Amie Brésilienne Neyde qui traverse une immense peine.

L'écriture revient aussi !

Un tour chez mes Amis des Impromptus , je lis la consigne : "sous la morne lumière hivernale des lampadaires", elle me séduit ! J'ose espérer ne pas vous et les décevoir...

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Un soir tombant où le soleil avait daigné se montrer, enfoui sous ma gabardine, je peste contre moi, contre tout. Une journée morose, ces jours que je déteste. Ces jours là au travail, chacun bougonne, râle, pour la moindre peccadille. Comme il est pénible d’entendre geindre, s’engueuler, alors mon ventre se noue pour ne pas exploser sur mes collègues. Ouf ! 18 h, nous quittons enfin le bureau et poliment nous nous disons : « à demain ! ». Politesse et hypocrisie se mélangent.

Bien que ce temps soit assez incompatible avec la marche, je décide de rentrer par le parc. Même si je n’ai aucune chance de croiser âme qui vive, je m’engouffre dans l’allée. Elle, aussi, a son aspect vert gris foncé, de surcroît, je me retrouve sous la morne hivernale des lampadaires.

Les esprits malsains ont accordé leur violon pour me voir totalement blasé ?

Quel remède pour enrayer ce fardeau ? Rencontre opportune, chanter, crier un bon coup, penser au feu de cheminée qui m’attend, se dire que demain sera meilleur, poétiser sur les bancs, les feuilles ? Où se cache mon inspiration ?

Tiens, si je me concentrais sur ma respiration ! Allez trois bons et profonds mouvements d’inspiration et d’expiration comme m’a appris mon maître de judo.

D’un coup, mes chakras se sont ouverts, je suis apte pour positiver !

Je chante :

« ça m’a pris par surprise
Quand j’étais qu’un gamin,
Je regardais tomber mes nuits,
Et j’en attendais rien,  

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Ca faisait,
1,2,3, pretty mama,
4,5,6, I miss you,
7, 8, 9, Cannot get enoutgh
10, 11, 12, I ain’t got the blues, ..... »  

Ah ! Le trio magique « Frédéricks-Goldman-Jones » ça booste !!!

 
Je ne sais si ma chanson a réveillé le bois, mais des gazouillis se font entendre !

J’introduis la clé dans la porte, le sourire presque béat.  Machinalement j’appuie sur le répondeur tout en ouvrant le courrier, et une voix au milieu de messages sans intérêt me fait tendre l’oreille, Séverine. Excellente nouvelle, demain, elle me propose un resto.  

Cette journée nuageuse s’achève sur un rayon de soleil !  

 

« Je suis un homme heureux ! » chante sublimement Sheller.

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Mes Amis, je vous embrasse de tout mon coeur et merci pour votre indéfectible Amitié !

Réponses ! Nyls est arrivé !

Ma chère Ami Catherine vous a tout dévoilé, félicitations Madame ! Catherine est une poétesse de talent, je puis vous l'assurer !

Il va de soi que vos commentaires sont que du bonheur !

Je vous offre l'acrostiche le plus célèbre, et bien plus coquin, cliquez ICI ! Et la magnifique Chanson de Goldman "Quelque part, quelqu'un" !!!

"Six planètes en plus de notre Terre

Six continents dans cinq océans

Douze mois pour une années entière
Cinq milliards de gens et tellement d'absents
Huit et un mois pour une grossesse
Douze apôtres et dix commandements
Quatre et deux piliers d'une sagesse
Et quelque part, sûrement, quelqu'un qui m'attend

Trente-six justes, autant de chandelles
Dans 500 millions de galaxies
Trois Glorieuses mais sept merveilles
Quatre saisons plus belles après Vivaldi
Cinq sens et sept plaies d'Egypte
Trois dimensions, quatre vérités
Vingt et quatre livres, une Bible
Et quelque part, sûrement, quelqu'un à aimer

Et je me fous bien des trois mousquetaires
De mes quatre ou cinq litres de sang
Mais je ferai plus de cent ans de guerre
Pour être à elle à deux cent pour cent
Des jours à Pékin, trois sifflets d'un train
Trois types de rencontres et sept nains
Sept samouraïs et 101 dalmatiens
Et quelque part, sûrement, rien qu'à moi quelqu'un

Six planètes en plus de notre Terre
Six continents dans cinq océans
Douze mois pour une année entière
Et quelque part, sûrement, quelqu'un qui m'attend
Quelqu'un qui m'attend..."

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Je vous présente Nyls, le beau bébé de ma Nanou, de mon Brice, et le frère de Manon, sans oublier les heureux Grands-Parents, Dany et René ! Bienvenue Petit Homme, Félicitations à Maman, Papa ! Belle et longue Vie !!!

"Je suis né hier, je pèse 3,5 Kg"

Je vous souhaite un merveilleux weekend !!!

Cherchez ! ;)

Pour une fois, j’avoue, je suis fier de ma plume !

Mes Amis des Impromptus ont donné comme consigne : « décrocher la lune ». Ce sujet d’emblée m’a séduit. L’écriture s’est envolée, le schéma s’est imposé, le travail a été recherché. Et mon poème s’est enrichi de l’aide de la voix et la justesse de mon « Tonton » Roger, qui n’est autre que mon instituteur du Cours Préparatoire, bien plus aujourd’hui.

Je vous laisse juger....

 

DECROCHER LA LUNE

 

Un soir, mes doigts sur sa fine peau,

Allongé, de tout mon être contre elle,

Sur mon sofa, où nos corps s’épousaient piano,

Au bord, de la chute de ses reins, charnelle,

D’une mer, de volupté, d’incandescence,

La lune, chaude jouait de son insolence,

Envahissait, mon moi, mes sens, seulement,

Mon regard, se promenait sur ses seins, taquins,

Les vagues, berçaient nos tendres mouvements,

Chantaient, cette ode d’amour au goût méditerranéen,

Un air léger, accentuait les derniers frissons,

Romantique, j’enlaçais ma sirène sans nom,

Quelque part, ce rêve se dessinait de mille façons,

Quelqu’un, qui m’avait soufflé cet espoir,

Qui m’attend, pour décrocher la lune, la belle histoire...

 

Découvrez deux « subtilités » ! Indices : L’un, classique dans mes poèmes ; l’autre, une chanson de Jean-Jacques Goldman... Demain, les réponses, sauf si vous trouvez !

 

Mes chers Amis, que votre journée soit belle !!!

Je vous embrasse affectueusement et je pars vers chez vous !

Lundi "à fleur de mots"

A FLEUR DE MOTS

 A fleur de mots, la rose flirte avec l’amour,

Le nénuphar se plait dans l’eau,

Le tournesol se voit en soleil,

La marguerite s’effeuille à merveille,

La lavande s’acoquine à nos habits,

Le géranium se prélasse sur un balcon dès midi,

Le lys s’annonce emblème de la royauté,

Le muguet sonne ses clochettes le 1^er mai,

L’orchidée affiche sa beauté sans artifice,

La tulipe prétend que Van Gogh en fit son inspiratrice,

Le lotus incarne le zen asiatique,

Le lilas vante ses pouvoirs hypnotiques,

Les magnolias chantent « dites lui que je pense à elle »,

L’angélique s’est vue Marquise bien belle,

La glycine s’aventure sur nos façades,

Le laurier se distingue aux olympiades,

Les chrysanthèmes surveillent les âmes,

Le pissenlit de ses vertus se pâme,

 

De ces fleurs je vous offre, Mesdames, Mesdemoiselles,

Un bouquet de mes mots aux odeurs sensuelles....

 

Je vous livre ma participation aux Amis Impromptus dont la consigne était « à fleur de mots ».

Nous sommes lundi, le temps si beau a disparu, la tramontane souffle fort, les degrés chutent. Nous n’allons pas nous plaindre...

Mes Amis, je commence mes visites aujourd’hui et je finirais demain par manque de temps.

Je vous rassure tout de suite, dès que j’ai une date d’hospitalisation, vous serez informés !

 Merci aux nouvelles venues, merci à tous de vos mots très attentionnés !

