CARPE DIEM

Sous la pluie...

Un lundi comme les autres, je regarde par ma fenêtre, le temps est clément. J'enfile ma veste sans conviction, histoire d'aller un peu rouler dans le parc. Comme d'habitude, un écouteur du MP3 dans l'oreille et Lavilliers débute. C'est son dernier album "un samedi soir à Beyrouth"*, je le découvre. Mon fauteuil s'aventure dans les allées et s'arrête à mon banc préféré. Oui j'ai un banc que j'affectionne, même i je ne m'assois pas dessus. Ce banc s'est imposé à moi, pourquoi, comment ? Le hasard. Enfin je suis installé, pas pris de livre, juste prendre l'air et voir des habitués, ou encore regarder les gens passer. Mon jeu favori ! Deviner qui ils sont, où vont-ils, etc ? Ce matin, le parc est vide, je m'ennuie. Sauf que Lavilliers balance quelques vérités, un sacré personnage ce Monsieur ! Un faux méchant comme ces paroles dans "rafales" :
"le champs profond des romantiques
échevelé des anarchistes
le vent qui hurle solitaire
force le gris de tes yeux verts..."

Alors que je me balance au rythme reggae accompagné de violons, le ciel s'assombrit. De fines gouttes perlent sur mon visage, mes bras poussent sur mes roues. Mon fauteuil, mon regard se stoppent brutalement. Une jeune femme passe, fatale, sous son parapluie. Subjugué ! La pluie tombe drue. Et mes yeux foudroyés de joie par la splendeur de cette passante. Elle se retourne, sûrement interloquée par un tel comportement. Un seul échange, ma béate expression et son étonnement.
Où êtes-vous Mademoiselle ?

Une porte s'ouvre, je sursaute, C'est Martine mon infirmière. 8 H du matin, "j'ai encore rêvé d'elle..."**.
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Je vous souhaite une très belle semaine Mes Amis !

*C'est vrai et je vous le conseille !
** Une magnifique chanson du groupe "il était une fois" de la regrettée Joëlle, le clip ICI .

"SOPHIE, CADEAU DE LA VIE"... 33

Et on revient si gais encore, si respirés de nous, mon fauteuil se glisse, Sophie semble me donner la main en le poussant, tout est si naturel, parfois elle se penche, s'arrête, me regarde pour intensifier un mot, un propos, et youps, on redémarre, l'ascenseur, et déjà notre home. Tout est si simple avec elle.
Comme promis, je lui fais couler un bon bain, je glisse des parfums et ... Je l'appelle, mon moment merveilleux, ses vêtements glissent doucement et c'est ainsi habillée qu'elle me tend sa beauté plus encore, je suis émue si fort, elle est là, je suis là, on s'aime. Son bain lui ferme les yeux, je lui masse la nuque, elle se sort une jambe, la goutte d'eau la glisse tendre avant de s'évanouir sous la mousse, et ma main court sa cheville, apaise son pied, si je pouvais plus et encore... Elle ouvre les yeux, me regarde, personne ne m'a jamais offert tout cela, tu es le premier, mon Olivier, et ses mots m'aspirent vers elle, mon baiser est brûlant de vérité si tendre. Son peignoir doux pour nous, nous enlace, avant d'aller manger un peu... Un peu speed, je sais qu'elle a un peu de travail.
Très vite, je débarrasse, elle baille, mais je la stimule pour qu'elle termine sa préparation, et je l'attends avec un livre, couché, tranquille. Le réveil avance son pas, ma tête fourmille ses bontés, je suis si heureux...
Et, le temps me semble long, et la voilà déjà, notre temps est sans le temps, il est à nous.... Je lui ouvre notre couette, son peignoir se tombe par terre, et son corps se fait tendre en se lovant déjà..... Et la suite encore, dans le regard de nous, dans la saveur du beau, dans la découverte magique, dans... et plus encore...
Le château de Montségur.
Chouette ! vendredi soir ! Nous partons en week-end en Ariège ! Je vais présenter ma Sophie à ma grande Amie Muriel, puis nous irons chez les parents de Fred au Mas d’Azil. Ma Belle arrive plus tôt, se précipite sous la douche, non sans m’avoir embrassé fougueusement. Car Mademoiselle est pressée de rencontrer Mumu. Il faut dire que je lui en parle beaucoup. J’ai tant d’admiration pour elle, connu grâce à internet, son site où elle parlait de sa vie. Une vie pas comme les autres, d’ailleurs son histoire m’avait tellement ému que j’ai mis 6 mois avant de lui écrire un mail. Une furie court dans la maison, peur d’oublier quelque chose. «Mon Amour, j’ai tout préparé avec Idia ce matin comme tu me l’avais dit, et tes vêtements sont prêts sur la chaise de la chambre !». «T’es un Amour !» ; «Je sais !» et l’écho de répondre «Toujours aussi modeste !» en riant. Enfin nous embarquons dans la voiture. La route est un peu longue, j’ai prévu la musique. Nous chantons du Lalane, « tendresses », un album ancien mais notre préféré. Après deux bonnes heures de route, nous arrivons à Nalzen. Mumu nous attend avec Corinne et sa Maman. Inutile de vous dire que l’accueil est chaleureux, de plus nous nous étions pas vus depuis longtemps. La joie est immense de se retrouver et surtout de présenter ma Belle. Au fil de la discussion, Nous avons promis à Mumu de l’amener une nouvelle fois au Château de Montségur. Après ces belles retrouvailles, direction le jardin de Cadettou, rejoindre notre nid du week-end. Sophie est enchantée d’avoir connu Muriel !
Tout aussi heureux d’être reçus aussi gentiment à l’auberge, nos hôtes nous emmènent à notre chambre. Nous nous sommes vite couchés pour s’aimer fort car notre soirée fut une source de bonheurs. J’avoue que notre nuit fut des plus coquines. Comment pourrais-je résister à une femme si tendre, si douce ?…
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Annick, tes mots me sont précieux, et je te remercie de les partager avec moi !
Aujourd'hui ce chapitre de "Sophie" est plus proche de ma vie..

Il est dédié à Muriel, ma très chère Amie, qui est une battantante incroyable ! Je t'embrasse fort !

Ecrivez lui des mots de soutien sur son mail : [email protected]  ! Vous lui et me ferez un immense plaisir ! Merci MES AMIS !

"SOPHIE, CADEAU DE LA VIE"... 32

Et on s'emmène encore dans notre pays à nous, rien qu'à nous de nous deux, pays si merveilleux. Parfois, Sophie se recule, me regarde, m'enveloppe de la tendresse de son regard à elle, et je  me laisse happer par sa douceur si bonne.
On reste là encore, nos oreilles douce musique, nos murmures, nos silences, et puis le sommeil nous emmène sous notre couette à deux.
Déjà, le soleil sonne, et elle se rapproche, se niche, dépose de beaux baisers, et je la laisse aller se préparer pour sa journée. Je suis si bien en moi, ne ressentant pas la peur de la voir s'envoler pour ses cours, ce soir elle sera là, mon Amour.
Elle part vers son jour, et je reste mon matin, attend mon infirmière, et pense à mon jour qui va se dérouler. Je me sens plein d'envies d'écrire, de lire, de téléphoner, je me sens heureux, envie de lâcher mes sourires, d'éclater ma joie, c'est si bon d'être joyeux en amour.
Le matin file à toute allure, et déjà je savoure le repas avec de la musique, et comme je sirote un café, Sophie m'appelle. De suite, sa voix claire, pétillante, me sursaute et m'emporte au pays d'elle, je l'imagine, dans sa voiture en ce moment. Une heure de pause qu'elle a choisi de marcher en mangeant un sandwich, dans un parc près de l'école. Et puis, la pluie forte l'a forcée à rentrer en voiture et elle partage encore sur notre fil de vie. " C'était bon ce que tu as mangé ? je suis près de toi dans ton café ! je te serre fort mon Amour! " et elle rit et me contemple dans le fil, sa présence est si forte. Je la fais rire, je suis émue encore, comme si c'était notre première rencontre. On s'apprécie tellement, dans notre douce complicité, notre apaisement est si heureux dans les échanges de nous deux. Je suis sur un nuage mais un nuage si vrai, que j'écarquille les yeux. " A ce soir ma Sophie, bon après midi. Dès que la pluie cesse, je sors m'aérer ". Et déjà on décide de se retrouver dehors à sa sortie des cours. Notre rendez vous est pris, pour nous, et il tient notre fil du jour.
Notre lieu de RDV après ses cours.
18 h, impatient, j’attends ma belle dans le parc. J’écoute de la musique avec mon MP3, le dernier de MC Solaar. Excellent album comme d’habitude, avec une chanson intitulée « Carpe Diem », j’aime bien le rap avec parcimonie. La cloche sonne, les jeunes s’évadent de leur « prison ». Certains me lancent « Salut Olivier » ou « salut Mec », car j’ai pu discuté avec eux ici d’ailleurs. Ils fourmillent d’idées mais semblent démotivés, blasés. Leur jeunesse se vit dans une société individualisée, commerciale. Pendant que je philosophe sur cette jeunesse, une main glisse dans mon cou, frissons garantis ! Ma Sophie sourire aux lèvres mais traits tirés, elle est fatiguée. « Assieds toi ! profitons de ce soleil ! ». Sa tête se pose sur mon épaule et son bras prend le mien. Un repos silence. « Tu sais, nous avons le temps, j’ai tout préparé pour ce soir. Comme ça en rentrant, tu te relaxes dans ton bain. Je m’occuperai de te détendre le cou et le dos. T’es partante ? ». « Devine ! » me répondit-elle du bout des lèvres. « Tu sais, Fred m’a appelé, il nous invite ce week-end en Ariège dans l’Auberge de ses parents, le jardin de Cadettou*, je lui dis oui ? » ; « Evidemment mon Amour ! ». « Mais tu le connais pas, suis-je bête ! Tu verras c’est un Mec génial ! » ; « Mon Amour, tu m’en a déjà parlé, montré les photos quand il est venu avec l'adorable Céline ». « Allez on rentre ma Douce ! il me tarde de te frotter le dos ! » ; « Que me frotter le dos ? suis sûre que tu vas en profiter mon coquin adoré ! » ; « Moi ? jamais ! » dis-je en éclatant de rire. Ma Sophie se lève, elle me pousse délicatement, m’embrasse fort sur la joue.
Le soleil a beau se coucher, notre Amour ne dort jamais. Ma Sophie émane ma vie des parfums dont je ne connaissais même pas l’existence. Du plus profond de mon être, je l’Aime !
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Un moment de partage avec Ma croqueuse de vie, Annick ! Un honneur, une joie ! Retrouvez la sur son Lejustesimplevivre , un beau lieu où l'on croise Amour, Vie et Paix avec ses colombes !

Dédié à mes deux Amis adorés, Céline (CKCK) et Fred (Hrundi), je vous embrasse fort !

BELLE SEMAINE MES AMIS !

*Si vous passez en Ariège, arrêtez-vous y ! vous ne serez pas déçus ! et passez sur le blog de Fred, L'Humanitaire dans tous ses Etats , très sérieux et important !

"SOPHIE, CADEAU DE LA VIE"... 31

Et déjà Sophie se lève, sort la jolie nappe du placard, deux jolies assiettes et en un claquement de ses doigts, une jolie table pour nous deux, j'amène deux petits bougeoirs et elle apporte un verre avec la jolie rose, et elle me regarde, contente, de voir mon oeil sourire. Et elle virevolte encore, amusée avec sa jupe qui danse et m'étourdit la paupière.
Puis elle vient s'asseoir sur mes genoux pour se blottir, elle me dit adorer d'être ainsi nichée et serrée, et déjà la sonnerie, elle revient chargée, je nous ai gâtés, j'ai tant envie de la chouchouter encore et encore.
Elle me dit Monsieur est servi, et le dit en riant, car elle, elle s'asseoit, et me revient le rôle de garnir la table, on picore, on savoure. " Parle moi du rugby! " " Mais, tu n'aimes pas trop ! " " Non, je n'aime pas trop, mais j'ai envie que tu m'en parles !".
Et comme elle m'a tendue la perche, me voilà au milieu du terrain, et je parle, et je clame et je vis le rugby, et puis, j'hésite, et puis, je raconte mon accident, je lui en parle encore, un peu plus, je vois l'élan de son oeil qui me serre bien fort, mais si fort attentive, elle ne quitte pas sa place. Et puis on fait silence. " Alors, quand il y aura eu un match, surtout tu m’en parleras, et puis peut être que j'aurais plaisir à regarder avec toi ! "... et elle se lève, vient tendrement m'embrasser dans le cou, elle me sait éprouvé.
Et déjà, elle tournoie ,se rasseoit et parle un peu de sa passion d'être prof. Elle me communique tellement son amour d'apprendre aux élèves, que je me dis que oui de oui, comme cela doit être passionnant. Puis on se regarde longuement, à s'ouvrir encore, un peu du jardin secret de chacun. Et c'est assez. Le présent est si beau. Je souhaite juste de vivre avec elle cet aujourd’hui offert, le passé est loin, et déjà elle débarrasse, me dit de rester sur place et j'en profite pour glisser un cd favori, et je l'entends fredonner, et mon coeur chantonne. Et je suis surpris par la mélodie d'un violon, que Sophie joue en douceur comme elle revient vers moi. Encore un bout de jardin qu'elle me dévoile encore.. Et on reste longtemps fort longtemps à entendre tour à tour son archet sur les cordes vibrer ou un cd partagé, nos goûts sont différents ou identiques, et elle prend tant plaisir à découvrir mon petit monde de la musique, que je sors mes favoris, elle met les écouteurs... Notre soirée à nous, nous enchante tant encore. Je plane au centre de notre séjour étoilé, mon étoile c'est Sophie…

Cette soirée se donne en découvertes. Ma Douce n’imagine pas que le violon m’émeut aux tripes et elle en joue délicieusement. Ses yeux se ferment, ses doigts dansent sur les cordes, elle vibre de musique ! Je silence d’émerveillement, une larme s’échappe. L’émotion est intense…
Ma Sophie est une perle, venue de je ne sais où. Même dans mes rêves les plus fous, elle n’existait pas. Le violon s’est tu. Ma larme, elle ne l’a pas vue.
Mon plaisir de pouvoir l’amener vivre un match de rugby est immense. Avant, je veux lui montrer une des plus grandes parties de ma vie, plutôt lui expliquer pourquoi ma philosophie de vie est ainsi. Je sors des photos, des coupures de presse collées dans mes journaux «intimes», 14 ans de ma vie. 14 années de mon art martial, le judo. Sophie savait un peu, sans plus. Là je lui ai présenté mon professeur, mon maître, mon 2ème «Papa», Monsieur Jean de Barry. 3 heures plus tard, nous n’avons pas fini, pas grave.
Avant de rejoindre notre nid douillet, «ma Belle, tu me m’enchantes encore avec ton violon et ta grâce, s’il te plait !». Ce sensuel instrument au creux du cou, l’archet caresse les cordes, et ma Sophie m’envoûte. Ce son si particulier charme mes oreilles, mon cœur. Sophie est la plus belle des virtuoses ! je sais, je ne suis pas objectif. Quoi que Mademoiselle a dix années de pratique, tout de même.
Notre partition va se continuer dans le partage d’Amour. Notre Amour qui se solidifie, s’intensifie au fil des jours, des heures, des minutes, des secondes.
Ah ! «Sophie, JE T’AIME !». Sa réponse, un baiser et la décence m’interdit d’en dire plus…
**************

Quelle chance de partager avec Annick, merveilleuse Amie, cette histoire d'Amour ! Elle suit son cours et nous espérons que vous l'appréciez ! Nous, ce partage d'écriture et bien plus encore nous rassemble et nous ressemble. Je ne trahis pas tes pensées, Annick ?

Nous vous embrassons très fort et merci de nous laisser vos impressions et bien sur de nous lire !

BONNE FETE A TOUS LES AMIS !

"SOPHIE, CADEAU DE LA VIE"... 30

Et on se niche longtemps le berceau de notre amour, nos souffles se rassurent, sa chaleur me réchauffe, son corps est tellement doux, tout nu tout contre moi, et je me serre encore dans mon sommeil émoi.
Le matin est paisible, ses cours sont à 14 H, et c'est un matin de vacances qu'elle me donne tout de bon. On reste collés longtemps tout au fond de la couette, elle annule l'infirmière pour ce jour d'exception, elle souhaite m'envelopper de sa tendresse pleine, me donner ses bons soins avec ses mains à elle. On ne peut imaginer comme se sentir confiant, rassure et puis envole en beaux vols de belles plumes. Je ne me sens pas dépendant, ni entretenu, elle est tellement de grâce, et ses rires et ses regards tellement remplis de beautés. Elle m'aime, et c'est dans les bras de cette femme qui m'aime que je me laisse dorloter. Je mérite ces moments, ma vie fut tellement rude, si seul, si triste souvent, si froid en tout dedans, ma Sophie comme je t'aime, et je le dis si fort dans mon souffle intérieur que déjà elle se presse, s'asseoit sur mes genoux, et m'enlace, s'enlace, se niche dans mon cou. Mon désir est si grand pour elle tellement, elle est ma joie de vivre, mon goût d'être sur terre, elle me donne bien plus depuis ces quelques mois, que des ans tous derrière.
Et nos regards se plongent dans notre monde à nos deux qu'il suffit de se regarder pour le revivre encore tout de bel, tout de beau, tout de vrai, tout d'amour !
Mon corps il a des ailes, que je lui dois à elle, mon amour, ma chérie, ma femme en tout de moi !
* Notre Amour à la sérénité de ce lac.
Nos élans amoureux sont interrompus par le temps… Ma Sophie doit se préparer pour aller travailler, puis manger un petit morceau, avant d’affronter ses élèves. Je la bouscule, Mademoiselle flémarde, se cache sous l’oreiller. « Allez Sophie ! bouge ! ou pas de câlins ce soir… » ; «c’est du chantage !» ; «Exact !». Enfin, elle daigne se lever non sans m’avoir lancer l’oreiller. «D’accord, ma vengeance sera terrible !» ; un écho me répond «on verra bien». Midi et demi et elle n’est toujours pas prête «Sophie, t’exagère !». Je connais ma douce et elle n’attend qu’une chose, que j’aille la chercher à la salle de bains. Coquine ! Cette fois-ci, je n’irai pas. Elle sort, s’installe à table tout en bouderies. Le repas commence, au bout de cinq minutes chrono, nous éclatons de rire ! Cinq minutes sans se parler, impossible entre nous, une composante de notre Amour, le dialogue. Les aiguilles tournent trop vite… Mademoiselle la Prof attrape son cartable, c’est le départ. Comment expliquer qu’on a tant de mal à se quitter ? Les bisous de «à tout à l’heure» s’éternisent chaque fois.
Pourtant le soir quand Sophie passe la porte, l’émotion est aussi forte qu’au premier jour. La Magie de l’Amour !
Mon Amour va à la cuisine voir ce qu’elle peut nous mijoter. Je l’arrête en chemin, «Amour, t’inquiète de rien j’ai commandé des salades composées et même le désert ! si t’es sage !» ; «comment si je suis sage ?» me répond t’elle en s’avançant vers moi. Là débute notre bêtise, hilares. Le premier qui fait craquer l’autre… Bien sûr, je perds tout le temps. Rien de grave, bien au contraire, sa tendresse est si Amour que je fonds littéralement.
Une journée passée tout en complicité, en simplicité, en VIE…
*************

Je n'imaginais pas que "Sophie, cadeau de de la vie" puisse atteindre 30 chapitres. C'est un fabuleux cadeau que j'ai commencé avec Michèle "Mon Ange-Gardien" et que je continue délicieusement avec Annick, l'amoureuse des mots. Merci Mesdames !

*Cette douce photo est un clin d'oeil à son auteur québécois, Léo Gobeil ! que je n'oublie absolument pas ! Visitez sa Merveillenature , sa galerie porte formidablement son nom.

"SOPHIE, CADEAU DE LA VIE"... 29

Puis je lui ouvre mes bras de son peignoir et la serre si fort, velours d'un corps à corps, et elle me sourit et me rit, et m'expédie en tout là bas, elle m'emmène, cette fin de journée, elle m'emmène, je sors à regrets en gloussant mes petits rires, son rire me veine si tendre si palpité d'aimer, je suis gai avec elle..
Dans le séjour, je songe que mon Amour est derrière cette porte, et la voilà qui s'ouvre et qui déjà se danse vers moi, et nous voilà dehors, son parfum est si bon, je ferme mes yeux conquis, et je ferme mes yeux, je me laisse conduire.
Et on se fond la foule, et on arrive enfin.
Une exposition, c'est donc là qu'elle m'emmène, je me laisse séduire encore par son idée, et nous voilà entrés, et la première galerie suspend des tableaux de baisers, je la regarde m'éclate, elle n'en rate pas une pour me pouffer ma vie. Et devant chaque photo, on silence, on apprécie, un beau baiser de vie c'est tellement de la vie, et comme je lui demande de s'approcher, elle a déjà compris, c'est notre baiser à nous qui manque dans cette galerie, alors elle s'approche, se glisse mon visage, fraîche et si radieuse, mon baiser est immense, je l'aime à l'infini, ici ou en ailleurs, ma Sophie, mon baiser, ma vie, toutes mes envies de vivre, elle est cela de tellement...et on ressort paisibles de quitter ceux qui s'aiment car on s'aime tellement.
*
Nous traversons la foule, rires à gorges déployées ! Nous humons notre Amour. On croise des sourires, de drôles de regard, qu’importe, on est heureux. Sophie m’embarque dans la voiture, direction la fête ! En fait, on atterrit devant un dancing. Même si je bougonne un peu, ma Belle ne me laisse dire un mot. Hop ! nous sommes installés à une jolie table, chandelles, nappe fleurie de pétales de roses, verres en cristal. L’accueil est chaleureux, la musique entraînante. Bien sur, on ne peut échapper à des yeux incrédules, des préjugés. Le style « que fait cette belle jeune femme avec un handicapé ? », nous on s’en moque ! Nous nous sommes habitués à ces attitudes, nous ne le voyons plus.
Je commande du champagne ! vos verres s’entrecroisent et nos bouches se pressent d’amour. J’ai toujours aimé danser, ma Douce m’emporte. Elle tourne, virevolte, m’offre sa grâce, sa joie ! Le quart d’heure de folie de ma Sophie. Arrive le quart d’heure américain, les slows, elle se pose tendrement sur moi, m’enveloppe de tout son être, son cœur bat fort. Je frôle son cou de mon souffle, dépose un baiser au rythme de la mélodie. Le temps semble s’être arrêté sur notre bonheur.
Nos mains ne se quittent pas. Un verre de champagne de plus pour trinquer à NOUS ! La fatigue nous interpelle, la nuit est étoilée comme nos cœurs. Frissons de fraîcheur automnale. Notre nid s’ouvre. Morphée nous a pris dans ses bras, nos corps entrelassés…
*****
Est'il utile de vous dire que la plume d'Annick est une mine d'Amour doré ? Oui, qu'adviendrait-il de notre "Sophie" ? Mille bisous ensoleillés ma très chère collaboratrice.
Merci encore de vos attentions, vous êtes de merveilleux Amis.
Je vous embrasse fort !

*Ce tableau vient de cette page LE BAISER que je incite à lire vite !

"SOPHIE, CADEAU DE LA VIE"... 28

Notre Amour une telle force, et quand je l'aime mon amour, je me sens si vivant, si vivant de me vivre, de la voir se vivre donnant, que je serre mon ciel, son offrande, sa bonté, sa beauté.
Et comme elle ferme un oeil, je la crois fatiguée et de suite son baiser me dit qu'elle est bien éveillée, et longtemps hors du temps, nos corps se donnent, se ressourcent, s'aiment intensément.
On s'endort, réveillés par la douce respiration de sa poitrine, je la regarde longtemps, je sais qu'elle reprend ses cours, je sais que déjà elle me manque, je sais que pourtant elle reviendra ce soir, je sais tant que je l'aime. Je n'imaginais pas pouvoir aimer autant, et surtout pas me faire aimer aussi fort, moi sur mon fauteuil roulant avec ses charges qui vont avec. Et une larme coule, je ne peux lui faire du mal, je suis bien trop lourd, si pesant parfois, et je glisse ma larme et la laisse me faire du bien. Sophie se réveille et me voyant si triste, se blottit dans mes bras, t'en fais pas mon Amour, je suis là que pour toi, car c'est bien toi que j'aime, que j'aime en au-delà, haut si haut d'un Amour si grand que nul ne peut l atteindre et encore moins la vie...
Pour toi je franchirai les plus hauts cols, nagerai les eaux glacées, marcherai dans le feu, je t'aime mon Amour, ne sois plus jamais triste, et elle se fait si tendre, se glisse dans ma nuque, me serre encore si fort, mes mains la serrent plus encore, ma main se pose sur son sein, nos corps buvardent notre Amour, notre Amour de nous deux !
*Au réveil ! (j'en rêve...)
La journée va me paraître une éternité sans ma Sophie… Savent-ils ses élèves la chance qu’ils ont d’avoir comme professeur, une femme aussi exceptionnelle ? Oh ! je suis certains que deux ou trois doivent être sous son charme. Comme moi je le fus ado avec aussi ma prof d’anglais, une belle histoire. D’ailleurs Sophie le sait car j’ai gardé le contact avec Cathy. Et nous avons déjà bu un café tous les trois.
J’aimerais être une petite souris pour voir comment se déroulent les cours de ma Belle ? Je le sais un peu quand elle rentre le soir. Soit je le devine en regardant son visage, ou Sophie me raconte quelques bribes de sa journée. Non ! Elle s’en sort très bien car Mademoiselle s’est imposée un climat d’écoute et de respect avec ses élèves malgré son jeune âge. Elle a un atout : son sourire craquant ! Mais bien d’autres aussi.
Heureusement, mes heures, seul, passent assez vite, entre l’ordi, la lecture du journal, de magazines, et le livre que j’ai reçu aujourd’hui. « Fureur et mystère » de René Char chaudement recommandé par mon amie Brigitte, je ne connaissais rien de cet auteur alors elle m’a suggéré de commencer par ce recueil de poésies.
17 H 30, ma Sophie arrive, fatiguée. Pour autant, elle se jette dans mes bras, m’embrasse, et doucement me glisse à l’oreille « je t’ai manqué ? ». Quelle question ! Ma réponse est simple. Un long et tendre baiser, « ai-je bien répondu ? ». Elle éclate de rire et me lance « peux mieux faire ! » coquine. « File ! pendant que je te fais couler un bain. ». Préparation du bain, un peu d’algues relaxantes, un soupçon de mousse, l’eau pas trop chaude comme elle aime, le gant de crin, et un fond musical jazzy avec Mickaël Buble. Elle arrive sous son peignoir qui tombe aussitôt et s’installe. Relaxation totale… Je ne peux m’empêcher de la contempler, elle est belle ! On se tient la main, elle a besoin de moi, je reste. Aujourd’hui, demain, toute la vie, mon Amour est synonyme de Sophie. …
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Quand deux plumes, deux êtres, deux âmes, se rencontrent. Ils vous offrent cette histoire, mais en même temps leurs émotions, leurs coeurs, leurs envies, leurs plaisirs et plus encore. Annick et moi sommes heureux de partager avec vous et pour vous ce nouveau chapitre.
Sans oublier mon Ange-Gardiem Michèle sans qui "Sophie" n'existerait pas ! Merci !

Laissez vos impressions surtout, positives ou négatives.

Annick et moi, nous vous remerçions et nous vous embrassons bien fort !!!!

*Photo Peter Heggre, un grand du très érotique !