 Je vous embrasse ! Je vous souhaite une formidable semaine !

Un texte d'été et des nouvelles !

Coucou Mes Amies et Amis,
Je vous propose d'abord ma contribution aux talentueux Impromptus avec comme consigne : évoquer la mer en incorporant ces cinq mots "sable, souffle, silence, sirène et soupçon". J'ai été emporté par les flots de l'inspiration et par une merveilleuse photo.

MER EN 5 S

Comme chaque été, le soir venu quand les touristes abandonnent la plage. J’enfile mon maillot long sous mon jeans, un tee-shirt, sans oublier la longue serviette, un livre ou un magazine et j’enfourche ma moto. Direction la plage tranquille entre Canet en Roussillon et Saint-Cyprien, une habitude prise gamin avec mon Papa âpre son travail, il m’emmenait piquer une tête une petite heure.
La route a bien changé mais en moto conduire au vent est un plaisir ! Vingt minutes de trajet, j’arrive presque à la plage sauf toujours ce feu rouge car un camping est situé à côté. D’habitude ce feu est assez rapide mais là il aurait pu durer des heures… Juste en face de moi légèrement sur la gauche, un mirage ! Je vous assure ! Ce mirage n’est pas du ni de la fatigue, ni du chaud soleil, aucun abus.
Des coups de foudre j’en ai connu pourtant le cœur à 200 pulsations, la bouche sèche,  le souffle court et comme le loup de Tex Avery la langue par terre ! J’avoue, j’exagère. Pour autant le palpitant qui s’affole n’est que vérité.
Une jeune femme est assise sur sa valise, cheveux dans le sens, une robe légère à divers motifs, une pose à émotion, un teint hâlé, de sublimes jambes…
*
A cet instant, l’homme que je suis, devient bête, ahuri… Je fonds lamentablement…
Des klaxons me réveillent de mon état de cœur d’artichaut. Une question typiquement masculine se pose : « j’y vais ou j’y vais pas ? ». Pas de tergiversation, le clignotant est mis et le moteur de la moto s’arrête repris aussitôt par le moteur du mâle. Mais je ne perds pas toutes mes facultés, heureusement !
Elle n’a même pas perçu ma présence, elle pousse un cri lorsque je me retrouve face à elle. Avec son accent slave elle dit : « Vous m’avez effrayé ! Et que me voulez-vous ? » D’un seul coup un climat plutôt froid s’installe et la nette impression d’avoir commis une erreur fatale. Je me confonds en excuses, je tente de me raccrocher aux branches en répondant d‘un léger ton : « désolé Mademoiselle ! Je pensais que vous aviez besoin d’aide en vous voyant seule et avec votre valise. Je vous laisse tranquille, bonne soirée ! » Ce qui s’appelle prendre un râteau, une gifle. Au moment où je remonte sur ma moto, sa voix toujours glaciale m’interpelle :
- « où allez vous ? »
- « heu.. Pas loin je vais prendre un bain comme chaque soir après le travail. »
- « ça vous dérange si je viens avec vous ? »
- « non ! Je vous en prie. »
Dans une démarche chaloupée, sa valise à la main, elle s’assoit derrière moi. Je démarre non sans me demander si j’ai eu raison ou pas d’accepter, vu la tournure des événements.
Enfin nous sommes sur la plage, je déroule ma serviette, j’enlève mes habits, et seul le flux et le reflux des vagues s’entendent. Quelle atmosphère ! Jamais je n’avais rencontré une jeune femme aussi distante. Puisqu’elle ne veut pas parler, je vais plonger dans ma belle Méditerranée beaucoup plus accueillante. Après avoir nagé une bonne demi-heure, je la rejoints et à ma plus grande surprise elle me tend ma serviette en ajoutant « C’était agréable ? »
«  Oui, l’eau est excellente ! Vous devriez en profiter ! » En pensant, ça vous détendrait.
«  Pourquoi pas ? Mais tournez vous le temps que je mette mon maillot ! » Avec un léger soupçon de mieux dans l’intonation.
Sans avoir le temps de me retourner, je la vois courir vers la grande bleue. Mon regard se fixe vers cette inconnue qui s’amuse comme une gamine dans l’eau, joue avec les vagues. Je souris. L’élément liquide a su, lui, briser son silence. Tant mieux !
Elle revient laissant trainer ses pieds dans le sable tiède. Plus elle avance, plus son corps bouge sensuellement. Deux mètres de moi, ses yeux verts brillent, les gouttes coulent sur sa peau juste bronzée. Je me lève pour lui donner sa serviette, elle se tourne.
- « Auriez vous la gentillesse de m’essuyer le dos ?  S’il vous plaît ! »
- «  Avec plaisir ! » je réponds le souffle court…
J’essaye de m’appliquer sans que mes gestes soient mal perçus. Je ne peux m’empêcher de regarder sa cambrure si bien dessinée. Elle frissonne, je la couvre délicatement. Un Merci très doux me caresse l’oreille. Troublé par ce brutal changement d’attitude, je me prends les pieds dans mon sac à dos et je me retrouve les quatre fers en l’air. Ridicule en clair ! Elle éclate de rire ! Deux solutions s’offrent à moi, en sourire ou chercher une excuse bidon. D’un sourire un peu vexé, je dis
- «  Au moins j’ai réussi à vous mettre en joie ! »
- « Excusez moi sincèrement ! Je n’avais rien contre vous. Vous êtes arrivé au plus mauvais moment. Mon ex venait de me larguer lâchement sur cette route. Donc une certaine colère m’avait envahie. Vous m’en voulez ? »
- « Disons que j’ai, moi aussi, ma part de tort, mais vous m’avez bien remis en place. Oh ! Maintenant je comprends mieux. Allez serrons nous la main en signe de paix ! Au fait, je me présente Olivier ! Enchanté !
- « Olga et enchantée aussi ».
Le soleil s’éclipse alors que nous, nous commençons une nouvelle histoire. Olga s’est alors transformée en douce et belle sirène… Un bonheur, un soir d’été.
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Mon plus long texte ! J'espère que vous aimerez...

Dernières nouvelles sur ma santé, j'ai enfin un RDV, le 27 Juillet, avec deux spécialistes pendant 2, 3 jours sur Montpellier en hôpital. Même si j'ai peur qu'ils trouvent une solution !!!!

Michèle, Sylvie, Neyde, je vous réponds ou écrit avant de partir !!!!
Patriarch, Zébu, Annick, Kris, Lilou, Ma Dame de Haute-Savoie, Eliza, Karine,Fab, Andrée, Noir Intense, Tanette, Brigetoun, Jerry, Elodie, Magali, Viviane, Madame de K et tant d'autres soit je passe sur votre blog, soit je vous écrirai !!!!

Sylvie, merci d'être qui tu es ! Tu m'a offert "Smile", fabuleuse chanson du grand Mickaël Jackson et texte de Charlie Chaplin, savourez ce moment !


Je vous embrasse fort de tout mon coeur !!!!

* Photo offerte par un talentueux photographe, Dmitriy Grechin , cliquez !

Au Château...

Les Impromptus Littéraires nous invitent "dans le petit boudoir de Mademoiselle", très tentant comme consigne.

Dans le petit boudoir de Mademoiselle…

Petit à petit, joliment pomponnées,
Les Comtesses, Princesses, posaient leurs céans,
Autour d’une table de bois, d’or, parfumée de fleurs d’été,
Invariablement elles chuchotaient en gloussant,
Sans retenue, les paroles devenaient confidences,
Il régnait une atmosphère d’interdits,
Ravies de palabrer de coquineries comme de poésies,
S’échangeaient leur savoir ou les dernières attirances,

Chacune dévoilait une part intimité,
Habiles, cultivées, elles philosophaient subtilement,
Ah ! Ces gentes dames s’encanaillaient,
Tous les murs gardent des secrets précieusement,
Elégantes dans ces robes au décolleté vertigineux,
Leur liberté de paroles ce jour là s’étendait jusqu’aux cieux,
A l’heure de se quitter, les sourires se comprenaient,
Instinctivement, retrouvaient leur rang,
Néanmoins un nouveau rendez vous était fixé,
Semaine suivante dans le petit boudoir de Mademoiselle…

(source Wikipédia)
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Je manque de temps pour vous visiter tous, je m'en excuse...
Je vous remercie de votre Amitié et Fidélité !