"SOPHIE, CADEAU DE LA VIE"... 27

Et les odeurs de cuisine viennent valser le séjour avec la jolie mélodie que j'écoute doucement. Je tente de deviner car cela sent bien bon, et, ma rêverie m'emmène tout de vrai tout de beau, ma Sophie derrière la porte cuisine, me bichonne tellement. Et déjà, elle sort, et passe en salle de bains.Je trouve le temps un peu long, et la voilà qui sort, j'écarquille les yeux, comme elle est belle, elle a relevé ses cheveux, a mis une jupe de toile et un joli tee-shirt moulant et, déjà mes roues marchent le pas et elle rit, et elle s'enfuit, non, je viens juste de m'habiller. On s'amuse comme des fous, on est heureux tout simplement, elle et moi, là dans ce moment précieux de vie !
Et puis, mon amour m'aide à me faire beau aussi tout pour ses yeux pour elle, et déjà nos amis arrivent. On partage nos jours de vacances, on rit, on boit un délicieux vin avec le plat corsé de mille et une beautés, je suis comblé, vraiment, tout est tellement, je suis simplement émerveillé d'être si heureux. Et nos amis délicats nous laissent assez vite, pour nous laisser à nous, devant nos yeux qui brillent. Le voyage m'a un peu fatigué et Sophie est plus présente encore, elle m'accompagne avec ses bulles d'amour et me caresse doucement de sa main dans ma nuque. Et puis, elle s'assoit, se fait câline et je ferme les yeux, je suis heureux. Et déjà elle me provoque juste un peu, en me demandant si sa tenue est chouette, si elle me plait ainsi, si son goût est le mien, et je lui murmure déjà dans le creux de l'oreille, que son plus bel habit c'est elle tout simplement, et déjà ma main se fait coquine et elle si tendre douce.
Ma Douce ?? ;)
Ma main suit la sienne, elle ouvre les boutons de ma chemise, je me glisse sous son tee-shirt. Du bout de ses doigts elle longe mes épaules, mon cou, je frissonne… Elle quitte son haut, laissant apparaître un soutien-gorge en dentelle blanche. Ma tête tourne ! mes lèvres n’oublient pas un millimètre de sa peau satinée. Sa bouche me chavire, elle s’aventure sur ma sensibilité extrême. Nos corps frémissent au plus profond. Sans que nos baisers cessent, mon fauteuil s’empresse vers notre nid douillet.
Transcendés d’amour, notre nuit sera feux et folies.
Vous ne pouvez imaginer mon bonheur… Sophie est une Perle ! Elle a su, a demandé, a perçu toutes les difficultés de mon handicap. Nous parlons souvent, aucun sujet n’est tabou. Sinon notre Amour n’aurait été que feux de paille. Pierre après pierre, nous construisons notre Amour, notre couple, notre vie. Sophie a une grande maturité et une ouverture d’esprit incroyable. Elle ne s’est pas posée mille questions lors de notre rencontre. Elle savait !
J’ai eu, au départ, aucune crainte. Notre Amour a grandi, et là curieusement les doutes sont arrivés. Ils furent de courte durée, Sophie les a chassés. Peu de mots ont suffi.
L’Amour est bien au-dessus, il est notre force !... 
*********
Notre Histoire se poursuit dans la symbiose de nos deux plumes. Annick, un Amour, une Amie, merci de m'accompagner si joliment dans cette aventure ! N'oubliez pas son Lejustesimplevivre , un hâvre de joies, de poésies, de chaleur, de VIE !

Je dédie ce Chapitre à une autre Amoureuse de la vie, de la nature, de la planète ! Ma Dame de Haute-Savoie, Chantal que j'embrasse fort ! Son blog Respectons notre planète terre , son jardin magnifique !

BONNE SEMAINE MES AMIS !

"SOPHIE, CADEAU DE LA VIE"... 26

Et notre je t'aime prend ses aises, sans malaise, il se donne infini et nous emmène, Sophie ma vie en toi tu es si mienne. Notre fatigue nous quitte, si bon de nous donner de la vie, alors on se laisse séduire par son autre qui est tellement,
puis tendrement serrés, je lui murmure encore dans le creux de l'oreille comme je l'aime plus encore, et on s'endort, des soupirs d'aise nous emportent nous retrouvent dans nos beaux rêves.
On dort longtemps, on apprécie, on ouvre un oeil qu'on donne à l'autre, et le premier baiser du bonjour ouvre le jour.
Et puis, elle se lève, ouvre le rideau, regarde dehors, et puis délicatement m'aide et m'emporte vers la fenêtre, on savoure à deux cette vue, ce nous deux vécu ici heureux, et on décide de repartir chez nous...
Pendant le trajet, Sophie s'endort dans ma nuque, et je suis bien, je suis si bien de la savoir tout contre moi, mon amour.
Surpris du court du trajet ailé par le bonheur, on se retrouve chez nous, et on souffle, on se dit que chez nous, c'est notre paradis, on peut s'aimer, rester, sortir à pieds, lire, écrire, manger à deux, et que notre chance est si immense. On est tellement heureux qu'on appelle des amis pour partager notre table dès le lendemain, et déjà je sens qu'elle pousse mon fauteuil, il est tard, je suis fatigué par le voyage. Elle me fait couler une douche, une douche qu'on fait au goût de nous deux, amoureux, et sans faim à manger, on se couche pour se gober, on s'endort, serrés, réconfortés, aimés aimants amants, nous chuchotant des mots délices, des gouttes de beau silence parcourent notre chambre. Un fond de musique nous apaise, on est si bien chez nous, c'est le départ nous deux, d'un bout de vie à deux.
Le bel étal !
« Le jour se lève à peine, je suis déjà debout, et déjà je promène une larme sur mes joues… », le radio-réveil chante du Cabrel. Nos paupières sont lourdes. Sophie bougonne, se colle à moi, aucune envie de bouger. Je la secoue un peu, ma Douce n’est pas une matinale. « Debout ma Belle, l’infirmière va arriver ! ». Mademoiselle se décide enfin, direction salle de bains en râlant. Mon infirmière est à l’heure. Cérémonial habituel d’une vingtaine de minutes. Ma Sophie, au début était un peu gênée, maintenant elle est d’autant plus contente car elle a appris aussi. Je l’avoue, j’ai eu peur que Sophie puisse s’en aller à cause de ma dépendance importante. Au dessus, des à priori, il y a Notre Amour.
Nous déjeunons tranquillement. Et ensuite direction le marché, il faut préparer le dîner. Nos adorables amis Isa, Olivier sont nos invités. Au marché, je laisse Sophie choisir, elle a décidé de cuisiner sans moi. Même moi, je ne sais pas ce qu’elle a prévu. Nous rentrons, un repas rapide, et Sophie s’installe en cuisine. Je m’approche, « Stop ! tu vas lire ou ce que tu veux, mais tu me laisses. » « Ok ! avant tu viens m’embrasser ou alors je … » Pas le temps de finir ma phrase, mon Amour se précipite me câliner. Là, je ne sais pourquoi, faibles hommes que nous sommes, nous craquons… J’ai quand même réussi à la garder dans mes bras dix bonnes minutes, malgré ses « faibles » protestations. Sophie à cuisiner, moi à pianoter sur le net. Vivement ce soir !…
*****
Annick et moi sommes heureux de vous offrir ce nouveau chapitre de "Sophie, cadeau de la vie". Un cadeau pour nous aussi que l'on partage avec Michèle !
N'hésitez pas à nous écrire toutes vos impressions même négatives. Nous pourrons qu'avancer grâce à vous !
Nous vous embrassons !

"SOPHIE, CADEAU DE LA VIE"... 25

Et notre nuit d'Amour, horizon infini de grâces et de partages intimes si beaux, et enfin, le sommeil nous enserre lui aussi, et nous nous endormons dans les bras l'un de l'autre.

Je me réveille, seul, ma Sophie disparue, mon coeur se bondit et déjà, elle m'embrasse mon réveil, me serre dans ses bras, son parfum si délicat, ses cheveux mouillés me frissonnent, et derrière elle, notre table de petit déjeuner. Mon appétit fort d'elle me fait manger si grand, on ne se quitte pas de l'oeil, et puis, vite, elle m'emmène en salle de bains... Elle m'a prévu une sortie qu'elle souhaite si belle....

je me laisse faire, quoi de plus beau que de se laisser emmener au pays des étoiles d'Amour.

Prêts, notre taxi arrive, et, on traverse les marais salants, des oiseaux sur leurs longues pattes, nos yeux suivent leurs vols, un détour par Saillé, ses maisons de pêcheurs bleues, et si Elle et moi, Là...

Et Le Croisic, enfin, une maison spécialisée à l'entrée de la ville, offre un bien bel horizon, à ceux et celles qui n'ont pas une Sophie pour vivre un ciel si beau. Je remercie ma vie !

et puis, on longe les bateaux, elle chante, heureuse, c'est moi qui la rend si heureuse ?! C'est tant moi qui le suis, et le fauteuil navigue à ras des flots, ensemble, on fait un très très beau voyage, jusque la ballade vers le phare...

Et elle s'arrête net, je vois sa mine déconfite, une larme dans l'oeil, mais ma Sophie ?! C'est rien je suis déçue des imbéciles humains, regarde mon Olivier, si on fait cette ballade vers le phare, les murs sur les côtés t'empêchent de tout voir... et ...Moi je te souhaite tellement de partager autant, et bien plus encore que nous si gâtés par la vie... On se recueille ensemble un bout de larmes et...

Je lui dis que tout voir, c'est la voir, et on s'élance, et puis, au loin, je vois, et puis je sens le large, et puis, c'est la fin de la saison, on est à deux sur cette digue entre le bord de plage et la mer... On se laisse s'emmener loin, très loin, loin de monde de brutes, dans nos délicatesses qui nous caressent.

au bout, le phare, elle s'assoit sur mes genoux, je la serre pour la réchauffer, et on est une respiration à côté de ce phare, que notre flamme éclaire, ma vie s'éclaire tant depuis que Sophie est mienne...

*Feu du Théhic
L'air devient très frais, la nuit s'obscurcit, des gouttes commencent à tomber. Ma douce me pousse vite à l'abri, on appelle notre taxi. On se serre, heureux, mais fatigués. Pressés de rentrer pour se poser dans notre chambre si agréable. Même dans le taxi, on ne se lâche pas, on s'imprègne de nous. Arrivés dans notre nid, on se déleste de nos habits. Sophie se met la dernière nuisette, tout en satin beige, que je lui ai offert. Puis avec l'aide de mon Coeur j'enfile un tee-shirt. Mademoiselle ne peut s'empêcher de jouer avec mes points sensibles. Je la repousse gentiment, car j'ai envie d'écrire quelques cartes postales à ma tribu. J'invite Sophie à m'aider et aussi à vouloir qu'elle mette quelques mots. Les premières, bien sûr, sont pour nos familles, puis viennent celles pour les amis. Généralement, là débute le casse tête n'oubliait personne ! On désire tellement partager notre bonheur ! La séance carte postale prend fin au bout de plus d'une heure. On est exténué.
Bien que notre fatigue soit là, nos coeurs ne peuvent se résoudre à se laisser tomber dans les bras de Morphée sans s'être dit "Je t'aime". Chaque fois, la chaleur de notre Amour est plus intense. Dès que nos peaux se frôlent, le désir monte. Mon tee-shirt n'est plus, ses mains me perdent. Sa nuisette s'efface lentement, une bretelle, une autre, elle glisse le long de son corps suivant le parcours de ma bouche. Des mots doucereux à mes oreilles me poussent encore plus loin. Nos corps, nos souffles s'épousent...
Un jour, une nuit, une femme, un homme, une vie, UN AMOUR !...
***********
Dédié à mon Ange-gardien Michèle que j'aime tout simplement !
A mon Amie Olga avec toute ma profonde amitié.

Sans ma collaboratrice Annick, "Sophie" et moi, nous ne serions rien. Mille tendresses et mercis chère Croqueuse de vie !
A mon cher Ami Miomidus simplement MERCI !
Toute ma reconnaissance et bien plus encore à vous Mesdemoiselles, Mesdames, pour vos mots hier. Permettez moi de vous embrasser fort !

*Photo empruntée sur le net, le phare du Le Croisic en Loire-Atlantique.

"SOPHIE, CADEAU DE LA VIE"... 24

Son souffle de Sophie me réveille, la tenture laisse passer sa caresse d'air, il fait tendre dehors, et la lune nous veille, je la vois de mon oeil entr'ouvert... Je n'ose pas bouger, de peur de la réveiller, je la regarde si belle, ses yeux dorment sa vie, et mon regard la berce, lui tend de si doux rêves...
Et puis, un oeil qui s'ouvre, elle me serre un peu plus, on se rendort fort vite....
Le matin crie son chant de joies en miels velours, et chacun se prépare pour apprécier notre jour. Le petit-déjeuner se prend sur la terrasse au goût de l'océan, des vagues, des mouettes, et puis on délice une ballade...
Dans le même pas on s'avance, on longe l'océan, et l’on se pose doucement, des rochers claquent l'eau qui se mousse belle claire, le sable tout au bord se couvre et se découvre, c'est marée haute, et la mer est si proche, le temps passe. Soudain le sable se découvre, laisse des crabes, des étoiles de mer, des tas de coquillages, elle m'emmène sur deux roues tout au bord de ces merveilles, et je la vois se pencher, ramasser et glousser quand elle me montre sa cueillette, une moule, une huître, un petit poisson dans un berceau de mer. L'air est tout juste beau, le vent nous rafraîchit si bon, le ciel est bleu, quelques moutons nuages, bedonnés, et si blancs.
Je suis assis et la regarde et déjà mon oeil saisit son pinceau lui, et elle belle, sa longue jupe se remue avec la bise, ses cheveux volent, elle les repousse loin des yeux, et sa silhouette qui saisit le temps me plait infiniment. Et déjà je pose ma toile dans un coffret à merveilles de vie, et déjà ma Sophie revient en courant, elle a les mains vides, mais le regard coquin, et elle me lance de l'eau qui me fait rire aux éclats, et déjà elle m'embrasse pour se faire pardonner ce petit coup de frais. Ce lieu est notre bulle, notre paradis rien que pour nous, on est nous seuls si pleins... De nous en rien que nous !
Maison du Potier à Guérande.
Bien que la fraîcheur bretonne nous fait frissonner, nous prenons le chemin de Guérande. Ville hautement connue pour son sel, nous préférons sillonner ses rues médiévales. Ces hauts remparts montrent les  traces de nombreuses guerres qui s’y sont déroulées. Nous sommes plus attirés par les petites rues. Mon fauteuil moins… Et ma Sophie qui ne se plaint pas de ces trous, cailloux qui gênent notre chemin. Là, face à nous, une maison toute bleue nous invite. Découverte, la maison du potier datée du XV ou XI ème siècle. Une merveille ! Les vitrines alléchantes, nous pénétrons dans ce musée. La poterie, encore un point commun entre ma Douce et moi. Des vases, des assiettes, des bols, etc, nous ne savons que choisir…  Allez ! soyons fous ! un plateau complet !
Après cette agréable et éreintante visite, une table nous attend dans une jolie crêperie. Une halte obligatoire ! Comment dire ? le repas fut frugal, arrosé de cidre et terminé par un verre de Chouchen, ouf ! La nuit est tombée depuis longtemps. Nous nous serons fort dans le taxi aménagé qui nous ramène dans notre nid de Pen Bron.
Encore une journée intense avec mon Amour ! Le temps nous semble trop court… Le lit nous accueille dans sa douceur. Nos yeux se dévorent de vie, d’envies. Nos mains se croisent, s’empoignent. Nos bouches s’effleurent, se caressent… La nuit sera Amour !!!!…
**********
Pardon d'avance si des Bretons ou amoureux de la Bretagne trouvent des erreurs. Je me suis appuyé sur divers sites pour essayer d'être le plus juste possible.
Sans elle, "Sophie" n'existerait plus, alors ma douce Annick, merci de ta merveilleuse collaboration.
Vous lisez en ce moment ma 201 ème note ! Merci de votre fidélité et de votre indulgence ! et surtout de votre amitié !

Hier sur ma note "AFRIQUE", j'ai lu un commentaire choquant. Je n'aime pas la polémique. Donc ma seule réponse sera cette chanson de Jean-Jacques Goldman :
"Et si j'étais né en 17 à  Leidenstadt"

Serais-tu voyante ma chère Annick ? ton dernier commentaire est le reflet de ma pensée !

"SOPHIE, CADEAU DE LA VIE"... 23

Et ma Sophie m'accueille tendresse si sensuelle, que la couette en  rougit... Baisers délicatesse, murmures enveloppés de soies, douces  caresses, regards perlés de nos éclats diamants, nos voix restent sans  voix, juste un filet charmant... et puis l'ivresse.
On se repose enfin, apaisés de nous deux, chacun est si heureux.Je  rêvais de ce bel partage que la vie m'offre dans ce doux temps et, je  m'enivre et je la saoule de mon amour illimité. Et puis...
On se dit que le pays du levant, on le connaît ici, sur notre tapis  volant serti de mille carats, et on se dit que peut être vivre notre doux temps ici, ou dans une vieille maison aux murs remplis de sons, à  la cheminée craquante, aux confitures si bonnes, à l'âme si intense serait plus beau encore qu'un levant visité par tant... On se mijote  un truc, on se dit que vraiment, nous deux, notre pays du levant, il n'appartient qu'à nous, dans le secret de nous.
Comme on est si bien, on se dit que vraiment nous sommes milliardaires des coeurs amants et que le plus beau sur terre, ce sont  les instants nôtres, nos délicieux refuges saisis dans nos instants en  ascensions si hautes, plus hautes que le vent... Et je la serre encore, et je l'étouffe un peu, pour entendre son rire canaille qui me fait rire, et sans fin je la dorlote, ma Sophie de mes jours heureux.
Et aussi, elle m'emmène, me niche et me séduit de ses merveilles  vivantes, ses yeux m'aiment si fort que ma vie est intense.
Doucement comme j'ouvre les yeux, elle me dit que le Japon c'est le sucre d'orge pour le printemps, si je souhaite maintenir, et déjà elle me tend un petit coffret tout doux... Et dedans, mes yeux surprennent un nom, le doux nom de Pen Bron... Et quand je lève mes yeux, ses yeux rieurs sourient, car ils ont réussi à me donner du bonheur... Pen Bron, c'est pour demain, elle m'emmène, elle m'enlace, c'est si vrai que déjà les vacances scolaires... Et je ferme les yeux et lui ouvre plein d'étoiles…
Pen Bron, son hôtel, sa plage,...

Bien que 800 kilomètres nous attendent, on prend la voiture. Puis comme je viens de l'acheter, on va la débrider. Ce voyage nous permet de découvrir quelques coins de France. Enfin au bout de deux jours, l'hôtel est en face de nous. Une envie commune, vite aller se reposer dans la chambre, prendre une bonne douche. Après cette petite sieste bien méritée, direction la plage, même si le temps est un peu gris. En fait ma Sophie et moi, nous découvrons l'océan ! nous les méridionaux ! D'ailleurs, il est houleux. Sophie prend déjà plein de photos, elle adore ! Et moi, je suis comblé quand je la vois s'amuser, me taquiner ! Nous laissons le sable pour revenir vers l'hôtel nous restaurer. Déjà 21 h, notre temps d'Amour coule trop vite... L'accueil est vraiment formidable ! et cet hôtel où je peux rouler partout à ma guise, génial !
Le repas sera "poisson", logique ! D'abord Noix de Saint Jacques poêlées sur salade au jambon cru et mélange de légumes au soja, puis Langouste et pour terminer Ananas façon carpaccio servi avec son biscuit noix de coco et son sorbet, un Régal ! De plus, nous mangeons face à la mer, heureux !
Repus, nous ne sortons pas ce soir, fatigués aussi... Surtout ma Douce qui fait tant pour moi, si tendrement... Je suis l'Homme le plus heureux de la terre !! Aussitôt couchés, nous nous endormons serrés l'un contre l'autre, amoureusement...
*****

Pardon pour ce retard avec notre "histoire" écrite avec Annick, adorable et si émouvante ici et sur son Lejustesimplevivre . Je manquais d'inspiration... J'espère que ce rebondissement vous plaira ! Dîtes-nous le ! Merci !
Sachez que cet hôtel existe vraiment et je compte bien m'y rendre bientôt, qui m'accompagne à Pen Bron ?
Des pensées affectueuses pour ROSIE . Et un clin d'oeil musical à Marie pour sa note d'aujourd'hui Musique en ville ! Kenny G et son saxo, merveilleux !

"SOPHIE, CADEAU DE LA VIE"... 22

Mon juke-box tourne entre de la variété, du rap, de la country, du gospel, du rock et même un peu de classique, ma voix accompagne certains morceaux. La musique, indispensable ! J’aime, quand j’écris, entendre de douces chansons. Sophie partage cette même passion. Souvent nous chantons à tue-tête, encore un plus dans notre Amour. Incroyable comme nous avons découvert nos nombreux points communs : le sport, la photo, l’écriture, la lecture, et D’ailleurs ma douce abuse de me prendre en photo, elle trouve toujours un prétexte. Evidemment je cède, elle a des arguments auxquels je ne peux résister.. .
Demain matin, une passion commune, les voyages, nous fait décoller direction le Japon ! Ma Belle m’a offert mon rêve !
Un soir, elle est arrivée dans un magnifique kimono avec un plateau de mets japonais. J’étais aux anges ! Seulement je n’étais pas au bout de mes surprises… Elle m’a tendu un papier enroulé, je l’ai ouvert. Des idéogrammes japonais mais aucune idée de leur signification ? Mademoiselle prit un malin plaisir pour que je devine. Assise sur mes genoux, elle me soufflait : « presque », « là tu refroidis », j’en passe et des meilleurs. Au bout de cinq bonnes minutes sentant mon énervement, elle m’expliqua. Elle avait demandé nos prénoms assemblés avec les mots « bonheur » et « amour ». Tendrement je l’ai embrassé longuement, alors que des larmes perlaient aux coins de mes yeux. Avec sa douceur habituelle, ses doigts essuyaient mes larmes tout en ajoutant : « il manque encore quelque chose ! ». « Mon Amour, tu m’as déjà trop gâté. Je suis comblé ! qu’as-tu encore fait comme folie ? » ; « cherche bien ! » dit-elle avec un sourire coquin. Connaissant de mieux en mieux ma Sophie,  j’entrepris, délicatement, de la dévêtir. Le kimono glissa de ses épaules, en même temps apparut une enveloppe. « Prends la et ouvre ! » Là, le choc, deux billets d’avion direction Tokyo ! Je n’avais plus de mots… Si ma tête appuyée sur son cœur, « t’es folle ! Je t’aime ! merci mon Amour ».
Oui, je t’aime Sophie ! Nous partons passer les vacances de Toussaint en amoureux au Pays du Soleil Levant. Un cadeau de l’Amour !

Et face à face, on reste dans notre regard qui se vit et se suffit. Les yeux de Sophie prennent les miens, les serrent les embrassent, les câlinent, et mes yeux s'attendrissent, aiment, apprécient, se ferment et s'ouvrent. Non, ce n'est pas un mirage, Sophie est devant moi, de chair, bien vivante, elle me sourit si heureuse de m'avoir fait plaisir. Le pays de mon rêve me dit tellement depuis si longtemps, mais seul, jamais je ne m'étais décidé à y aller.
"Ma Sophie, mon aimée, tu es ma douceur féminine, ma plume tendre et délicate, et déjà je nous vois, ta tête nichée dans ma nuque, et nous deux dans le ciel, vers notre pays de nous deux qui transporte notre pays à nous intime et si beau. "
Et elle se niche tout de vrai, m'embrasse dans le cou, nous restons là, silencieux, bien en nous, emmenés si haut par un si bel élan vital. Et je souris, lui souris, elle me prend les deux mains, les mène vers sa taille, je l'aime tant de tant, mon amour de ma vie, et remercie la vie d'enfin me le sourire, mon bout de vie douloureux. Je l'aime, je l'aime infiniment, et je suis si heureux.
********
Un nouveau chapitre à cette histoire d'amour, que j'aime, toujours en co-écriture avec la merveilleuse Annick. Elle dompte les mots de l'Amour, les apprivoise. Sa générosité est grande ! Je t'admire ma chère Annick !

A bientôt... Je vous embrasse mes Amis ! Mes amitiés et mes pensées les plus sincères à ce cher Patriarch ! Régalez-vous sur son blog surtou animalier, De l'aurore au crépuscule !

"SOPHIE, CADEAU DE LA VIE"... 21

Sept heures, ma Belle se lève, dépose un baiser sur mon front. Je souris. Vêtue d’une nuisette en satin beige, mes yeux la suivent jusqu’à la porte. Ma tête se repose sur l’oreiller où je m’enfouie avec le parfum de mon Amour. J’entends en même temps que l’eau de sa douche, sa voix chantante. Quel réveil ! Sophie revient à la chambre, prendre ses vêtements. Mademoiselle ne peut s’empêcher de me taquiner en se promenant toute nue. J’aime, elle aime ce jeu de coquineries. Elle est belle ! « trop belle pour moi ! » me dis-je souvent. Elle repart s’habiller à la salle de bains. J’essaye de l’attraper, elle m’évite de justesse. Je râle ! elle rit ! Comme cette complicité rend si heureux !
Au bout de vingt minutes au moins, elle réapparaît, superbe, un chemisier d’un bleu léger, une jupe fleurie, des petits talons. « Hors de question que t’ailles bosser comme ça ! » lui dis-je jalousement. « Mon petit cœur serait-il jaloux ? Tu devrais pas, c’est surtout pour toi que je m’habille ainsi. », me répond-t-elle tout en s’approchant du lit. Elle s’assoit, me prend dans ses bras, me serre fort. Gros bêta, va ! ». Elle laisse glisser ses doigts sur mes lèvres, puis m’embrasse tel un papillon. Je ne résiste pas à sa tendresse… Je lui rends son baiser plus langoureusement. Nos baisers, des sucreries dont nous ne lassons pas… Sophie me rallonge. Dur ! de la voir partir. « Je t’aime Sophie ! belle journée ! tu m’appelles ? »
« Bien sûr ! je t’aime mon bel homme ! ». La porte se ferme, mes yeux aussi.
Martine, mon infirmière va arriver. Mon réel est si beau !
Sa main dans mon cou...*
Et je me laisse flotter un temps, un coup de sonnette, et l'infirmière arrive. Elle est tendre et délicate avec moi, me respecte immensément et j'apprécie très fort. C'est si douloureux de dépendre de quelqu'un pour quelques soins personnels. Alors elle parle beaucoup, de tout de rien, de ses enfants, de sa famille, ses ados lui donnent du fil à retordre, une séparation toute neuve du week-end pour sa fille, a causé bien des soucis in home. C'est douloureux une vie de famille dans son partage, dans son sens, dans son amour. Et puis on rit aussi, du poisson qui a brûlé dans le four hier, tant d'attention de partout dans une famille. Et d'un sourire si gentil, elle me dit qu'elle a croisé ma Sophie, qui lui a demandé de me bichonner. On fait silence. Et déjà, elle repart pour d'autres patients qui l'attendent, chaque matin.
Et je reste... Seul... Avec ce tant d'amour en moi. Tout est plus facile quand on partage la vie, son bout de vie. Et comme un trou un peu noir me retombe dessus... Et pourquoi Sophie m'aime, pourquoi moi ? Je file à mes courriers, je file me tricoter mon vivre en l'attendant, car il me faut rester moi aussi. On ne sait jamais quand un amour commence comment il s'avance, il me faut rester Être..... Mais déjà je me ris, je retrouve ma pêche, ma Sophie est si près de moi, que tout ce qu'elle me donne, tout ce que je lui apporte sont des immenses biens, des trésors humains que la vie nous confie. Et déjà je remercie ma vie de m'apporter cette rencontre qui vit son jour, chaque jour...
*********
Aujourd'hui, un petit changement, Annick a écrit en second ! et quelle merveille !