Que votre semaine soit belle ! Je vous embrasse !!!

Voyage...

Hélas, non ! Je ne suis pas parti en voyage... Un voyage imposé par les Impromptus "En Angleterre", vous allez vite comprendre mon amour pour eux.

En Angleterre

It’s a joke ! Les Impromptus me proposent d’aller en Angleterre ! Comme dirait mon double, Obélix : « Ils sont fous ces Impromptus ! »
Je hais les Anglais !!! Ils ont commis deux graves erreurs historiques :
Premièrement, ils ont brûlé Jeanne d’Arc !!!
Deuxièmement, ils se vantent d’avoir inventé le rugby ! Shocking !!!

Avant que ce cher Williams Webb Ellis s’empare d’un ballon à la main pour marquer des points, nous avions déjà inventé la soule. Jeu que nous, Français, pratiquions au Moyen-Âge. Ceci étant dit, les rugbymens anglais sont en plus narquois, car à la fin d’un match s’ils ont gagné ils vous disent en faisant une haie d’honneur : « sorry, good game ! » sous entendu « f… ». Et après les gens s’étonnent que quelques matchs contre les « rosbifs » partent en vrille ! Vous sentez comme je les aime…

Histoire vraie qui a eu pour incidence d’haïr un peu plus les English.
Grâce à une confrérie, nous avons été invités à un séjour en Irlande pour assister au match du tournoi des V Nations (encore à l’époque) Irlande-France. Un superbe cadeau pour cinq grands blessés du rugby ! Nous formions un groupe d’une trentaine de personnes et d’entrée un accueil et une chaleur formidable. Direction Roissy prendre l’avion jusqu’à Londres puis correspondance jusqu’à Belfast, en tout deux heures de vol si… Si les habitants d’outre Manche étaient un peu plus intelligents pour rester poli. L’avion se pose à Heathrow. Première surprise, nous étions quatre handicapés lourds (dans les deux sens !) donc pour nous sortir de l’avion il faut des bras plutôt costauds, là nous voyons arriver deux gringalets, stupéfaction ! Tant bien que mal avec l’aide de nos amis, nous sommes dans l’aéroport mais nous devons le traverser pour attraper l’autre avion. Nous fonçons car nous ne disposions que d’une heure. Mais les ennuis arrivent peu à peu, un premier contrôle de papiers, un deuxième, un troisième, un quatrième et un cinquième qui nous fit monter la moutarde au nez. Un contrôle zélé avec détecteur de métaux sous les fauteuils, derrière, etc… Mon ressentiment, et pas que le mien, envers ces gens devint un feu dans mes veines. Il atteint son paroxysme lorsque enfin parvenus à l’autre avion, il fermait les portes… Je crois que les murs d’Heathrow s’en souviennent encore quand Paulo, le boss, a poussé un soufflon (non ! une tornade !), à l’agence de voyages et en français. Il me semble qu’ils ont eu des sueurs froides… Du coup, ils nous ont offert soixante-quinze livres pour qu’on se ravitaille en attendant la correspondance suivante.
Croyez vous que nos surprises s’arrêtent là, que nenni. Nous étions restés six, malgré notre petit nombre nous discutions assez bruyamment tout en regardant  le concorde atterrir et en se soulageant le gosier et la panse. Non, pas celle de brebis farcie dont raffole ce drôle de peuple.
Bien que nous nous trouvions dans un immense hall d’attente, mes oreilles m’interpellèrent. « Chut ! et retournez vous !» dis je. Sans exagérer 300 personnes nous entouraient et pas un bruit ! « Tea time ». Dans quel pays étions nous ?

Vous comprenez pourquoi je déteste les anglais sauf Sting, Ronnie O’Sullivan* et mon ami Mike et sa famille, et Arsenal of course ! J’oubliais un grand Monsieur du rugby, Lawrence Dallaglio, champion du Monde, capitaine de l’équipe d’Angleterre et un gentleman.

See you soon,
Take care,
Your friend Olivier

* Ronnie O’Sullivan, meilleur joueur de snooker (billard) au Monde !
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Mes Amis, je vous offre la magnifique chanson de Sting : "La belle Dame sans regrets"
1/ Ronnie 2/Dallaglio et moi 3/ Mike mon Ami !

Je vous souhaite un excellent week-end !!!
Je ne vous oublie pas !!!

Retour en écriture !

Coucou mes Amis,
Je vous raconterai la fête immense, demain, pour le retour de notre équipe CHAMPIONNE DE FRANCE, l'USAP !!!!
Aujourd'hui, je vous laisse en compagnie d'une petite nouvelle écrite pour les Impromptus Littéraires . La consigne, commencer notre prose par la phrase "Il s’est dépêché de disparaître avant que l’erreur ait un visage." tirée d'un roman de Virginie Lou.

Il s’est dépêché de disparaître avant que l’erreur ait un visage. Il s’est engouffré dans une ruelle au moment où j’arrivais. Elle pleurait à chaudes larmes, je n’osais la prendre dans mes bras afin de l’apaiser. Je ne savais pas non plus pourquoi cet homme s’était enfui et de quoi elle était victime… Lorsqu’elle souleva son visage d’entre ces mains, il n’y avait pas que des larmes mais du sang. J’ai immédiatement sorti un mouchoir pour lui essuyer ce sang coulant de son nez. « Merci, vous êtes gentil » me dit elle.
-    Puis-je vous aider ou vous accompagner chez vous ? ou voulez vous que je vous emmène chez un médecin ?
A nouveau, les sanglots l’envahirent et elle s’appuya contre moi. Elle balbutiait des mots dans ses pleurs, j’étais un peu dépourvu. Car elle était une inconnue venant de se faire agresser et j’hésitais à trop m’impliquer. Devant tant de détresse, je lui ai dit :
-    Venez je vous soignerai chez moi, j’ai le nécessaire. Puis un si joli visage ne doit pas rester ainsi. Vous me faites confiance ?
Elle marqua une hésitation bien légitime après cette agression. Donc j’ai essayé de la rassurer en lui expliquant que je fus pompier et que mes intentions étaient respectables. Puis pour établir une confiance, je lui montrais mes papiers d’identité. Bien sur, elle doutait encore mais elle finit par me suivre. Non seulement elle saignait mais en plus ce type avait déchiré son manteau. D’un geste, je posais ma veste sur ses épaules car ces tremblements ne cessaient.
Sur le chemin, je me suis présenté, tenté de la faire rire, doucement posé des questions sur cet agresseur. Elle n’arrivait pas à s’exprimer, juste ai-je entendu son prénom, Sylvie. Nous sommes vite arrivés devant ma maison. Là j’ai senti sa peur. Alors je lui donnais mon portable pour qu’elle téléphone à qui elle voulait. Sa gorge se serra et elle se confondait en excuses.
- Non ! Ne pleurait pas, je comprends votre réaction. Surtout ne vous excusez pas, vous êtes la victime et de plus vous ne me connaissez pas. Rassurez vous, respirez tranquillement, je vous soigne et je vous ramène aussitôt.
J’ouvrais mon entrée et je lui indiquais le salon pour qu’elle s’assoit le temps d’aller chercher le nécessaire. Direction salle bains, prendre compresses, Bétadine, un verre d’eau pour nettoyer son nez plein de sang et ses lèvres tuméfiées. Vu qu’elle tremblait encore, elle me laissait lui panser ses plaies. Pauvre jeune femme ! Comment se pouvait-il qu’un idiot la frappe ? Il a eu de la chance que je sois arrivé une minute trop tard…
Enfin, après ces petites attentions, elle commençait à se détendre, un léger sourire s’affichait. Sylvie, d’une timide voix, me demandait un verre d’eau, dans mon empressement, j’avais oublié de lui proposer à boire. Mon erreur fut réparée sur le champs. Elle s’était assise sur le canapé toujours le souffle court.
Assis en face d’elle, malgré ses yeux rougis, sa beauté m’apparaissait. Sa bouche s’entrouvrait pour me remercier. Avec plaisir je recevais ses remerciements, pour autant je n’avais rien accompli d’exceptionnel pour les mériter.
- Vous savez, c’est tout naturel ! Si je peux aider, j’essaye au maximum.
- Vous êtes bien trop gentil, beaucoup ne se seraient pas arrêtés.
- Non ! Croyez moi je trouve que c’est un comportement normal. Dites, vous voulez que je vous raccompagne ?
Pas de réponse… Je relevais la tête, elle s’était endormie. Sûrement le contrecoup !
Délicatement en m’éclipsant je la couvrais.