Les mots me manquent pour vous remercier de vos commentaires si touchants, très ému... Vous me réchauffez le coeur et j'en ai grand besoin. Mes "vacances" sont silencieuses, difficiles. Beaucoup de questions... 10 ans d'accumulations, alors mon coeur est plein. Je vais m'employer à me "nettoyer", me purifier. Le chemin sera long, sinueux. Les seules notes que vous lirez, seront, "Sophie, cadeau de la vie" avec ma douce Annick.
Je vous glisse un article, photo avec Jacques, un ami blessé du rugby, et Bernard Goutta, Roland Le Morvan, des hommes au grand coeur. Le plus important est de commander ce coffret pour la Fondation-Ferrasse à la cave Dom Brial des vignerons de Baixas. Merci à vous !
Article du journal "L'indépendant" du 23/07.

*Cette magniffique photo est d'une photographe pour qui j'ai une grande admiration, Eric MARRIAN ! son site ICI , j'adore ! Allez le voir vite !!

A plus,
Je vous embrasse fort ! mille mercis pour votre soutien !

"SOPHIE, CADEAU DE LA VIE"... 20

On se laisse tendrement envahir dans le ciel de nous, nous laissant porter et emporter par les vagues de nos âmes qui se rejoignent encore au plus près, au plus merveilleux point de rencontre d'un homme et d'une femme.
"Viens, mon amour, viens, plus près encore, tu m'as manqué, mais je savais que je te retrouverai, pour notre rencontre encore et encore. Je t'aime !" Et déjà si ses mots mentaient, sa douceur, sa tendresse, ses caresses me montrent qu'elle m'aime de vrai. Je suis sur un radeau, un bel bois qui navigue doucement le fil de son eau. Je l'entoure, l'embrasse, délicates ses formes me font aimer la vie, "je t'aime ma Sophie". Et apaisés heureux, on savoure encore tout autant le silence, la paix, notre amour grand.
Je m'inquiète de savoir si elle a du travail, et elle me dit que non, elle a préparé tous ses cours en salle des profs, pour se garder son temps pour moi. Je la regarde, ébloui, je ne mérite pas tant, si tant d'égard, de temps, d'attention, et déjà je la serre, et on opte pour une ballade en amoureux le long de la mer, les pieds dans l'eau. Vite, on se prépare, on se fait un break froid qu'on emporte dans un sac.
Et déjà la mer nous accueille, elle choisit, délicate un petit ponton de bois fort beau, et mes roues de mes pieds longent cette eau précieuse, elle s'arrête, goûte son orteil, le met sur ma jambe qui frissonne, puis elle trempe sa main, et prend la mienne, j'aime ses partages, ses envies d'échanger le meilleur qu'elle reçoit. Je lui donne mon coeur, je lui cède un oeil mouillé, je suis émerveillé encore encore.
Et puis on trouve un petit lieu, un peu plus retiré, elle s'assoit sur une souche d'arbre, pour se mettre à ma hauteur, et yeux dans les yeux, notre petit sac s'ouvre avec des forts bonnes choses toutes simples, car tout a ce parfum du délice d'être heureux, de partager vraiment dans le fin fond des yeux, de caresser son âme, de la tendre et jolie, on se laisse reposer, là, longtemps, et puis le soleil commence à vouloir se coucher... Nos pensées vaporeuses s'apprécient et se donnent à la saveur du temps qui est le don du ciel. On souffle doucement, on remercie la vie de nous offrir autant.

Je savoure la fraîcheur de cette soirée, de cette eau, de ma Sophie. Elle est MA VIE ! Dans le silence des vagues, nos bouches salées s'unissent... Sa bouche soyeuse, ses lèvres taquines... Le soleil a trop chauffé mon corps, alors ma Douce trempe ses mains dans l'eau et les pose sur ma nuque, mes épaules. Recommence pour ma tête, mes jambes. Délicate, attentionnée, que serais-je sans elle ? Sophie a totalement transformé ma vie. J'étais presque devenu un vieux loup solitaire. Je plaisante bien sur ! Son arrivée plus qu'inattendue remplie mes jours, mes nuits de multitudes de petits bonheurs. Plus que jamais, nous profitons de l'instant présent. Nous nous accomplissons. Rien n'entrave notre Amour ! Pourtant... Si elle savait les barrières qu'elle a bousculé ! Si vous imaginiez une minute les difficultés rencontrées dans ma vie. Je suis battu contre tous ces préjugés ou ces manques de connaissances du handicap. Aujourd'hui, grâce à Sophie, à son Amour, je me sens encore plus fort !
Main dans la main, coeurs serrés, nous nous aimons devant ce spectacle, cadeau de mère nature...
*****
Partition jouée à deux plumes, les sonates d'Annick (en haut) accompagnées de ma simple voix ! D'ailleurs goûtez aux proses d'Annick sur son émouvant LEJUSTESIMPLEVIVRE !
Michèle, ne t'inquiète de rien, tu n'as rien rater d'important ! Bisous mon Ange-Gardien !
Pardon pour mon retard sur vos blogs !!! Mon Amie Brigetoun, ne te laisse pas impressionner, remets nous les commentaires ! Mille mercis !

MES AMIS, UNE EXCELLENTE SEMAINE DE TOUT COEUR !

"SOPHIE, CADEAU DE LA VIE"... 19

Et comme mon douloureux monologue me glisse une petite larme de paille, déjà se faufile le doigt délicat de ma Sophie qui s'écoule doucement, et ma larme se fait sienne..
" comment on peut se manquer, puisqu'on s'est tant trouvés ?!.. " et déjà, elle se glisse sous le duvet bien chaud et ma larme est fort loin, je me blottis contre elle, si près, si bon, si tendrement que déjà, et encore, notre lit un beau champ de blé si mûr doré croquant le bonheur, et je me surprends dans ses bras à être moi plus fort encore.
Nos respirations se cherchent, s'écoutent, si attentives et puis tendrement marchent leurs bouts de bottines en valsant l'air du temps en le sentant si bon, et je souffle ma Sophie, je l'essouffle, la découvre... Et puis, tous deux, ivres de nous, et apaisés tellement, nous glissons sous la plume, sous la plume du vent mais avant des étoiles de nos yeux déposés versent en face à face notre amour si immense.
Le réveil sonne le rythme du jour, on pense déjà sauter hors du lit, mais animé avant, il nous laisse encore un bon quart d'heure pour nous, rien que pour nous aimer avant de la vivre notre journée en séparés...
On savoure notre petit déjeuner tranquillement, et puis elle s'en va, après de longs baisers, rejoindre les élèves sur les bancs du lycée.
Je reste là, un bon moment, me frottant les yeux, tout bascule encore, tellement de plein, voilà du vide, mais mon vide est si plein, si plein de ses yeux qui me regardent, si plein de son amour pour moi, que déjà, je m'envole sur mes quatre roues qui me font rire, je ris comme un petit fou, tout est tellement léger, ma journée sera calme et tellement dynamique, et notre soirée sera pour nous, après ses cours à préparer...
" Mon Olivier " me dis-je..." la vie te donne tellement" ...
Ma journée sera t'elle une traversée du désert ???

Au bout d'un quart d'heure devant mon ordinateur, son image trouble ma vision. D'un coup, le blues monte, me saisit... Elle me manque. Terrible ce sentiment de solitude qui me traverse. Pourtant ma Sophie sera là ce soir. Notre fusion est si profonde qu'une journée sans mon Amour va être une dure épreuve...
Heureusement, internet, ce fameux monde virtuel va m'aider. Je retrouve avec plaisir mes amis de blog dont certains s'inquiétaient de mon absence. Tous voulaient savoir, où étais-tu ?
- "Ah ! mes Amis ! je suis au Paradis depuis mon voyage en Grèce Avec Michèle et Pierre. J'ai rencontré l'Amour avec un grand A. Plutôt avec un beau S comme Sophie ! Elle est unique ! Je ne puis vous expliquer ce que nous vivons... Mes mots seraient dérisoires... Juste, le bonheur !"
Ma journée, que je craignais tant, est passée à la vitesse du son. Et encore, je ne parle pas du téléphone qui sonnait sans arrêt. Il est 18 H, ma Déesse va rentrer, j'ai rien préparé, pas grave... Je quitte mes Amis qui me harcèlent de questions, mais je les adore !
J'entends son pas, je sens son parfum, mon visage s'irradie d'Amour... Elle pousse la porte, laisse tomber son cartable, se jette dans mes bras ! "tu m'as manqué" se murmure d'une seule voix. Ses lèvres se font miennes. Le désir l'emporte...
Pour le repas,  et nos journées, nous aviserons plus tard....
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Ma douce Annick, quelle joie de croiser nos écritures ! Tu as tous les mots de l'Amour ! Merci pour tous ces cadeaux !
Je dédie ce chapitre de "Sophie" à mes talentueuses écrivaines, poétesses, Amies, Mumu comme Olga présentes mais discrètes, Marie aux mots si profonds, Brigetoun aux textes raffinés, Michèle mon Ange si précieuse, Tanette aux photos magiques, Zébu mon inconnue aux citations, Pam aux doigts de fée, Mme de Keravel son humour, Neyde aux vers chauds brésiliens, à Ckck ses adorables mots, Magali avec mon admiration, et toutes qui passaient, MERCI ! Laissez une trace, c'est un vrai plaisir !
Messieurs, demain viendra votre tour !!!

"SOPHIE, CADEAU DE LA VIE"... 18

Et on pédale à toute vitesse, le temps est encore menaçant, mais notre coeur soleil se rit des gouttes de pluies. Les papillons poussent nos vélos, et les oiseaux les font danser. Et déjà, le hall qui nous accueille goutte à nos vêtements tous mouillés, et déjà elle me déshabille, tandis que je l'imite, et que son corps je le serre, serre si fort pour le réchauffer de la pluie. La douche nous chauffe ou on la brûle, notre chez nous nous fait du bien, on rit encore de nos bêtises dessous la pluie mine de rien, et sous la paume de la douche, Sophie me murmure l'oreille qui est le coquillage de sa mer, et ses mots vibrent délicieux. Mon coeur est à toi et rien qu'à toi, mon corps est pour toi juste pour toi. Je la regarde si troublé, j'ai tant pensé lui dire cela...
Et voilà que c'est elle, ma Sophie qui le dit, et je la vis si fort, regarde Sophie, je suis pour toi, et déjà nos lèvres s'approchent du même élan, et délicieusement le bord de notre lit nous cueille pour nous plonger tous nus dedans, dans le coeur de notre bulle qui splitche des doux frémissements...
Encore une fois, mes jambes me lâchent mais si délicieusement, je suis apesanteur, au plus près, et notre si tendre rapprochement m'émeut, me rend si tendre. Ma Sophie est là dans mes bras, et je la serre et la réchauffe, et je l'aime, ah oui, je l'aime, de tout mon coeur de tout mon corps de toute mon âme c'est tellement fort..... Qu'une larme de joie si intense glisse mon oeil et la surprend, et sa petite larme je la goutte son suc de sel mon sel de vie... Nos larmes de joie nous emportent si haut encore que notre ciel vit, notre chambre un paradis, notre île si belle.... Et d'un même cri, on se lâche : Merci la vie !
Hum... Ne t'arrête pas !!!

Comment puis-je résister à tant de tendresse ? Elle est si douce, si belle... Les qualicatifs me manquent... Sophie me donne un ciel d'amour où brillent en permanence mes yeux, nos yeux. Ses mains de la soie comme sa peau. Son regard, un diamant si pur. Son coeur, un océan d'Amour ! Je m'imprègne chaque seconde de ses mots, de son corps, de son parfum, de son sourire. Son corps aux formes parfaites où j'aime me perdre en langoureux baisers, en caresses effleurées. Sophie frissonne, s'abandonne. J'aime l'aimer...
Elle aussi me découvre. Avec patience, douceur, et écoute, elle sait presque tout de ma sensibilité, mes points faibles. Le bonheur de cette complicité physique est cet échange permanent de petites phrases, de simples mouvements de tête, et de larges sourires.
Il n'est guère aisé de comprendre les subtilités de l'handicap. Mais l'Amour et la confiance sont nos moteurs. Sophie a eu une facilité d'adaptation impensable à mes yeux. Au delà de sa beauté, sa joie de vivre, son amour, j'en oublie... Elle a su écouter, entendre, surtout prévenir, sentir mes réactions, mes sensations. Simple explication à notre osmose : l'Amour encore et toujours !
Demain, elle reprend les cours, moi mon quotidien, elle va me manquer....
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Tendres baisers à mon indispensable Annick, je t'adore ! Sans qui "Sophie, cadeau du ciel" aurait été juste une brève romance.

Merci à vous toutes et tous d'être passés poser quelques mots. Belle semaine ! Je vous embrasse fort !!!

"SOPHIE, CADEAU DE LA VIE"... 17

Et comme un petit galet savoureux qui se plonge dans une eau bleue, notre je t'aime décrit des coeurs dans l'air, et nos corps se laissent aller à s'étendre, notre je t'aime se silence...
Côte à côté, nos deux mains dans une seule, chacun aime son autre, au plus profond de son être, les yeux se sont fermés, les paupières si bleues, même les oiseaux se taisent, l'instant est solennel.Nos yeux fermés se sauvent par le doux store et se rejoignent en ciel pour se regarder fort.
Ce temps dure, sans mesure du temps, il est à nous, on a capturé sa saveur, et l'odeur du chemin nous rayonne tellement, que nos fatigues s'éloignent, que la première, elle se redresse, je sens et je ressens qu'elle me regarde, je joue le jeu des yeux fermés, et mon visage déjà perçoit le sien qui s'approche, et un doux long baiser me bascule hors temps encore, juste dans notre bulle.
Et je l'attire vers moi, sur moi, et je l'enlace si fort, et déjà ses pulsations s'arrêtent, ma Sophie stoppe son présent, le fait sien, le fait nous, et je me sens si bien, de la savoir si près, si chaud, si bon.  Et puis, elle s'assoit, me glisse un brin d'herbe dans la bouche, et délicieusement entame sa gourmandise par l'autre bout. Ma Sophie croque la vie, et par elle je m'enivre du doux parfum d'aimer à me sentir si bien grisé, qu'encore une fois ce petit brin d'herbe éclaté en son centre par un rapprochement si bon.....
Ce petit brin d'herbe est le reflet de notre amour à l'état naturel, pur, si beau.... et déjà elle me dit que le musée est encore loin, et que ce chemin est tellement ravissant... que si nos heures s'écoulaient ci.... qu'en penses-tu mon chéri ?
Cachés dans les blés du Pré interdit, photo (de son pré interdit) de ma talentueuse Amie et sculptrice Les sculptures de PAM ! un blog aux mille splendeurs !

Je pense mon Amour que... Je n'ai pas le temps de finir ma phrase que Sophie me pousse au milieu des blés et hautes herbes tout en m'embrassant délicieusement. Un coup de folie, un coup d'Amour ! Je me laisse déshabiller, caresser, envoûter. Son tee-shirt enlevé, son soutien-gorge disparu... Nos corps se fondent en amour fou. Nous sommes partis dans notre ciel. Nos souffles courts... Plus rien n'existe autour ! Ma tête enfouie entre ses seins si doux, sa tête cachée dans mon cou, nous goûtons chaque seconde de notre bonheur.
Une goutte de pluie nous ramène précipitamment sur terre. Comme deux gosses qui auraient commis une bêtise, nous rions aux éclats ! Aucun de nous bouge malgré la pluie drue. Je vis, nous vivons un bonheur sans commune mesure. J'étreins ma Sophie assise sur moi, elle me serre encore plus fort.
Je ne sais pas si la force de notre Amour l'a provoqué, mais un rayon de soleil s'invite entre les nuages. Trempés jusqu'aux os, nous nous décidons de regagner la maison. Qui ne dit pas qu'une fois arrivés à la maison en nous changeant, nos sens se perdent à nouveau ? J'avoue ! j'en meurs d'envie... Sophie, tu me donnes des ailes ! tu me montres que je suis un Homme comme les autres. Sache que mon coeur est à toi, rien qu'à toi !...
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Ma fabuleuse collaboratrice, Annick, m'offre un tel texte que ma plume s'émeut d'écrire à sa suite. Tendrement Merci !
A mon Ange Michèle, tes mots sont des trésors comme toi que j'aime profondèment !

Serez-vous capables ou plutôt assez imaginatifs pour détecter Deux scènes cinématographies, une par texte ? Bonne chance !

Belle semaine mes Amis ! Pleins de bisous !

"SOPHIE, CADEAU DE LA VIE"... 16

Et déjà le balai se joue avec la poussière qui danse entre mes deux roues, et j'oublie mes jambes inertes, mon âme est si légère, heureuse, mon ciel est merveilleux, tout me semble facile à ses côtés de ma Sophie. J'ai un brusque moment de vertige quand je me baisse pour la ramasser cette magnifique cendre de notre petite vie, qu'on brûle chaque jour avec autant d'amour partagé. Et un petit nuage me glisse:
" Et qu'est ce qu'elle te trouve, ta Sophie, qu'est ce que tu peux lui offrir, une vie à roulettes ?! "...
Et je vitesse jusque l"écran pour oublier ce mauvais sentiment, et j'ai à peine ouvert l'écran que deux mains se glissent dans mon cou, qu'un baiser doux s'insinue sur ma nuque, que déjà mon bleu est tellement bleu...
" Dis, ma Sophie, qu'est ce tu me trouves ?! "
Et ses petits rieurs se posent devant moi pour moi et se silencent et se rient, et enfin se jettent dans mes bras pour me dire:
" Mais justement je ne te trouve pas, chaque jour tu m'émerveilles plus et plus, je t'admire, et puis on a tant de passions communes et aussi des différentes, et j'aime tes amis, et j'aime ton lieu, car je t'aime tout simplement, et déjà mon fauteuil se motorise par ses bras déchaînés et à la fois si paisibles.
" Si tu en as envie, si ton courrier peut attendre, j'ai déniché un petit musée dans lequel j'aimerais me serrer contre toi pour savourer plus encore, mais cela peut attendre."
Mais c'est le courrier qui attendra, je suis amoureux fou transporté, et déjà je savoure notre ballade sur le joli fil de nous.
Tendresse, complicité... (photo APF)

Quel bonheur ! et quel trouble ! Sophie me comble de mots d'amour dont j'avais oublié la saveur. Ma question était légitime. Tant d'années où j'étais plongé dans un vide affectif... Là, la vie me tend ses bras. Mieux encore, l'Amour triomphe. Grâce à une sublimissime femme, Ma Sophie ! Elle se moque des préjugés, des mauvaises langues. Nous étions deux âmes perdues, le destin nous a assemblés. J'ai tant prié pour aimer, et encore aimer, pour donner mon coeur. Ce jour est né, un matin, en Grèce ! est-ce un hasard dans ce pays des dieux et déesses ?
Après ce fol après-midi où nos sens se sont transportés dans une autre dimension. Sophie me déroute chaque jour, moi je laisse emporter dans des vagues de pure jouissance... Une fois, reposés, douchés, nous enfourchons, elle son vélo, moi mon handi-bike. Direction la pinède où deux routes sont peu fréquentées. Au début, je suis lâché par Ma Belle, je suis un peu rouillé. Au bout de deux kilomètres, j'arrive à sa hauteur, exténué. Voyant mon essoufflement, elle tourne vers un chemin de terre. Ouf ! Je suis fatigué, aucune importance ! Elle descend du vélo, s'assoit à mes côtés, et prend ma main. Le lieu vert se prête à notre bonheur ! Le silence de la nature sied à nos regards, nos sourires, nos baisers. Nous brisons ce silence d'une seule voix : "Je t'aime !"....
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Je ne sais vous, mais le texte d'Annick m'a totalement enchanté, charmé ! Merci Merveilleuse Collaboratrice !
Je vous souhaite à toutes et à tous une excellente semaine !

Message personnel : Neyde as-tu reçu mon mail avec les photos ?

"SOPHIE, CADEAU DE LA VIE"... 14

Et voilà que très vite mon anglais m'émerveille, le lit en son langage ne connaît pas de frontières en l'éveil des doux sens et déjà on se laisse aller à nous deux vers nous deux en bénissant cette rencontre. Puis tendrement, je la prends dans mes bras où elle se niche si doucement, et je la laisse aller à d'autres confidences.
" Mon Olivier, je suis bien, mais plus encore de te voir aussi bien, surtout dis moi toujours quand tu es bien ou pas. Je ne suis pas un miracle mon doux Olivier, je t'aime tout simplement! ". Et déjà je la fais rouler dans notre lit à vagues, et mon doux coquillage lui murmure à l'oreille: " Tu m'aimes tout simplement, mais comme c'est bon, car tu m'aimes si fooooort ". Je ne saurai jamais si elle a tout entendu, car la fin de la phrase de vrai vécu encore, car c'est le don vivant qui signe le bel amour et le laisse courir dans ses jolis parterres de douces offrandes. Sophie passionnée par son travail, a ce don chouette d'être disponible de me donner le beau temps que j'attends, comme ses élèves chéris. Et comme elle se rhabille, mon visage radieux la déguste au plus près de ses gestes si élégants. D'un coup m'arrive une douche si délicieuse, " Je suis comblée, Ma sophie, ma Douce, viens ! ". Et mes lèvres s'avancent pour l'aimer encore et l'encourager pour ses cours. Une pirouette comme elle se lève, un clin d'oeil, un retour encore vers moi qu'elle souhaite chérir, et puis la porte se ferme, je reste seul, si plein de bonheurs......et déjà mon fauteuil vole, pirouette, brasse une douche, et je fonce vers la vaisselle qui vole ses éclats frais. " Ahhhhhh, ma Sophie à moi ! ".
Complicité d'AMOUR !!!!
Les freins mis, je plonge mes mains dans l'évier, où la mousse déborde ! Je nettoie avec application nos assiettes, couverts, et verres, les rince, puis les dépose sur le côté. Lorsque, maudites contractures, un verre m'échappe... Un grand bruit ! Sophie surgit, pendant que moi je ris aux éclats ! "Pas d'affolement mon Coeur ! ce n'est qu'un verre ! rassure toi, il risque d'y en avoir d'autres...". Apparemment Sophie ne rit pas. En fait elle a eu peur pour moi. "Viens me faire un bisou, my beautiful Love. Je suis toujours là et pour longtemps !". Enfin ses yeux s'illuminent, et ses lèvres d'amour se posent, tel un papillon, sur les miennes. "Stop ! Ma Sophie, sinon je ne vais plus me contrôler ! file ! va bosser !". Malgré ms mots, elle m'embrasse langoureusement dans le cou et s'échappe vite. "T'es contente, j'ai des frissons partout !". "Oui, mon Homme" me répond t'elle dans un petit gloussement.
"Rien ne sert de courir, il faut partir à point. Tu verras ce soir, ma vengeance sera terrible.". Et Mademoiselle en écho : "Hum... Vivement ce soir !".
Toujours le dernier mot ! Franchement je suis plus que comblé par tant d'amour, de complicité, de tendresse. "Si tu t'arrêtes de planer un peu, non ?" me suggère une voix venue d'ailleurs.
Je roule jusqu'à la salle de bains chercher le balai. Après direction clavier, j'ai du courrier en retard !
Devinez à cause de qui ? ...
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De tendres remerciements à ma collaboratrice de talent, Annick !
Des pensées, des mercis à vous mes Amis, pour vos mots ! Vous savez à quel point vous êtes précieux pour moi !
 

"SOPHIE, CADEAU DE LA VIE"... 13

" Notre étreinte dure encore car une telle fusion ne peut être oubliée. Et je sais que jamais jamais je ne pourrais t'oublier mon Olivier unique."
Et me parlant ses doux mots à l'oreille, Sophie caresse ma nuque, et emmène mon visage dans le creux de ses mains. Et délicieusement, elle prend mes mains et les enroule autour de sa taille et déjà mes mains se balladent dans notre amoureux voyage que je découvre chaque jour.
Elle me dit que Mathilde et Laurent sont conquis. Et comme cela lui ressemble elle éteint la lumière, glisse le fauteuil jusque sous la douche qu'il est bon de prendre ensemble, pourse laisser rouler des perles de senteurs, mouiller nos cheveux, nous sourire sous les gouttes, ce moment est un délice qu'on en oublie le temps... Et puis, naturellement elle m'aide dans mes gestes quotidiens qui en fauteuil demandent un peu plus de temps.
Elle est là, je sais tant qu'elle est là, mais elle me laisse aussi me débrouiller, elle a compris que je ne souhaite pas être dépendant d'elle. Je l'aime juste dans le plaisir d'aimer sans aucun intérêt, aucune dépendance obligée, et déjà, je l'attire sur notre lit et l'enveloppe sous notre couette à nous dans le regard de nous.
Au travail, ma Belle !
Les vacances se terminent... Fini de se prélasser au soleil, des balades sur la plages, des soirées entre amis... Ma Sophie se prépare à la rentrée scolaire. Oui, ma "pretty"* professeur d'anglais a pris du retard ! Alors Mademoiselle étale ses feuilles, livres, etc, s'installe confortablement sur le lit avec son ordinateur. Elle bougonne car je mets la musique, puis quand je lui demande quoi cuisiner pour midi. Bon d'accord, je suis un peu fautif mais jusqu'à présent elle ne s'en plaignait pas. Enfin vers treize heure, elle se décide à me rejoindre, sauf que je n'ai pu que couper quatre tomates... Au moment où elle va pour râler encore, on sonne à la porte. Elle va ouvrir, et un coursier lui donne un grand plateau de sushis. Elle éclate de rire tout en se tournant vers moi. Bien sur le jeune homme ne comprend rien.
- "Mon Amour, tu penses à tout !"
- "hé ! oui ! mon Coeur. Tu étais tellement plongée dans tes cours, alors j'ai pris les devants."
Ces succulents sushis avalés, suivis d'un bon café, Sophie se lève et se dirige vers la chambre. "T'oublie rien Lady ?". Elle se retourne, attrape les poignées du fauteuil, et je me retrouve, en deux temps, quatre mouvements,  dans le lit. Je crois que ma Douce veut m'apprendre de tendres mots d'anglais... Hum... You are an incredible woman ! I love you...**
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*Jolie
**"tu es une incroyable femme! je t'aime..."

Annick, tes mots sont des sucres d'orge ! à déguster lentement ! Merci !
Je dédie ce châpitre à Cathy, ma prof d'anglais que j'aime tant !
 