Le lendemain matin, un mot sur le guéridon : « Cher Olivier, mille mercis de votre bonté. Je vous laisse mon numéro. J’aimerai vous revoir si vous le souhaitez…
Sylvie
04/68/ …….. »
**********
Dans mon imaginaire, lorsque nous nous sommes revus, Sylvie m'attendait, assise, dans un parc de son choix. Je ne m'étais pas trompé, Sylvie était vraiment charmante...

****

Mes Amis, je ne vous oublie pas, bien au contraire ! je vais essayer de vous laisser un mot à toutes et tous !
Que votre semaine soit belle ! Je vous embrasse en Sang et Or !

Cette magnifique signature m'a été offerte par l'adorable et généreuse Eliza ! Une Artiste du scraping, visitez son superbe blog, Angelthim !

Impromptus !

Un texte, pas bon, pour les Impromptus littéraires . Je n'arrive pas à trouver les bons mots... Sûrement de la fatigue et ce temps pourri qui ne motive pas.
La consigne : 5 couleurs et plus.

Souvenirs d’Elle…

Son rouge à lèvres tout juste mis, sa bouche devenait ma proie. Nous nous embrassions fougueusement, tendrement. Elle portait sa jupe et son haut, couleur violette, cousus de fines dentelles noires. Son charme devenait encore plus troublant. Sexy, terriblement. Je puis vous assurer que seuls ses yeux vous hypnotisaient. D’un bleu azur comme les eaux des lagons de Tahiti où vous n’avez qu’une envie, vous plongez dedans. Sa beauté était sans fin. Son visage à la peau claire aux traits si fins n’usait presque pas d’artifice. Autour de son cou s’enroulait un foulard de soie au ton mauve. D’un gracieux mouvement de la main, elle mettait ses longs cheveux blonds en arrière. Sans oublier ses noirs escarpins, avec un petit nœud papillon serti de pierres précieuses. Une femme Fatale ! Son petit plus s’il en était besoin, son parfum aux fragrances étonnantes, caramel, miel, qui me procurait l’envie de la croquer.
De ces souvenirs de sa féminité absolue, de son corps désirable, de ses chavirantes tenues, de son odeur désarmante, il ne me reste qu’une photo aux couleurs vieillissantes… Mais dans mon cœur, dans mon sang, elle est gravée en or !

Heureusement, la photo me sauve !

J'ai des pensées affectueuses pour Ma Mumu, Lilou, Jal, Viviane, Eliza, Ma Dame Chantal, j'en oublie certainement, mais je vous adore toutes et tous !!! Désolé d'être absent chez vous...

Anniversaire !

Consigne des Impromptus !
Anniversaire : Racontez nous ce que cela vous évoque, que ce soit la tristesse de prendre une année ou un goûter animé pour une fête d’enfants. Il faudra simplement que votre texte contienne au singulier, au pluriel ou sous forme de verbe les mots bougie, coccinelle, botte et tempête.

Né pendant le printemps, quand les coccinelles s’acoquinent, sacré « bête à bon dieu » ! Allez savoir si c’est pas grâce à elles que je suis un éternel amoureux, romantique, fleur et cœur d’artichaut ! Cette idée saugrenue me botte !
Mon enfance, fabuleuse ! Les copains, le foot, les bêtises, l’école… Non ! pas l’école ! Même si je n’étais pas un mauvais élève, mon moment préféré restait la récréation. Par contre pour Maman, j’étais une tempête, un bourricot. Le strict minimum pour les devoirs, le maximum pour casser la vaisselle, répondre « j’arrive » pour la énième fois, trouer les pantalons, etc… Un vrai bonheur pour Maman… Alors j’avais droit aux cris et aux fessées. Et j’en suis pas mort, bien au contraire, j’en ai retenu les leçons.
Dans ma famille, les anniversaires sacrés ! Que ce soit pour ma sœur ou moi, nous avons toujours fêté nos anniversaires avec nos amis. Danser, jouer, manger de bons gâteaux préparés par Maman, bien sûr ! Mais la chance aussi de souffler les bougies avec Maman et Papa, car nous sommes nés à deux jours d’intervalle. Papa le 17, moi le 19 et Maman le 21, d’une pierre, trois coups !
Aujourd’hui, la tradition se perpétue.Et peu m’importe si je prends une année de plus, l’important reste l’esprit et le cœur !
Ne comptez pas mes points sur le dos, une belle légende !
Si vous croisez une coccinelle, attendez qu’elle s’envole et faites un vœu !

Evénement heureux,
Nos anniversaires,
Fêtes inoubliables,
Année après année,
Nous avons grandi ou pas,
Tout est émotion en gardant notre âme d’enfant !

Demain je vous présente une femme, merveilleuse peintre, un coup de coeur ! Belle journée de printemps, Mes Amis !!!!

Pensons

« Luxe, calme et volupté », la consigne des Impromptus littéraires !

Le droit de s’exprimer librement,
Une santé de fer, un esprit sain,
X fois, Aimer passionnément,
Et ne jamais regretter enfin,


Créer une ambiance, une harmonie,
Apprendre à respirer,
Laisser échapper du hara* un cri,
Méditer sur l’univers à volonté,
Ecrire, lire, s’ouvrir à de belles idées,


Vivre sans relâche,
Oublier ce qui fâche,
Lutter pour être heureux,
Oser avancer de notre mieux,
N’être qu’un humain chaleureux,
Tendre ses mains sans peur,
Etreindre la vie comme une femme en douceur…


*Hara : ventre en japonais, considéré comme le centre des énergies.

Vous êtes des Amours, merci ! Je me battrai !

"Danse ta vie"

* "Danse ta vie"

Dans ma main, s'invita sa main, parfum sensualité,
Autour de ses hanches, mon bras l'enlaça,
Nos corps serrés, sensations décuplées
Son souffle dans mon cou, émoi,
Et ce slow chante encore dans ma voix,

Tes yeux bleus me dévoraient intensément,
A tes mouvements, ma vie se berça mélodieusement,

Volupté de nos pas chaloupés,
Instinctivement nos lèvres en rythme s'abandonnaient,
Et au matin, "danse ta vie", tes mots griffonnés avant de t'effacer...

Je veux la même pour Noël !! ;)

Oh ! je vous oublie pas ! mais trop peu de temps pour visiter tout le monde... J'espère revenir vite en forme ! Merci de votre fidélité, de votre attention !!!!!

Des pensées fortes vers vous ! Vous me manquez...

*Consigne de mes Amis, Les Impromptus Littéraires, où vous lirez de nombreux talentueux écrivains !!

IMPORTANT : Bientôt le 5 000 ème commentaire, un cadeau offert !!!

Rondeurs...

J'ai réussi à trouver du temps pour écrire suite à la consigne des Impromptus :
"La rondeur des jours."

Ronde mon horloge avec sa pin-up sexy,
Où les aiguilles tournent jour et nuit,
Notre temps défile, les jours trop courts,
Dans ces vingt-quatre heures, ai-je écrit Amour ?
Et de cette semaine, ai-je oublié un « bonjour » ?
Un instant la peur d‘un acte manqué,
Retour sur terre d’où mon esprit s’était échappé,

Devant ces courbes si bien dessinées,
Elle m’invite dans son ballet,
Sans attendre, nos corps dansent sur un air endiablé,

Jouissance de deux cœurs enflammés,
Or est la rondeur de la pleine lune,
Un rayon de soleil, une joie commune,
Rare la journée où mon sourire s’éclipse,
Sans Amour, notre Terre, un désert de supplices.