"SOPHIE, CADEAU DE LA VIE"... 12

Elle s'assoit, et ensemble nous prenons notre petit déjeuner. Je la regarde apprécier. Chacun de ses gestes est envolé et me ravit, et son croissant connait le grand bonheur de dorloter son petit palais. Elle se coupe des petits morceaux, et savoure. Ses larmes ont séché et ses yeux pétillent à nouveau, on parle, on rit, et puis très vite, elle me dit qu'elle me réserve une délicieuse surprise, dans trente minutes, un être cher pour elle sonnera à notre porte. Je suis encore une fois surpris de son initiative, lui demande si je dois la laisser seule, en toute discrétion, et elle s'éclate de rires.
" Mais, mon chéri, c'est avec toi que je partage ma vie, et mes êtres chers ! "
Je suis déjà prêt et je la vois filer sous sa douche, l'imagine fermant les yeux, s'offrant le si bon gel que j'ai déposé dans la douche pour elle. Et moi aussi je ferme mes yeux. Mon bonheur est éclatant, je suis heureux. Et déjà, je la vois revenir cheveux mouillés dans une tenue simple et fort délicate qui lui va si bien. Je ne retiens pas mon baiser qui déjà se précipite avec la vitesse de mes roulettes. Notre bonheur est bon, et on le saisit.
" Olivier, c'est ma soeur, Mathilde, j'ai souhaité l'inviter pour qu'elle nous apprécie chez Nous de Nous en Nous, je n'ai pas envie de glisser des mots sur nous, ils seraient bien trop pauvres et pas assez justes. Je préfère qu'elle nous voit. " J'aime un Homme fort de fort, je suis heureuse, je t'aime mon Olivier et cet homme c'est toi, juste parce que c'est toi, toi vraiment Toi, tu es si doux, tu es mon autre !"
"Main dans la main, coeur contre coeur"

La sonnette retentit. Sophie s'empresse d'ouvrir, Mathilde et son mari Laurent sur le pas de la porte. Ils sont venus sans les enfants, ils les ont confiés à une amie. Ils pénètrent, ils sont surpris du décor et Mathilde m'aperçoit. "Olivier ! j'en étais sûre !" avec un petit sourire en coin. Elle s'avance, m'embrasse et me présente Laurent. "Tu vois, Chéri, voilà le jeune homme dont je t'ai parlé à mon retour de Grèce."
- "Enchanté Laurent, mais qu'as tu raconté sur moi ?". Au sourire de Laurent, je n'ose imaginer. Sophie intervient en questionnant sa soeur : "comment t'as devinée ? chaque fois, tu lis dans mes pensées, je ne peux jamais te surprendre !"
- "C'est l'avantage d'être ta grande soeur ! te connaître mieux que personne ! Ne râle pas !" Et elles rient aux éclats. Puis s'éclipsent vers la cuisine, elles ont des tonnes de choses à se dire. J'en profite pour discuter avec Laurent, le mettre un peu à l'aise, il semble un peu perdu. Il me découvre véritablement ainsi que mon univers décoré de mes passions. Enfin nos Dames nous rejoignent au bout d'un bon quart d'heure, amusées comme des petites filles.
La soirée s'achève vers minuit dans une belle complicité ! Une fois partis, je prends ma Douce sur mes genoux en lui disant "elle est pas belle la vie ?". Notre étreinte dure encore....
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Mon Annick, ta collaboration est un bonheur ! Merci !!

Mes Amis, j'espère que votre week-end dédié aux Mamans a été bon et que votre semaine sera resplendissante !!!

"SOPHIE, CADEAU DE LA VIE"... 11

Je t'aime ma Sophie.
Je t'aime mon Olivier à moi, mon tendre Amour, mon superbe amour de vie car tu es vrai, car tu es un Amour d'homme, car tu es si rare, et je ne t'avais pas trouvé avant, tu es celui, tu es mon autre, tu es pour moi, tu es en moi, mon Olivier.
Et déjà, elle me serre ma main, je perçois le battement de son coeur en posant un doigt sur son poignet délicat. Ses yeux se vivent, elle m'étincelle de vie, on parle, on silence, on se prépare un plat, et puis je me dis que c'est sans importance, je lui fais confiance, elle appellera sa soeur quand elle pensera juste de le faire. Elle me rassure tant, me dit que mon handicap, elle l'oublie, ne le voit pas, et je la crois, elle ne me juge pas, elle est si belle pour moi. Pour la première fois de ma vie, les jours se succèdent et passent trop vite, bien que, la nuit venant, nos coeurs tendres apprécient tant encore, ils se rapprochent plus encore dans la beauté de l'amour qui se donne de plein. Chaque nuit, une merveille une perle s'ajoute à ma pêche divine en eaux pures si cristallines d'azur. Nos corps se trouvent sans se chercher, tout est si naturel, notre vie est si belle. C'est si bon de s'aimer, de s'enlacer serrés, d'être attentifs à l'autre, de lui donner le meilleur de soi, de le surprendre, le découvrir jour après jour sur le fil de notre Amour.
Un poème pour toi Mon Amour !

Pendant que tu sommeilles ce matin, j'ai l'envie irrésistible de coucher sur du papier des mots venus
du fond de mon âme. Pour te crier mon bonheur qui se conjugue à deux maintenant.

A MA BELLE,

Sophie, un ange, un cadeau du ciel,
Tu m'offres ta tendresse,
Es-tu un rêve ? non ! ma Déesse,
L'Amour sans compter, notre Essentiel,
De caresses en baisers,
Ma main dans ta main affectueusement serrés,
Vie si désirée, aujourd'hui mon coeur est comblé.

Sophie arrive, me prend dans ses bras, dépose un baiser dans le cou. Elle voit que son petit déjeuner l'attend. Le café, le jus de fruit, un croissant sur un plateau entourés de pétales de roses et mon mot en rond tenu par un ruban, elle se précipite. Enveloppée son peignoir blanc, son sourire grandit plus elle lit... Une larme perle au coin de son oeil...  "Ne pleure pas mon Amour !". Je m'approche, elle s'enfouit dans le creux de mon cou.  Ma main passe délicatement sur sa joue humide. Elle se redresse, nos bouches s'aimantent pour danser le plus voluptueux des ballets.
N'existe t'il pas plus grand bonheur que l'Amour ? Je ne crois pas....
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Annick, Olga, Michèle, Bouldegom, Marie, Brigitte, Zébu, vous êtes de Vraies Amours ! Un Merci est dérisoire tant je suis ému par vos mots. Je ne vais pas vous dire que je vais mieux, je vous mentirai.
Mais grâce à vous, et en particulier à "ma Sophie virtuelle", j'arrive à m'évader de mon quotidien.Il va s'en dire que j'ai pour m'accompagner dans cette écriture la merveilleuse Annick, sans qui "notre histoire" n'aurait pas une si belle saveur.
Alors Mesdemoiselles, Mesdames, je vous embrasse de tout mon coeur !!

"SOPHIE, CADEAU DE LA VIE"... 10

Un coup de sonnette, et déjà elle se précipite sans oublier de m'embrasser en quittant mes genoux. Sophie revient les bras chargés de fleurs, qui lui vont si bien, et mes amis m'embrassent, je suis aux anges... penser la partager, échanger avec ceux que j'aime. Déjà, elle a trouvé un vase, et puis, les fleurs, ses mains lui ont donné son charme, je suis étourdi, c'est tellement, et...
Notre petit repas raffiné, préparé dans un bain d'amour, se laisse manger tout tranquillement sous la flamme sans cesse renouvelée, car souvent, Sophie attendrie me regarde... Et son oeil m'enveloppe de bien être que j'aime tant lui donner... La seconde s'éternise, son oeil capte le mien, nos amis se sentent bien, ils sont si heureux pour moi, pour nous.
Et puis, il est tard, et le 'petit nous' se vide des amis, et déjà, nous laisse à 'Nous', tant attendu encore, pour le plaisir de nous rien qu'à nous, dans ce bonheur qui chaque jour grandit par la force de l'amour qui donne la vie... Tellement.
Et encore et encore, elle me regarde, m'attendrit, s'assoit devant moi, pour un dernier silence à nous deux... Et elle m'emmène nous emmener...
Chaleureuse soirée sur "notre" patio"...
Notre nuit fut envoûtante de plus en plus magique. Nos mots, nos tendresses se symbiosent. Je découvre, peu à peu, ma Sophie. Je découvre une femme douce comme la soie, et fragile comme du cristal. Je découvre à travers ses confidences, qu'une soirée entre amis comme hier, lui était pratiquement inconnue. Je découvre son passé. Elle avait peu d'amis, sa seule véritable confidente sa soeur Mathilde.
D'ailleurs depuis notre retour de Grèce, Sophie ne l'avait même pas appelé. Je lui suggérais d'y penser, juste lui donner quelques nouvelles. Sophie était contrariée que je revienne dans la "réalité". Je m'empressais de l'embrasser, délicatement telle la blancheur d'une rose, dans le cou. Son sourire réapparut comme un chaud rayon de soleil.
Je n'abandonnais pas pour autant l'idée. Non pas pour l'ennuyer, mais pour elle. En une nuit, j'appris les cicatrices de la vie que Ma Belle portait en elle. Enfin, depuis longtemps, elle pouvait dire à sa soeur qu'elle était : "heureuse", que son coeur battait fort, qu'elle touchait du doigt le bonheur. Je sentais que le plus difficile n'était pas d'annoncer son amour. Plutôt d'expliquer que cet amour était un homme, certes, mais handicapé, en fauteuil. Ô combien ! je comprenais son dilemme. Pour autant, je ne m'inquiétais pas, ma Sophie dépasserait tous les jugements. Elle était bien au dessus !
"Je t'aime Sophie !"...
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Ah ! mes Amis, vous êtes des Coeurs purs ! merci ! Je vais mieux, encore 2, 3 jours.
Ma tendre Annick, tes mots sont des cadeaux pour Sophie, nos lecteurs et moi ! Mille Baisers !
Merci encore ! Je vous embrasse tant pis pour les microbes !

"SOPHIE, CADEAU DE LA VIE"... 9

Et déjà un petit frisson me parcourt, car Sophie vient me câliner tendrement doucement, me réveiller avec ses mots à elle qui me donne envie de vivre mon jour avec elle... Nous restons à nous deux, un certain temps, le temps qu'il nous est donné de saisir sans en perdre une miette de vie, dans sa bonté d'être à nous deux.
Puis, le temps presse, quoique, mais oui mais oui, on se presse, j'ai hâte de présenter ma Sophie à mes amis...
La douche nous serre une fois encore, nous chaleure de ses gouttes de gel qui nous chauffe fort, la douche, un paradis, une île où la cascade de nos coeurs dégouline de si belles bulles de saveurs.
Une serviette immense nous enveloppe tous les deux et de pas en cadence, on avance en riant, chaque seconde une si jolie découverte sur l'autre, on s'éclate de rires, ou notre silence nous porte haut, si haut..
En quelques minutes, Sophie saute dans un jean, met un tendre chemisier blanc, noue un pull autour de sa taille, prend une veste, met de délicieuses sandales, et ses deux gouttes de parfum me parcourent et me délectent... un brin de rose, deux traits de bleu, un peu de blush, une pince dans ses cheveux et la voilà prête comme je suis prêt à la suivre au bout du monde, et déjà chez mes amis, pour Aujourd'hui.
-Irrésistible ! même habillée !

Sophie m'aide à enfiler mon polo marin préféré, en éponge, tellement agréable à porter. N'oublions pas la bonne bouteille de vin rouge que j'ai choisi pour mes Amis. Malgré nos efforts, nous arrivons un peu en retard. Mais lorsqu'Isabelle ouvre la porte avec son sourire accueillant, je lis dans ses yeux la joie de voir Sophie derrière moi. Pour tout vous dire, je leurs avais dit que je viendrais avec un pote. Là, la surprise fut totale ! Je présente ma Belle à mes amis Olivier, Régis et ainsi de suite. Sophie tellement naturelle embrasse tout ce beau monde. J'ai un double sentiment, d'abord qu'ils sont conquis et sincèrement heureux pour moi ! Le repas, plutôt la grillade se déroule à merveille ! Comme d'habitude, au café, les femmes d'un côté, les hommes de l'autre. Là, mes potes me posent mille questions : mais où l'as-tu rencontrée, quelle âge as t'elle, où habite t'elle, etc ?? Puis les réflexions de mecs, elle est canon, trop belle pour toi, tu tiendras pas le coup,... Clairement ils étaient heureux pour moi, ils connaissaient ma longue solitude.
La journée était passée bien trop vite... Avant de partir, Sophie leurs annonça : "Samedi prochain, vous êtes invités à la maison !". En moi, je jubilais ! Comblé de bonheur par Mon Cadeau de la vie, Ma SOPHIE ! Mon Amour !
Plus les jours avancés, plus grandes devenaient notre complicité, notre amour....
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Tes mots, Annick, sont des perles ! merci d'être toi !

Merci à vous chers lecteurs ! et n'hésitez à nous critiquer dans les deux sens. Nous répondrons avec joie à vos remarques ou attentes.

"SOPHIE, CADEAU DE LA VIE"... 8

Sophie, ma délicate, tandis que je conduis, pose sa main sur mon genou ravi. On arrive chez moi, chez nous, et déjà elle s'empresse pour moi, elle est à l'aise et si heureuse, d'un jet, elle vide la voiture, dépose tout sur le trottoir, puis arrivés à l'entrée, des aller retour en dansant... Je veille, elle passe et repasse... Et enfin, on se retrouve dans notre chez nous, au milieu d'elle, de son intimité... Elle me prend par le cou, s'asseoit sur moi, on s'embrasse longuement, le temps n'a plus de temps, il laisse place qu'à nous.
Rien ne se précipite car tant nous précipite vers les pas de nous deux sur un chemin si bon, puis je pousse mes effets, lui laisse de la place.
Et discrètement, elle se tasse un peu, pour ne pas envahir, elle se fait toute petite et je l'incite à prendre plus de place, d'espace, ce temps est pour nous deux.
Je l'accueille encore et encore, ma Sophie, je te rendrai heureuse... car tu me rends si fort heureux !
Frissons...
Sophie se sent si bien qu'elle ouvre mon armoire, se crée son dressing. Elle sort ses habits de ses deux gros sacs et me les montre. Alors s'improvise un jeu ! "Allez ! mets cette robe ! je veux voir !" Nous nous amusons comme des gamins. Elle me répond "non !" avec son sourire coquin. J'insiste, elle se plaît à me charmer à chaque essayage. Je suis un spectateur très attentif. Son corps est encore plus beau ! ses yeux plus brillants, son sourire plus merveilleux ! Elle est Amour !
Nous nous cessons jamais de nous séduire, de nous apprendre, de nous aimer. Le jeu pris vite une tournure d'attirances, de caresses, de baisers.
Ma vie se conjuguait à deux pour mon plus grand bonheur ! Sophie est une énergie, une source de tendresses, d'attentions. Une femme exceptionellement normale.
"Mon Olivier, mon petit homme, réveille toi ! le café est prêt ! n'oublie pas que tes amis nous attendent pour midi." me dit Sophie d'une voix sucrée tout en déposant un baiser coquin dans mon cou....
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Hier soir, j'étais donc au théâtre voir "Confessions d'un tricheur" de Sacha Guitry interprétée magistralement par Francis Huster. Un bémol, la pièce à des longueurs, l'humour est un peu absent, et Guitry ne consacre que 5 minutes aux femmes, dommage... Par contre, Huster est superbement soutenu par l'autre comédien, jouant le barman, Yves Le Moing'.

J'envoie ma plus tendre affection à ma talentueuse collaboratrice Annick, Le juste simple vivre !

La note n'est plus la même qu'hier, un problème technique de mon blog...

"SOPHIE, CADEAU DE LA VIE"... 7

"Et notre parfum nous voltige et se propage dans les airs. Les personnes croisées sourient nos rires et nos baisers qui jamais se délaissent. Sophie marche toute allégresse, je me sens son roi, son prince, son amour qui la porte et la fait voler tout en haut. Parfois, elle s'arrête, se pose sur les genoux, et m'enlace si beau. Parfois sa tendre main caresse ma nuque qui se laisse respirer à pleins poumons, nos cheveux volent la bise de l'amour qui fleure bon. Et l'irréel est réel, on se découvre tant de merveilles appréciées ensemble, elle aime cette pinède qui sent si bon, elle aime du bon silence cueilli dans les yeux de nous deux, qui s'aiment sans un mot, et Sophie tes dix jours rejoignent déjà les plus beaux jours de ma vie.
Ma vie est transformée, devenue si vivante, si rieuse et radieuse, notre parfum nous asperge de beautés.
Ma tendre Sophie est mon amour, et je la regarde et je me vis...
Je marche le fauteuil et elle roule ses valses dans ses sandales si fines qui délicatent ses pieds. On s'arrête, on se regarde, on n'en revient pas d'être dans notre nous...
Je lui fais ma surprise, enfin, notre table à nous deux, notre cocon de nous, notre amour rien qu'à nous à nous manger nous deux... Mais... Elle m'annonce qu'elle aussi, à réserver une table, alors on se rit, on se pouffe, on s'embrasse, elle c'est moi, moi je suis elle, et pourtant je me sens si tant moi de moi en moi... Et elle, je la vois tant dans son elle...
On s'interroge et on rit aux éclats des noisettes de notre amour, notre table réservée par chacun dans le même lieu, à la même place, le même soir... Et puis, d'un même élan, encore... D'un seul rire de joie, on décide en chacun, à coeurs vibrants clamés, d'annuler et de tête à tête se manger en privé... Pour encore se déguster...
Romy, une exceptionnelle femme ! Ma Sophie lui ressemble.
Nos têtes tournent tels des "derviches tourneurs", nos coeurs chancellent d'amour, nos corps s'épousent encore et encore ! Sophie m'apporte tant d'amour que je n'espérais plus. Elle est un diamant ! venue de je ne sais où ? Qu'importe elle est ma Sisi ! Plongés dans les bras l'un de l'autre, nous nous réveillons. Sa bouche dans le creux de mon cou me couvre de baisers caresses. Je me sens si perfectible et si heureux de l'être. Nos mains se trouvent, nos yeux ne se lâchent plus, nos esprits symbiosent. La magie de l'Amour.
"Ma douce, je t'aime !". Mes mots ne tenaient plus alors mes lèvres lui ont murmuré ce que mon coeur ne pouvait plus garder. Une larme a coulé le long de sa joue accompagnée de son plus beau sourire.
"Je t'aime aussi mon petit Prince !". Je l'ai serrée fort. Je l'ai étouffée de baisers de plus en plus fougueux. Je lui ai fait l'amour amoureusement.
Notre journée s'est limitée au lit... Seulement tout a une fin. 20 h indiquait l'horloge de l'hôtel quand nous l'avons quitté. Sophie s'est arrêté chez elle, pris beaucoup d'affaires. La voiture débordait presque.
Ma vie prenait un immense tournant ! Enfin !...
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Michèle, Annick et votre serviteur remercions les  28 personnes qui ont répondu au sondage "pouvez-vous me donner un avis sur "Sophie, cadeau du ciel !" ? "
53 % la trouvent passionnante, 36 % intéressante, 7 % sans saveur, 4% (= 1 vote) nulle.

Dans mon texte, deux clins d'oeil se sont glissés pour dire à Muriel et Elisanne mes plus affectueuses pensées.
Un infini merci à mon Ange, à Miomodus, à Brigitte, à H.Rundi, à Rosie, à Tanette, à Magali, à Bouldegom, à ma Brésilienne adorée Neyde, à Zébu, à Annie-Claude, à Mme de Keravel, aux deux Alain et à ceux qui me lisent sans laisser de traces, dommage...

 

"SOPHIE, CADEAU DE LA VIE"... 6

Mon oeil s'ouvre, sur un rêve ? un excès de boisson ? et déjà mon autre oeil se savoure les yeux de Sophie qui me regarde me réveiller... Surpris, je ferme les yeux, et puis les r'ouvre, sur l'air parfumé de son parfum la chambre, elle n'est plus là, mais une courbe m'engage à soulever le drap froissé de douce nuit, et son regard m'attire, elle se blottit, m'enveloppe de douceurs, mon corps se laisse agiter dans nos rêves vécus, nos corps se retrouvent et se rient de ne rien avoir perdu de leur tendre nuit... Ils se fondent, et se créent une atmosphère si belle que nos regards se vivent, que nos mains papillonnent, que seuls au monde ne font plus qu'un immense baiser romantique si bon...le temps d'un autre temps, de notre temps à nous, reste suspendu pour nous, à nos lèvres, à nos mots, à nos yeux qui ravivent la flamme de notre amour si beau... Un palais, un paradis, une tendre rivière parcourt notre lit, un ciel si bleu vaporise les murs, les voilages des plantes aromatiques, l'air babille en baisers, et je me laisse faire, nous découvrons à deux le plus beau des pays...
Chaque seconde amène sa découverte suivante, sa tonalité si tendre, mon corps se délecte de ses massages si bons, je sens le fruit de ma tendresse, de mon amour, me quitter pour la porter si haut, elle et moi, moi et elle, elle en elle, moi en moi, on caresse notre instant, le musée peut attendre, le nôtre est si beau, le seul, le rare de nous sur ce globe de terre où se vit notre ciel dans son intimité qui ne cesse de se trouver naturelle émerveillée et belle....
"Sensualité", Axelle Red.

Se lever ! pas question ! Envie de rester toute la journée dans tes bras, ma Sophie d'Amour ! se câliner, s'aimer encore et encore... Dans un effort ultime, nous décidons de bouger. Sophie désire prendre l'air. Oh ! nous n'allons pas très loin à côté de la maison à la pinède. Le soleil quitte son zénith car il est presque 17 heures. Le temps est clément, 22°, une légère tramontane. Nous ne sommes pas seuls, des cris d'enfants s'amusant, des familles attabllées discutant, des chiens courant. Machinalement nous saluons les gens que nous croisons, sauf que nous sommes dans notre bulle d'amour. D'ailleurs  les sourires sont sur toutes les lèvres, la joie est présente. Sophie passe sa main dans mon cou, je frémis. La nature resplendit, nous aussi. Ce soir, j'amène ma Belle dans un beau restaurant perché sur les hauteurs de Banyuls-sur-mer. Elle ne connait pas.
La vie nous surprend toujours. Dix jours ensemble, pourtant nous n'avons pas trop parlé de nos vies passées. Il semble que nous nous connaissons depuis des années. Une vraie osmose. Oui, je sais, je connais ce parfum, Sophie me l'offre à chaque seconde ; L'AMOUR.
A suivre...
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Annick, merci merveilleuse collaboratrice.
Zébu, tes mots sont justes. Merci à vous de nous lire !

"SOPHIE, CADEAU DE LA VIE"... 5

Et une larme claire coule doucement de l'oeil de ma tendre Sophie, touchée par les mots, tu es mon sol, tu es mon ciel...elle se penche vers moi, blottit sa tête sur mon épaule et me murmure des mots d'amour, je ferme les yeux, me trouve, la trouve, on se trouve plus encore, et déjà, notre élan nous mène vers notre lit en délices de vie...
La faim est bien ailleurs que sur la table dressée, les mets attendront ce qu'on ne peut attendre, la vie est bien trop courte, pour la voir se fâner..
C'est bien plus beau encore que pendant nos vacances, car c'est chez moi, tellement notre Aujourd'hui chez nous, et notre passion se dévoile tendrement chaudement, sous nos cils éblouis de nous donner autant. Ma vie se prend entre ses mains, ses mots sont des veloutés, ses silences des appels, ses regards des amours, je me laisse ennivrer par la douceur du soir, et notre temps s'écoule en nous émerveillant.
Dans ses bras, je suis tellement transporté haut que le plafond s'ouvre, que le ciel m'accueille, que notre chemin se trace doucement, elle me dit qu'elle est bien, elle se rapproche fort tendrement encore, son corps ne cesse de me séduire, je la désire tant, et quand à mon oreille, elle me glisse un je t'aime qui me délice...en écho, je t aime ma Sophie, tu es mon sol, mon ciel, se glisse entre mes lèvres...mon ciel à nous...je suis à toi..
Des tourbillons de voltiges, des caresses si douces, des tendres baisers somptueux, des éclairs merveilleux, le lit est un palais qui scintille sous l'éclat de nous deux...
Désir, plaisir, amour...

La douceur de sa peau où je laisse glissé mes lèvres. Son corps si parfait que je parcours doucement. Mes mains caressent sa nuque, ses épaules, ses hanches, ses cuisses. Sophie s'offre à moi ! Je me laisse emporter par sa tendresse, ses murmures. Elle sait où ma sensibilité me transcende. Sa bouche délicate embrase mon corps. Elle sublime notre Amour. La fusion est intense. Elle se dresse, se cambre. Elle m'enveloppe de ses bras. Je sens ses seins frisonnant contre ma poitrine. La chaleur s'intensifie dans nos bas-ventres. L'harmonie est totale. Nos perles de sueur se mélangent. Nos bouches s'abandonnent, se fondent. Notre désir atteint le paradis. Nous nous serrons fort. Jamais notre Amour ne s'était exprimé si fort.
Je la regarde dormir paisiblement. Mon bonheur est immense. Je ne peux m'empêcher de la caresser. Je vis un rêve éveillé. Sophie est bien là, dans mon lit, à mes côtés. Je m'endors au rythme de son souffle, le coeur léger. Sophie, cadeau du ciel, je t'aime.
Une nouvelle vie s'annonce....
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Merci Annick, merveilleuse !

Michèle, regarde en haut à droite, rien que pour toi mon Ange !

BELLE SEMAINE MES AMIS !

"SOPHIE, CADEAU DE LA VIE"... 4

Mes oreilles écoutent la pendule, mon coeur se valse, mes mains envolent mon fauteuil qui danse, je m'enivre d'une jolie musique, mes yeux se perdent et se retrouvent, je suis heureux, mon palais attend qu'elle sonne, ou frappe, ou entre, ma porte lui est déjà ouverte, toute grande..
Une portière claque, des petits pas sautillent le trottoir, l'escalier se love son tapis de velours rouge, la sonnette ne m'a jamais semblé aussi douce...la porte de mon coeur s'ouvre, elle court dans mes bras, puis...se recule, un peu intimidée, d'être chez moi, bien plus encore...et déjà nos coeurs, si naturels, échangent le biais d'un regard, le profond d'un oeil si doux, le bonheur remplit le hall, puis le salon, j'ai eu si peur qu'elle soit différente, changée, entre le temps des vacances et le temps du temps présent.. et..
Sophie, mon si bel cadeau de vie, dans un chemisier de coton blanc, un jean bleu tendre, des sandales, un petit sac ravissant, est là, tellement là, et je me frotte les yeux, et souris et rit à ma vie, qui m'offre un quartier de lune précieuse en plein jour, dans notre jour, notre nuit, notre vie....
Elle et moi, si joyeux de savourer nous deux, dans le plus délicieux breuvage qu'est le nectar en amour..demain est bien trop loin, Aujourd'hui, Notre Aujourd'hui, une pierre précieuse de milliards de carats pour ma reine à moi...

Pour cette première soirée dans mon antre, j'ai mis les petits plats dans les grands. Une belle table dressée, illuminée avec de belles bougies, et un léger parfum d'encens. Pour ma Reine, ma chemise blanche préférée, un pantacourt blanc aussi, et en touche finale quelques touches de mon parfum A-men.
Sophie, tout juste, entrée dans le salon je me précipite avec mon bouquet d'oiseaux de paradis. J'avoue me sentir fébrile, ému. Elle m'enveloppe tendrement, Et me chuchote à l'oreille : "je t'aime !". Mes larmes coulent... Je la serre fort. Mon coeur s'emballe, ma bouche reste muette. Nos lèvres se lient amoureusement. Je ne sais plus si je rêve ou si je vis ce fabuleux cadeau. Nous sommes là lovés, notre silence vaut mille mots.
Un oiseau de paradis comme ma Sophie !
Assise sur mes genoux, je l'amène découvrir mon nid. Elle voit sur mes murs mes passions ! Commente surtout les nombreuses photos de femmes avec une pointe de jalousie et de moquerie. Je tente de me défendre, maladroitement, en lui montrant les maillots encadrés, mes diverses collections de stylos, bouddhas, etc... Heureusement mon sauveur arrive ! Là, ma Belle, est bouche bée. La photo avec Jean-Jacques Goldman ! Je suis submergé de questions. Plus de timidité d'un seul coup ! Je saisis cette opportunité pour dédier à ma douce cette chanson : "Je ne vous parlerai pas d'elle ".
A suivre...
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Annick, merci de ta merveilleuse collaboration !
Photo de l'adorable Tanette , merci !

Mes réponses sur "Passion", demain ! BEAU WEEK-END MES AMIS !