Allez savoir pourquoi je suis un Amoureux de ces rondeurs là ! Ma chère Noir Intense aurait-elle raison de me voir coquin ?! :)

Je tiens à vous dire combien je suis heureux et touché par vos mots qui sont de plus en plus nombreux. Je regrette de ne pouvoir aller sur vos blogs à tous, j'espère que vous ne m'en voulez pas ! Comme je l'ai précisé sur mon blog-it, je suis devant mon écran de 9 H à 16 h, ainsi est ma vie !
Merci de votre compréhension et de votre gentillesse !
Voilà je pars vers vous !

Retour !

Chez les Impromptus Littéraires, le nouveau site ! Heureux de participer à cette consigne qui ne pouvait que m'inspirer :
La voie de la simplicité

La voie de la simplicité,
Chaque jour j’essaie,
De réfléchir à mon chemin,
Rien n’est acquis sans un travail serein,

A la recherche de la perfection,
Mon Maître m’a indiqué une direction,
Le respect, l’amitié, la prospérité mutuelle,
Le code moral du judo, une philosophie essentielle,

Cette voie (do) de la souplesse (ju), ma vie,
Sans cet enseignement je serais vide aujourd’hui,
Vide, non pas de cœur,
Mais de spirituelles valeurs,

J’écoute, j’apprends à vos côtés,
Avec les miens tout près,
Dans ce monde virtuel,
Des rencontres riches de réel,

Le chemin vers la sagesse est ardu,
Par vos mots, je me sens soutenu,
Alors au loin, j’entrevois,
Une lumière d’espoir et de joie,

Dans ma quête vers la voie de la simplicité,
Un mot vient s’associer : Aimer,
Notre richesse, l’Humanité,
Dans mon cœur je l’ai gravée !

Je vous offre cette phrase, écrite sur les murs de mon club de judo par mon professeur :
« Si tu cultives la force de ton caractère, garde la douceur de ton cœur »
La preuve ! Photo datant de 18 ans quand j'étais professeur avec à mes côtés, Christophe, Laurent et Séverine !
****
La bougie brûle encore pour que notre semaine soit belle !

Je vous embrasse et je pars vous visiter !

PS : demain, je vais à un spectacle, je n'aurai pas le temps d'écrire...

"Une dernière lettre"

Dédiée à Laurence, Dda et Obni qui quittent les Impromptus Littéraires , je vous embrasse !
"Une dernière lettre"

Un jour impromptu,
Nouveau défi littéraire, un sujet imposé,
En découvrant les écrits, je m’aventurais,

Des plumes fines, poétiques,
Enveloppaient les mots d’un voile magique,
Ravi de ces proses frôlant le divin parfois,
Naquit dans mon esprit une envie d’écrire là,
Initiative que je ne regrette pas,
Encouragé par des messages de personnes pas ordinaires,
Rempli de joie grâce à cette agréable atmosphère,
Enthousiaste, chaque semaine, mon écrit déployait ses ailes,

Le courrier parti, les administrateurs statuaient en conscience mutuelle,
Et grâce à vous, nos rencontres sont mieux que virtuelles,
Tout a une fin, Laurence, Obni, Dda, se font la belle,
Toutes mes amicales pensées pour votre nouveau chemin,
Revenez de temps à autre nous saluer d’un signe de main,
Et bientôt, rendez-vous au numéro quatre de nos chers Impromptus !
*

Je vous invite à visiter deux blogs superbes, riches en belles photos et en culture ! et en plus deux Dames vraiment gentilles !
Chez Lyli : LYLYTOP EN NORMANDIE !
Chez Karine : LA TOILE DE CANDIDE !

*Cette magnifique photo-peinture empruntée à Pretty, cliquez ICI ! Quel talent russe !

PS : si certains peuvent m'aider en russe, merci d'avance !!

Devoir et Rêve de vacances !

La crise du Yucca

Le dépérissement total,
Au bord du gouffre final,

Comment l’aider à surmonter son délitement ?
Raconter un conte de fées romantiquement,
Inviter des plantes amies,
Saupoudrer ses feuilles d’eau bénite de Marie,
Essayer la musique classique, du Verdi,

Déconcerté, j’ai baissé les bras,
Un regard noir vers ce végétal sans foi,

Y a-t-il une âme caché là,
Un doute s’empara de moi,
Comme si sa crise était mon oubli,
Chaque matin, alors je lui souris,
Aujourd’hui il l’a repris vie ! Youpi !
****
Non je plaisante ! pas un devoir, un plaisir pour mes Amis des Impromptus  !

Et puis un lieu de rêve où ma Lady vient de poser ses valises ! Tahiti, ça vous dit ?
Magique !

Désolé d'être si absent, mais je suis fatigué et sans motivation. Mais je vous promets de revenir plus fort encore !

Je pense fort à vous tous et en particulier à ma Mumu !

JE VOUS EMBRASSE DE TOUT MON COEUR !!!

Un peu d'humour !

Faire sourire le Général

Quand je me suis pointé pour mes trois jours, fin disons un jour plutôt, les temps changent. Tous les jeunes filles et gars présents me regardaient de travers. Qu’est ce qu’elle a ma gueule ? Pourtant je m’étais habillé en conséquence, survêtement, tennis, tee-shirt. Je ne comprenais pas leurs réactions. Je me suis placé dans la file. Le manége continuait, ils se tournaient vers moi, parlaient entre eux. C’était peut être ma coupe de cheveux… Toutes ces attitudes m’exaspéraient mais je gardais mon sang froid. Car je venais passer mes tests chez la « grande muette ».
Enfin mon tour arrivé, et voilà que même les gradés avaient une tête interrogative. Bien qu’ayant mes papiers en règle, l’adjudant en face de moi me dit :
- mais Monsieur que faites vous ici ?
- Mon Adjudant, j’ai reçu ma convocation, je viens passer les tests !
- Vous ne pouvez pas !
- Comment je ne peux pas ? avec tout le respect que je vous dois, j’ai mon bac, je suis prof de judo, et…
- Oui, Monsieur, je ne mets pas en doute vos qualifications, seulement l’armée ne vous convient pas comme carrière. Désolé d’avoir à vous dire cela Monsieur Puigségur ;
- Puisque vous le prenez ainsi, faîtes venir votre Général sur le champs !
- Si vous voulez, j’ai peur que ça ne change rien !
- S’il vous plait que le Général me donne des explications, merci.
Gentiment l’adjudant s’exécute malgré l’atmosphère pesante.
Le Général arrive et s’arrête stupéfait en me voyant… Finalement, il s’approche et s’assoit.
Son sourire illumine son visage !
- Alors Olivier toujours aussi « couillon » ! Ca me fait plaisir de te voir en forme !
Les gradés, les jeunes, se trouvent surpris et piégés !
Ils devaient se demander pourquoi un gars en fauteuil se présenter à l’armée.
Le seul moyen, assez osé, que j’avais trouvé pour revoir un ami de la famille devenu Général.
J’avoue avoir pris un certain plaisir à voir toutes ces têtes étonnées par ma présence.

C’est une belle anecdote mais elle démontre aussi que l’intégration des personnes handicapées est loin d’être gagnée…
*****
Ecrit avec la consigne pour les Impromptus !

Je vous propose une blague que j'ai trouvé excellente.
Les roses et les choux 2.0...
Un gamin à son père :
"dis Papa, comment je suis né ?
- Ah ! fallait bien qu'on en parle un jour... Voici donc ce qu'il faut que tu saches :
Un jour papa et maman se sont "copiés/collés" dans un chat sur MSN. Papa a fixé un rencart via e-mail à maman et ils se sont retrouvés dans les toilettes d'un cybercafé. Après maman a fait quelques dowloads du memory stick de papa. Lorsque papa a été prêt pour le téléchargement, nous avons découvert que nous n'avions pas mis de firewall. Comme il était trop tard pour faire delete, neuf mois plus tard, le satané virus apparaissait..."

GROS BISOUS MES AMIS !

PS : Mes Amies qui se posent des questions sur ma note d'hier, c'est une Vraie et belle histoire ! en fait quand vous voyez catégorie "ma vie", je raconte des bouts de ma vie.

Sagesse et rêve...

" La nuit où j'ai volé sur le dos du dragon ", un poème d’un SamüraÏ.

Enfin je réalise mon rêve ! Je viens d’arriver au Pays du Soleil Levant, le Japon ! Le but premier de ce voyage est de visiter le Kodokan, le temple du judo, et l’université de Tenri où s’entraînent les plus grands judokas japonais avec les Maîtres de cet art martial.
Ma première visite, je me dois de me rendre au Kodokan, là où Jigoro Kano a inventé mon sport, le judo. Bien sûr il a été rénové, mais quand vous pénétrez dans ce lieu une forte émotion vous saisit. Ma priorité, voir le dojo (la salle), voir les judokas, m’imprégner de l’histoire de ce lieu et pourquoi ne pas rencontrer un Sensei (un Maître). L’atmosphère est très troublante, je suis au bord des larmes, entendre les chutes, les kiaï (cris), le silence, le respect.
Lorsqu’un vieux Monsieur s’approche de moi, vêtue d’un superbe kimono, me salue en s’inclinant. Je m’incline aussi. Il me relève délicatement par l’épaule avec un large sourire. Par chance, il parle anglais. Je m’aperçois vite qu’il est sûrement un haut gradé car tous les judokas sortant du tatami le saluent à genoux. Timidement, j’ose lui demander son nom et quel dan* est-il ? Alors il me répond en me racontant un poème qu’un grand samûraï érudit, Fukuzawa Yukichi**, aurait écrit.

« La nuit où j'ai volé sur le dos du dragon,
La peur m’a envahi au plus profond,
Moi, le samüraï, le guerrier, je me perdais,
Jusqu’à mon nom j’oubliais,

Mon esprit se montrait perfectible,
Je me croyais sans faille, indestructible,
Un seul rêve sur le dos d’un dragon,
Et mon chemin vers la perfection serait long,

Me retrouver face à moi-même,
Une situation pour méditer en zazen***,
Tous les jours, dans la modestie, travailler,
Tenter d’atteindre la sérénité. »

Je n’ai pas eu le temps de le remercier, ni d’avoir des réponses. L’important est de retenir que même les plus grands Maîtres ne cessent de méditer pour garder leur sagesse.

* Dan : grade à partir de la ceinture noire dans la plupart des arts martiaux.
** Ce samüraï a vraiment existé et a beaucoup écrit.
*** Zazen : position assise de méditation ou de « salut » au judo.

NB : l’histoire est inventée, pas en totalité puisque j’étais professeur de Judo. Le poème est né de mon inspiration.
*****
Texte écrit pour les Impromptus !
Si vous avez besoin de précisions, n'hésitez pas à demander ! Voici deux photos offertes par mon ami Nicolas, l'entrée du Kodokan et la statue de Jigoro Kano.

Merci pour vos visites, laissez un mot ! Car c'est un plaisir de vous lire !

Je vous embrasse Mes Amis !

Pleurs...

Le temps était gris ce jour là. Lors d'une de mes rares promenades dans ce parc, mon regard se fixait de loin sur une jolie chevelure blonde. Mon fauteuil n'était pas très en forme, je peinais à avancer. Mon bas instinct de séducteur me réveillait à la vision de cette blondeur. Pourtant plus mon coeur, mon esprit se motivaient, plus mon sixième sens me dictait d'être prudent.

En arrivant à sa hauteur, je comprenais pourquoi mon subconscient m'avait interpelé. Comme à mon habitude, j'avais avec moi un bouquin alors je trouvais un banc plus loin pour lire tout en essayant de ne pas la perdre de vue. Car je n'aimais pas voir des larmes couler sur des joues. Je tentais de comprendre pourquoi une si belle jeune femme était si triste. De nombreuses suppositions venaient chatouiller mon cerveau sans pour autant obtenir de réponse. Le seul moyen de savoir était de discuter avec elle. D'habitude j"aurai tenter d'entamer une conversation, là j'étais bloqué. Sûrement parce qu'elle ne m'avait pas regardé une seule fois. Puis je me sentais impuissant, j'avais la nette impression que quels que soient mes mots, elle aurait été absente. D'un coup elle s'était levée, décidée, passée devant moi sans sourire, ni parole. Même si une rencontre n'avait pas eu lieu, j'avais eu le privilège de voir une belle jeune femme malgré son rimel larmoyant.
Le soleil pointait son nez, très bon signe ! Au fond de moi, je l'imaginais le sourire et les yeux pétillants à nouveau.
17 h, mon fauteuil m'indiquait le chemin de la maison.
*******

Je remercie de leur gentillesse, Lilou, Pam et Tanette pour m'avoir offert leurs superbes photos !
Merci pour vos mots, vos visites, c'est un immense plaisir chaque jour !

JE VOUS EMBRASSE MES AMIS !

NB: je vous signale que mon article sur la pièce de théâtre "Irrésistible" est sur le blog, BOITA' coulisses de BOITACLOUS Spectacles, un honneur ! Merci à Pierre et à toute l'équipe.

Un sujet inépuisable !

Après l’amour…

Après l’amour… Nos corps restent serrés, nos souffles se mélangent, nos sourires, nos yeux trahissent ce plaisir renouvelé. Nos mains caressent encore nos peaux presque inconsciemment. Nos lèvres s’embrassent doucement, un baiser sur le nez, un baiser sur la joue, un baiser plus gourmand dans le cou, et nos langues se rejoignent dans un ballet bien à nous.
Et le désir revient invariablement… Sa douceur me frissonne, sa tendresse me chavire, ses mains m’émotionnent… Je me laisse emporter par cette nouvelle vague d’amour. Lui murmure des mots jouissifs, elle s’approche de mon oreille me susurrer des délicatesses sucrées. Je m’aventure du bout des doigts accompagnés de ma bouche sur sa féminité. Ses seins, je les aime, j’en suis fou ! Pour autant, je n’oublie aucun endroit de son corps si beau.
*
Arrive le moment où dans un même élan de complicité, d’envie, nous sommes un. Là, les sensations, émotions, cris, mots, gestes, baisers, ne nous appartiennent plus. La nature a repris ses droits. Plus forte est l’intensité, plus nos sens se perdent. Jouissance totale !

Après l’amour… Encore l’amour !

« Je serai doux comme un bisou voyou dans le cou,
Attentionné, tiède à vos genoux,
Des caresses et des mots à vos goûts,
Dans la flemme absolue, n’importe où,
Mais doux … » (1)

(1) : chanson de Goldman, « doux ».
*****
Ecrit pour les  Impromptus !

*Photo d'un photographe russe dont j'ai perdu le nom...

Si vous me trouvez d'autres photos de ce style, je suis preneur !!! Merci ! Tout en sensualité, en formes idéales et dentelle....

Demain, promis, je vous parle du théâtre ! Merci pour votre gentillesse dans vos commentaires, vous êtes touchants ! J'essaye de vous visiter tous mais ma journée n'est pas assez longue... J'en suis le premier triste.

GROS BISOUS MES AMIS !

Intermède

J'aimerais devenir

J'aimerais devenir deux,
Cœur contre cœur,
Yeux dans les yeux,
Lèvres sur lèvres,
Peau contre peau,
Corps à corps,
Sourire avec sourire,
Âme dans l’âme,
Partager peines et joies,
Echanger des mots, des silences,
Se passionner à deux,
Rêver pour deux,
…
Vivre à deux !

N’aies crainte ! Viens, approche !
Je serai ton Homme, ton amant, ton confident, ton protecteur !
Je serai douceur, tendresse,
Où que tu sois,
Qui que tu sois,
Ma Belle, sois sûre,
Je sais conjuguer le verbe AIMER.
*****
Ecrit por les talentueux Impromptus !

Je me dois de retourner à mon compte-rendu, beaucoup de travail ! c'est pas toujours facile...

JE VOUS EMBRASSE ! A BIENTÔT !

Endiablée...

Une tache de vin bien marquée

Virevoltes, déhanchements, tels les derviches tourneurs, elle dansait. Ses pas légers, ses jambes si bien dessinées, ses mains planaient. La musique se laissait embarquer. Mademoiselle s’imposait devant moi. Sa grâce, sa lumière m’emportaient dans une vague de bien-être, de plaisir. Ce spectacle, savant mélange de sensualité et de mouvements appuyés, un flamenco enflammé.
Elle s’arrêtait net, me foudroyait d’un regard bleu intense. Mon sourire flatteur lui répondait. Allongé sur mon relax, je lui tendais ma main. Elle s’empressait de la saisir, elle se couchait contre moi. Sa peau, d’où perlaient quelques gouttes de sueur, me chatouillait. Mademoiselle voulait son verre de vin. Bien sûr j’avais soigneusement préparé deux verres, quelques apéritifs, et une bouteille d’un breuvage aussi doux que suave en bouche. Il était à température parfaite malgré la chaleur de cet été-là, ou de nos deux corps serrés, je ne sais plus. Je versais délicatement ce précieux liquide à la couleur rouge sang. Nous croisions nos bras pour trinquer, patatras…
Je sursautais quand je m’aperçus que ma chemise avait une tache de vin bien marquée. Seul, devant ma table, je m’étais assoupi mon verre à la main. Cette danseuse endiablée s’appelait un rêve…
« À nos actes manqués » dirait Sigmund ou chanterait Goldman.

*****
Ecrit pour les Impromptus ! Vous y trouverez des plumes de très grande qualité !

Mes Amis, je vous embrasse fort ! à très bientôt ! Prenez soin de vous !!
MERCI POUR VOS MOTS, VOS VISITES !!!!

Une rencontre (suite)

L'heure fatidique approche... 19 H, fébrile, je pars la chercher au lieu de rendez-vous fixé, à quelques rues de la maison. A la va-vite, j'ai sorti une chemise blanche, un jean, un coup de peigne, un zeste de mon parfum préféré, un minimum d'élégance pour elle. Mon fauteuil s'emballe, tourne et stoppe net. Muet devant sa beauté simple, le sourire qu'elle me tend. Une minute, le temps que mon esprit se remette à l'endroit.
Mes mots d'admiration ne manquent pas, mais je ne veux pas la brusquer. Après ce silence, j'émets un son :
"Bonsoir Mademoiselle, comment vas-tu depuis ce matin ? Heureux de te recevoir !"
Tout en s'avançant, elle se penche et dépose un baiser sur ma joue.
"Moi de même, cher Monsieur, je te pousse ?"
"Je t'en prie avec plaisir" de ma voix intimidée. Là j'imagine que je dois ressembler au Loup de Tex Avery...  Le chemin est court, nous pénétrons dans mon "chez moi". La table est mise, le repas est prêt lui aussi. Je lui propose un apéritif, elle choisit un Banyuls juste un fond de verre, je l'accompagne. Une certaine timidité tombe, l'effet de l'alcool ? Non, je crois pas, juste se réapprivoiser. Comme elle découvre mon antre, les questions fusent. La soirée est lancée.  La situation est cocasse quand j'invite, l'invitée se transforme en maîtresse de maison. Apparemment elle n'est pas du tout gênée. Déjà une petite victoire. La discussion est vive, souriante, complice, nous refaisons le monde. La nuit s'installe, elle allume les bougies du chandelier, style asiatique. L'ambiance devient intime et les coeurs tambourinent plus fort. Nous nous cachons derrière notre tasse à café comme des ados. Ses yeux m'ont transpercé, je m'y noie volontiers. Enfin j'ose lui prendre la main, je lâche mes mots, sincère. Elle ne s'esquive pas, elle me fixe tendrement. Son doigt se pose sur mes lèvres, sa main se glisse dans mon cou, son baiser est une douceur sucrée. Les bougies se sont éteintes, le noir se pose, et le reste nous appartient...
******

Mes Amis, je vous souhaite une belle semaine, je vous embrasse !

Merci infiniment de vos visites, de vos mots.

Une rencontre épicée

Tranquillement installé devant mon thé chaud à la menthe à ma table habituelle de mon «café des sports », je vois s’asseoir une charmante jeune femme. J’ai la nette impression qu’elle me nargue avec son bâton de réglisse. Elle sait en jouer de son épice. S’amuse t’elle de moi ou se régale t’elle du goût de réglisse ? Et en plus, elle commande un jus de tomate. Le serveur lui apporte, elle saupoudre son jus de sel de céleri doucement. Elle boit mon jus de fruit préféré… S’en est trop ! Il faut que j’intervienne, cette jeune femme me trouble au plus haut point.
Je prends mon courage à deux roues, je me dirige droit vers elle et sans attendre je lui assène :
« Vous me troublez totalement et tant pis si vous renvoyez dans les cordes, je peux vous offrir un verre ou ce que vous voudrez ? » Elle éclate de rire, le bouquet ! Une fois de plus je me suis couvert de ridicule… Je vais rebrousser chemin quand sa voix me répond :
« Avec plaisir ! »
Est-ce les effets des épices ou de moi ? Qu’importe… Non seulement, elle est d’une grande beauté, mais aussi les effluves de vanille de son parfum m’enivrent. En clair, je ne sais plus où j’habite… Je suis béat de fascination. Revenant à un stade plus normal, nous discutons des heures. Lorsqu’elle s’aperçoit de l’heure, elle a raté un rendez-vous professionnel. S’empare de son téléphone, présente ses excuses, et elle est terriblement sexy ! Je fonds lamentablement sous ses paroles, son sourire, son regard.Vu l’effet qu’elle me produit, je n’hésite pas, je l’invite à dîner ce soir chez moi. A ma grande surprise, elle accepte l’invitation.
Au menu :
Poulet au curry et au gingembre, bonne idée, non !?
Vivement ce soir !!!!
******
Ecrit pour les Impromptus !

Merci Lilou, Patriach, Annick, Joye d'avoir répondu au questionnaire. Puis Annick, Neyde, Zébu, Joye, vos mots me touchent. Soyez tranquilles, je garde mon coeur !!

Ah ! je n'ai pas trouvé de photo pour illustrer mon texte, aidez moi !

JE VOUS SOUHAITE UN EXCELLENT WEEK-END, MES AMIS !!!

Ma tête est...

Comme une passoire

Ma tête comme une passoire, je pense depuis fort longtemps. À la différence que ma passoire a des trous de différents diamètres. Je m’explique ! Ma passoire, plutôt mon esprit, a décidé de vite cerner le positif et le négatif de la vie. Alors je ne sais par quelles forces, des mauvais sentiments, des souvenirs douloureux, des personnes malveillantes, des idées saugrenues trouvent assez vite les gros trous de ma passoire. Elle subit quelques fois des dysfonctionnements donc elle a des trous moyens où stagnent des relents de négativité. Dans l’ensemble, elle travaille assez bien car au bout d’un certain temps, le vide se fait presque naturellement. Elle a besoin d’aide, rarement, je viens à sa rescousse en méditant.
Ma passoire a un coin fabuleux, si je vous assure ! Elle a réussi à construire un mur, à boucher quelques trous. Elle a stocké dans ce lieu tous mes bonheurs et de toutes sortes. Ma passoire est magique !
Par contre elle a absolument besoin d’entretien. Elle a déniché des parades à dégager les tensions négatives. Elle m’envoie un signal et me propose des sorties de cet engrenage négatif. Comme solutions possibles, téléphoner à mon meilleur pote ou d’autres amis, écrire, écouter de la musique (bizarrement j’écoute systématiquement mon philosophe préféré J.J. Goldman), ou même parler à un quidam voire à Dieu, Allah, Bouddha, Marie et d’autres.
Quoi qu’il en soit, je suis assez fier d’avoir une tête comme une passoire. Je vais vous révéler  un secret… Ma tête et mon cœur ont la même passoire !
Elle cultive la même devise depuis bientôt 38 ans :
CARPE DIEM
« Cueille le jour présent, en te fiant le moins possible au lendemain ».
Par le poète Horace.
******
Ecrit pour les  Impromptus, je vous conseille vivement d'aller lire les proses de Joye, l'Arpenteur, Brigetoun et d'autres. J'ai lu des chefs d'oeuvres !



Des roses en cadeau ! Surtout d'affectueuses pensées pour Lilou, Mumu, Chantal ma Dame de Haute-Savoie, Neyde, Andrée (B2G), Catherine, Annick, Magali, des combattantes du quotidien !
Bien sûr je les offre aussi à Zébu, Rosie, Brigitte, Fab, Michèle, Nina, tanette, Joye, Gwen, Gaëna, Pam, Ossiane, Corinne, les visiteuses de passages pardon à celles que j'oublie !!
Messieurs, je ne vous oublie pas, recevez mes profondes amitiés !

BELLE JOURNEE !!!

Un texte sans date limite

« La date de péremption était dépassée » me dit un ange. Ouf ! il s’agit d’un cauchemar. Je me réveille avec cette question existentielle : « ai-je une date limite de consommation ? ». Voilà que je me considère comme un produit… Inquiétant ! Hors de question, je suis bien sur terre et le ciel peut attendre. Non, vous rigolez ! J’ai une vie heureuse et j’en ai pris au moins pour 100 ans. En plus comme je compte me réincarner, je reviendrai continuer ma quête de découvertes, d’amitié, d’amour. J’ai tant de projets et de désirs qu’une seule vie ne me suffira pas.
Une date de péremption ! D’accord je suis comestible mais d’une certaine façon. Il peut arriver qu’on me digère difficilement. Faut dire que je suis une sacrée carne. Soyons objectif, j’ai du caractère, trop quelques fois. Si on sait me prendre par les sentiments, je deviens un ourson. Ah ! des bisous, des câlins ! et je fonds… Dans cette tendresse, là, impossible que je périclite.
Sur ma peau, pas de date limite, ni code barre, par contre un cœur et une tête, plus ou moins bien faite. Par contre, des tonnes d’amour à offrir !
Un amoureux, un passionné !
Comme le chante le trio Frédéricks-Goldman-Jones :
« Vivre sa vie, rien que sa vie
Crever d'envies, un petit tour et fini
Ça fait trop mal, c'est pas moral
Vivre même à demi, tant pis, mais vivre cent vies »

Rendez-vous dans cent ans ! et pas qu’à demi, entier !
*******
Ecrit pour les Impromptus !

FATIGUE
Des jours sans,
L'esprit un peu vide,
Le blues après l'euphorie,
A chaque fois la même ritournelle,
Je n'ai pas d'explication,
Je vous lis mais les mots me font défaut,
Excusez mes absences d'écriture,
Jamais d'absence de coeur,
Ne l'oubliez jamais,
Je vous aime !

Plus je regarde autour de moi, plus je me dis que nos pêchés ne seront jamais expiés vu l'injustice qui règne sur nous, Êtes humains et notre planète terre.
Des pensées émues et révoltées pour des Amies, et pour un grand nombre de Personnes.
Deux causes parmi tant d'autres que je soutiens, INGRID BETANCOURT et  LE PEUPLE TIBETAIN !
 
"Le désarmement extérieur passe par le désarmement intérieur. Le seul garant de la paix est en nous"
LE 14ème DALAÏ-LAMA, TENZIN GATSYO.

PANNE

Non ! je vous ferais pas le coup de la panne ! Pourtant un sujet à improvisation sensuelle...
Aujourd'hui, la fatigue est présente, elle me lasse. Mon cerveau bout de maux de tête. Plus d'essence dans le moteur à imagination. L'encéphalogramme soubresaute. Ma plume, plutôt mon bâtonnet, cherche les lettres. Le vide ! M'en vais écouter "les Enfoirés. Seulement, eux aussi ont un "secret". Me voilà doublement embarrassé, comment remédier à ce néant ?
Si vous trouvez la solution ou la clef, laissez moi un mot, un signe ! Peut être que demain mon écriture s'éveillera...
*****
Ecrit pour les Impromptus . En plus, je ne mens pas !
Je vous souhaite une belle semaine, mes Amis !
Une jolie photo avec mon Neveu Adrien absolument adorable comme ses parents Isabelle et Olivier. Photo de dimanche 2 mars chez notre Pote Régis où nous avons mangé un excellent sanglier en daube.

Ah ! c'qu'on est bien quand on est dans son bain !

Avant de me plonger dans mon bain, j'installais mon poste radio, je remplissais la baignoire, et ajoutais du bain moussant. Tous ces préparatifs avant que ma Maman ne rentre du travail. Là je chantais, je m'amusais à me chronométrer sous l'eau, et encore un peu de mousse. Pas besoin de gant, ni savon, un shampooing suffisait. Quand l'eau refroidissait, je vidais et je remettais de l'eau chaude. Il m'arrivait même de m'endormir. Mais quelques fois ma tranquillité était brisée par une entrée fracassante dans la salle de bains de ma mère ! Là je n'étais pas sourd... "Dépêche toi de sortir ! tu t'es lavé au moins ? et arrête de te servir de mon bain moussant ! etc...". J'essayais de me faire tout petit. Je débarrassais mes affaires et illico presto dans ma chambre. Mais j'étais rattrapé en plein vol, "tu vas nettoyer la salle de bains et vite !". L'ambiance à la maison n'était pas triste, il faut dire que j'étais assez turbulent. En fait que d'excellents souvenirs du bain et d'Henri Salvador, ses chansons immortelles et son rire inimitable ! et ma chanson préférée qui convient parfaitement avec ma joyeuse enfance.
"Une chanson douce que me chantait ma Maman..."

Salut Monsieur l'Artiste ! Ah ! si tu vois le bon Dieu, demande lui plus d'Humanité et de sourires pour notre Monde !
*****
Ecrit pour les Impromptus Littéraires. Mon texte n'est pas terrible... Par contre, lisez ceux de Clau, Brigetoun et Toncrate !

Je vous souhaite une belle journée !!!

VAINE TENDRESSE...

La femme que je rencontrerai ne se plaindra pas d'une vaine tendresse. Je lui offrirai mon coeur, mon corps et bien plus encore... Ma tendresse n'aura pas d'égal. Mes caresses les plus douces cajoleront son corps. Mes baisers les plus fous couvriront son corps. Mes câlins l'enlaceront le jour, la nuit. Mes mains l'effleureront. Mes lèvres butineront toute sa peau. Mes yeux la dévoreront comme au premier jour. Mon coeur battra la chamade au son de sa voix, de ses pas. Vêtue ou en tenue d'Eve, mes émotions seront intenses. Je serai son Amour, son Amant, son Ami.
Il ne faudra pas que sa tendresse soit vaine au risque de me perdre. Bien sûr, le temps nous conduira vers cette osmose. Se connaître, s'apprivoiser, établir la confiance et surtout s'aimer.
Rien n'est vain chez moi. Je suis entier, passionné, amoureux, excessif quelques fois, mais un homme heureux ! Pourtant je ressens un grand vide affectif... "Vaine tendresse" quand décideras-tu d'être entière à mes côtés ?
Comme le chante mon philosophe préféré, Jean-Jacques Goldman :
"Je serai doux,
Comme un bisou voyou
Dans le cou..."
Tendre moment...
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Texte écrit pour Les Impromptus Littéraires.

J'apprends à l'instant le décès de l'immense Henri Salvador ! Que son rire continue au delà des cieux !
SALUT L'ARTISTE !

Henri Salvador Dans mon ile
envoyé par metal83

Des pensées affectueuses pour mes Amis, Mumu et Khaled.